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Issad Rebrab : "J’ai l’Algérie dans mes tripes"

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  • #31
    C'est le propre de toutes les affaires qui se font dans le monde, faire des opérations financières sans débourser beaucoup est la spécialité de nombreuses sociétés. Lafarge par exemple a fait de considérables profits en Algérie avec un investissement minimale sans même payer d'impôts ou de taxes. Surtout que Djeezy s'est illustré dans les montages financiers plus que douteux, essayer de les faire passer pour des victimes c'est plutôt risible.
    Je suis un peu dans le domaine étant Risk Analyst...

    Quand un financier rentre dans un business, il faut que le montage ait eu l'approbation des autres parties, à la recherche de capital ou tout autre valeur ajoutée dans le business. Dans le cadre de Djezzy, par une opération quasi-mafieuse, Rabrab a apporté la protection de ses protecteurs dans le business en cours, à l'image de la mafia, et voulait sa part du butin... Il n'a apporté rien d'autre de valable dans ce business que la protection de ses protecteurs, après une campagne de presse inouïe...

    Au fait, les sociétés internationales acceptent de partager le gâteau pour sécuriser leurs opérations, mais dans le cas échéant, le mode opératoire est a l'image d'un système mafieux... par la suite, on a instauré la règle du 51/49, pour légaliser le fait qu'une société d'envergure ne pouvait prospérer dans ce pays sans les 51% algériens. Ça a du sens dans le cadre d'investissements stratégiques, mais pas dans tout les business. Au fait, ceux qui acceptent de travailler dans ces conditions, car le monde est grand et les possibilités d'investissement dans le monde immenses, sont ceux qui ont des techniques de captation de marge en amont, par de la surfacturation de charges. Ils ne viennent que pour ton marché, pire pour tes subventions dans le cadre de Lafarge, est ne se lanceront pas facilement dans l'exportation, ce que nous avons drôlement besoin d'avoir... Il est à noter par exemple que les dernières opérations d'exportation du ciment se font à la moitié du prix pratiqué sur le marché local, et à un prix bien au dessous du prix international. Encore une manière de gruger l'état en déconfiture, en gardant les marges à l'étranger par de la sous facturation...

    Pour revenir à Rabrab, je peux détailler les montants mirobolants, engrangées par Rabrab sur cette opération, qui donneraient le vertige aux algeriens, et comment il a obtenu une disposition sur mesure de la BA pour transférer des devises subventionnées, elles aussi...
    Dernière modification par ott, 12 novembre 2018, 11h39.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #32
      Pour revenir à Rabrab, je peux détailler les montants mirobolants, engrangées par Rabrab sur cette opération, qui donneraient le vertige aux algeriens, et comment il a obtenu une disposition sur mesure de la BA pour transférer des devises subventionnées, elles aussi...
      Un peu de modestie ne te ferait pas de mal .

      Tu es anti cévital depuis longtemps .

      Plutot proche du FCE .
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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      • #33
        Usine Rebrab
        L'ambassadeur des Etats Unis ds l'usine de fabrication d'électroménagers à Sétif

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        • #34
          Un peu de modestie ne te ferait pas de mal .

          Tu es anti cévital depuis longtemps .

          Plutot proche du FCE .
          Modestie à donner des chiffres publiques... non, aucun autre mérite de ma part que de ne pas avoir la mémoire courte et de ne pas consommer la propagande lénifiants...

          Quant au FCE, il est intéressant de voir les algériens, parfois les plus instruits, se faire enfermer dans des considération duopolisriques... non monsieur, et pourtant mes propos sont limpides, plus de passes droits, mais un état de droit et régulateur qui veille à l'intérêt économique de la collectivité...

          Quant à Cevital, je ne me suis jamais placé dans le sentimental, à aimer ou à détester les uns et les autres, mais dans un regard que j'essaie d'être le plus objectif possible, et personne ne peut prétendre détenir tout seul la vérité, mais il y a quand même des mensonges tellement grossiers que faut arrêter de prendre les algérien pour des veaux...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #35
            Si j'avais des milliards coincés au Zimbabwe, ce pays serait dans mes tripes.

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            • #36
              @Ott

              Comme tous les oligarques, Rebrab a probablement bénéficié de certaines "facilités", mais alors pourquoi les autres n'ont pas monté des groupes comme il a fait avec CEVITAL ? C'est pourtant dans leur intérêt et dans celui du pays, sont-ils moins intelligent, moins travailleur, moins ambitieux, moins patriote ? Si la moitié de ceux qui ont bénéficié des même facilités que lui avait réalisé la moitié de ce qu'il a réalisé, le pays se porterait bien mieux.

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              • #37
                Ott

                Je suis un peu dans le domaine étant Risk Analyst...
                Quand un financier rentre dans un business, il faut que le montage ait eu l'approbation des autres parties, à la recherche de capital ou tout autre valeur ajoutée dans le business. Dans le cadre de Djezzy, par une opération quasi-mafieuse, Rabrab a apporté la protection de ses protecteurs dans le business en cours, à l'image de la mafia, et voulait sa part du butin... Il n'a apporté rien d'autre de valable dans ce business que la protection de ses protecteurs, après une campagne de presse inouïe...
                Alors tu as du rater le cours sur les OPA où nombre d'investisseurs ont ainsi pu mettre dehors le DG sans que la loi ne s'y oppose puisque c'est légal. L'opération quasi mafieuse est plutôt à mettre sur le compte de Djeezy dont le DG et l'ex PDG sont cités dans plusieurs affaires douteuses. La rémunération du DG a suscité de nombreux articles de presse avec des documents démontrant que l'argent algérien était utilisé pour d'autres activités que celles déclarées. Il serait donc judicieux de ne pas faire passer Djezzy pour une société intègre à moins de vouloir prendre les algériens pour des veaux ou des idiots.

                Au fait, les sociétés internationales acceptent de partager le gâteau pour sécuriser leurs opérations, mais dans le cas échéant, le mode opératoire est a l'image d'un système mafieux... par la suite, on a instauré la règle du 51/49, pour légaliser le fait qu'une société d'envergure ne pouvait prospérer dans ce pays sans les 51% algériens. Ça a du sens dans le cadre d'investissements stratégiques, mais pas dans tout les business.
                Ca a du sens dans toute l'Afrique quand on voit le système néocoloniale qui a été instauré qui ne profite aucunement aux africains mais bel et bien à des hommes d'affaires véreux qui ne créent aucun emploi.

                Pour revenir à Rabrab, je peux détailler les montants mirobolants, engrangées par Rabrab sur cette opération, qui donneraient le vertige aux algeriens, et comment il a obtenu une disposition sur mesure de la BA pour transférer des devises subventionnées, elles aussi...
                Aucun vertige pour les algériens qui peuvent aussi vérifier le nombre d'emplois créés par Rebrab en Algérie. Peu d'entreprises l'ont fait, il faut donc saluer les qualités de notre Issad Rebrab national qui mérite plus de louanges que de critiques. Peux tu nous citer les noms d'autres chefs d'entreprise ayant créés autant d'emplois ?
                __________________
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #38
                  Alors tu as du rater le cours sur les OPA où nombre d'investisseurs ont ainsi pu mettre dehors le DG sans que la loi ne s'y oppose puisque c'est légal. L'opération quasi mafieuse est plutôt à mettre sur le compte de Djeezy dont le DG et l'ex PDG sont cités dans plusieurs affaires douteuses. La rémunération du DG a suscité de nombreux articles de presse avec des documents démontrant que l'argent algérien était utilisé pour d'autres activités que celles déclarées. Il serait donc judicieux de ne pas faire passer Djezzy pour une société intègre à moins de vouloir prendre les algériens pour des veaux ou des idiots.
                  Madame, je ne suis même plus surpris par votre tentative de dévier le sujet sur la qualité du management de Djezzy, qui n'a été à aucun moment abordé par moi ici... Il ne s'agit pas d'une OPA, mais d'une prise de participation forcee en nature (siège de Cevital), valorisé à la louche, car le but de cette opération quasi mafieuse est d'avoir les 2.5%, commission admise dans les apporteurs d'affaire en Algérie... Rabrab se présente comme s'il était un rapporteur d'affaire, non pour une commission, mais une part du capital, qui je répète lui ont fait gagné des centaines de millions de dollars, sans aucune valeur ajoutée...

                  Aucun vertige pour les algériens qui peuvent aussi vérifier le nombre d'emplois créés par Rebrab en Algérie. Peu d'entreprises l'ont fait, il faut donc saluer les qualités de notre Issad Rebrab national qui mérite plus de louanges que de critiques. Peux tu nous citer les noms d'autres chefs d'entreprise ayant créés autant d'emplois ?
                  Je vous laisse vous gargariser avec cette fable car l'emploi privé en Algérie n'est pas de 17000 employé... Il y a des secteurs beaucoup plus consommateur en emploi, notamment dans le BTP, qui est en réalité très dépendant de la commande publique... Les statistiques dans ce pays sont insuffisamment produites, donc je suis prêt à vous croire quand vous affirmez sue c'est le premier employeur privé...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #39
                    Ott

                    Madame, je ne suis même plus surpris par votre tentative de dévier le sujet sur la qualité du management de Djezzy, qui n'a été à aucun moment abordé par moi ici... Il ne s'agit pas d'une OPA, mais d'une prise de participation forcee en nature (siège de Cevital), valorisé à la louche, car le but de cette opération quasi mafieuse est d'avoir les 2.5%, commission admise dans les apporteurs d'affaire en Algérie... Rabrab se présente comme s'il était un rapporteur d'affaire, non pour une commission, mais une part du capital, qui je répète lui ont fait gagné des centaines de millions de dollars, sans aucune valeur ajoutée...
                    En remontant le fil, il sera aisé de vérifier qui a dévié le sujet sur Djeezy en tentant de faire passer la société comme victime alors que les journaux algériens et même européens ont relayé des informations sur les montages financiers douteux des fondateurs et dirigeants. Les requins qui dirigeaient l'entreprise n'auraient pas accepté la proposition de Rebrab s'ils n'y gagnaient pas quelque chose. Tenter de faire passer des requins pour des canards c'est bien tenté mais peu convaincant surtout que Naguib Sawiris ne passe pas pour un homme d'affaires se faisant duper facilement. Il n'a d'ailleurs jamais émis la moindre critique envers Rebrab par contre il avait attaqué l'état.

                    Amoureux de la France, fait chevalier de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy, Naguib Sawiris, 58 ans, est l'aîné d'une famille égyptienne appartenant à la minorité chrétienne copte. Une dynastie aussi connue en Égypte que les *Rockefeller. Son cadet, Samih, règne sur le secteur du tourisme, tandis que le benjamin, Nassef, a repris le BTP, branche originelle du groupe créé par leur père. C'est lui qui, en décembre 2007, a cédé son activité cimentière au français Lafarge. Naguib s'est forgé une réputation dans les télécoms pour son goût du risque et sa ténacité: il a créé son empire, Orascom Telecom, en investissant dans des pays à risque comme l'Irak, la Corée du Nord ou l'Algérie. Mais il a également investi en 2005 dans Wind, très endetté, devenu numéro trois en Italie. Tout cela a été revendu en 2011 à Vimpelcom. En Égypte, il a cédé ses parts dans MobiNil à son partenaire France Télécom, après trois ans de disputes devant les tribunaux.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #40
                      En remontant le fil, il sera aisé de vérifier qui a dévié le sujet sur Djeezy en tentant de faire passer la société comme victime alors que les journaux algériens et même européens ont relayé des informations sur les montages financiers douteux des fondateurs et dirigeants. Les requins qui dirigeaient l'entreprise n'auraient pas accepté la proposition de Rebrab s'ils n'y gagnaient pas quelque chose. Tenter de faire passer des requins pour des canards c'est bien tenté mais peu convaincant surtout que Naguib Sawiris ne passe pas pour un homme d'affaires se faisant duper facilement. Il n'a d'ailleurs jamais émis la moindre critique envers Rebrab par contre il avait attaqué l'état.
                      Encore une fois madame, mon propos n'est pas de qualifier le management de Djezzy, mais d'affirmer que la manière avec laquelle un actionnaire a été imposé à cette entreprise ne démontre pas un grand esprit d'industriel et de capitaine d'industrie, comme certains veulent l'affirmer. Sans diminuer de l'apport de Rabrab dans l'économie national, réel, important, remarquable, utile... mais pas au point d'en faire un modèle vertueux de pratique économique, car il ne l'a jamais été, pour la simple et unique raison, que le modèle économique qui lui a permis d'exister est exactement le modèle économique qu'il dénonce aujourd'hui, celui des chasses gardées, des passes droits, à la limite de la légalité et quasi mafieuse...

                      Quant à Sawiris, on peut essayer d'en parler, mais ça nous éloigne beaucoup trop du sujet de ce topic...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #41
                        Ott

                        mais pas au point d'en faire un modèle vertueux de pratique économique, car il ne l'a jamais été, pour la simple et unique raison, que le modèle économique qui lui a permis d'exister est exactement le modèle économique qu'il dénonce aujourd'hui, celui des chasses gardées, des passes droits, à la limite de la légalité et quasi mafieuse...

                        Quant à Sawiris, on peut essayer d'en parler, mais ça nous éloigne beaucoup trop du sujet de ce topic...
                        Vous essayez de faire croire que Sawiris aurait été floué par Rebrab alors que c'est Sawiris qui a floué l'Algérie. Si Rebrab a réussi à tirer son épingle du jeu face à Sawiris ça montre tout simplement qu'il est compétent et qu'il peut affronter tous les requins. Le monde des affaires n'est pas vertueux, les passe droits et les chasses gardées sont légion. Que ce soit en Afrique ou en Europe et même aux USA, les hommes d'affaires sont tous obligés de composer avec les gouvernements.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #42
                          Vous essayez de faire croire que Sawiris aurait été floué par Rebrab alors que c'est Sawiris qui a floué l'Algérie. Si Rebrab a réussi à tirer son épingle du jeu face à Sawiris ça montre tout simplement qu'il est compétent et qu'il peut affronter tous les requins. Le monde des affaires n'est pas vertueux, les passe droits et les chasses gardées sont légion. Que ce soit en Afrique ou en Europe et même aux USA, les hommes d'affaires sont tous obligés de composer avec les gouvernements.
                          Non Madame, ce n'est pas comme ça le business. Quand on interdit parce qu'on a la moitié de l'administration dans sa poche, et l'état profond en soutien, aux concurrents d'exister, ça ne se passe pas comme ça dans les économies du monde. Quand on a en plus dans sa poche la Banque Centrale qui établis des lois sur mesure pour qu'il soit le seul à en bénéficier, ça ne se passe pas comme ça dans le monde. Quand on plus, on ne fait que demander des avantages et des subventions pour se développer, ailleurs, on a arrêté d'être biberoné aux subventions... quand on a été capable de faire sauter un chef de gouvernement, ça ne se passe pas comme ça dans le monde...

                          Pour répondre à Aresss, il n'y a pas beaucoup d'hommes d'affaires avec autant de facilités, aussi longtemps, depuis 1995 à 2013... 18 ans... ça permet au bébé biberoné aux subventions de sortir de la couveuse, et en effet, ils ne sont pas beaucoup à prétendre pouvoir sortir des couveuses... c'est d'ailleurs ce qui lui vaut quelques ennuis aujourd'hui, d'être devenu systémique au point que le système ait besoin de composer avec lui, leur phobie la plsu absolue dans les autocraties de type Algérien ou tous doivent marcher au pas...
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #43
                            Ott

                            Non Madame, ce n'est pas comme ça le business. Quand on interdit parce qu'on a la moitié de l'administration dans sa poche, et l'état profond en soutien, aux concurrents d'exister, ça ne se passe pas comme ça dans les économies du monde. Quand on a en plus dans sa poche la Banque Centrale qui établis des lois sur mesure pour qu'il soit le seul à en bénéficier, ça ne se passe pas comme ça dans le monde.
                            Lafarge, Total, BP et même la société Générale ou la BNP ont obtenu des lois sur mesure et contourner les lois pour faire de gros profits sans créer des milliers d'emplois en Afrique et même en Europe et aux USA. Dans le monde, il y a des lieux comme le Panama ou le Luxembourg qui permettent à de nombreux affairistes de contourner les lois pour payer le moins d'impôts. Des fiscalistes internationaux sont spécialistes de montage financier permettant de se jouer des lois internationales. Donc oui ça se passe comme ça dans le monde entier, l'Algérie n'est pas le pays qui compte le plus de requins, la France, Israel et les USA détiennent des champions toutes catégories en la matière. Les banquiers sont de loin les entreprises qui bénéficient le plus du soutien des administrations. La banque Dexia est parvenue à asphyxier des collectivités avec des prêts toxiques en Europe et en Afrique. Essayer de faire croire que Rebrab aurait bénéficié de plus d'avantages que ces sociétés ou banques, c'est vraiment mal connaître le milieu de la finance.

                            Quand on plus, on ne fait que demander des avantages et des subventions pour se développer, ailleurs, on a arrêté d'être biberoné aux subventions... quand on a été capable de faire sauter un chef de gouvernement, ça ne se passe pas comme ça dans le monde...
                            Toutes sociétés peut obtenir des subventions ou des aides de l'état s'ils créent des emplois et apportent une plus value. C'est ainsi dans le monde entier. Des chefs d'état qui sautent dans le monde, c'est devenu courant. Ayrault, Beregovoy, Khadafi, Saddam, Lula, Berlusconi ... Les exemples ne manquent pas de chefs de gouvernement ou de président qui ont sauté...
                            Dernière modification par zwina, 12 novembre 2018, 20h24.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #44
                              Lafarge, Total, BP et même la société Générale ou la BNP ont obtenu des lois sur mesure et contourner les lois pour faire de gros profits sans créer des milliers d'emplois en Afrique et même en Europe et aux USA. Dans le monde, il y a des lieux comme le Panama ou le Luxembourg qui permettent à de nombreux affairistes de contourner les lois pour payer le moins d'impôts. Des fiscalistes internationaux sont spécialistes de montage financier permettant de se jouer des lois internationales. Donc oui ça se passe comme ça dans le monde entier, l'Algérie n'est pas le pays qui compte le plus de requins, la France, Israel et les USA détiennent des champions toutes catégories en la matière. Les banquiers sont de loin les entreprises qui bénéficient le plus du soutien des administrations. La banque Dexia est parvenue à asphyxier des collectivités avec des prêts toxiques en Europe et en Afrique. Essayer de faire croire que Rebrab aurait bénéficié de plus d'avantages que ces sociétés ou banques, c'est vraiment mal connaître le milieu de la finance.
                              Madame, arrêtez de divaguer, sur des sujets que vraisemblablement, vous ne connaissez pas. Citez moi 1 dispositif qui cible une seul société dans un pays développé. On favorise un secteur, et on s'attache autant que possible à garantir la concurrence dans les secteurs qui le permettent... On ne pond jamais une loi sur mesure pour une entreprise... Citez moi un seul exemple...

                              Toutes sociétés peut obtenir des subventions ou des aides de l'état s'ils créent des emplois et apportent une plus value. C'est ainsi dans le monde entier. Des chefs d'état qui sautent dans le monde, c'est devenu courant. Ayrault, Beregovoy, Khadafi, Saddam, Lula, Berlusconi ... Les exemples ne manquent pas de chefs de gouvernement ou de président qui ont sauté...
                              Une économie qui vie des subventions n'est pas une économie viable, car les subventions ne sont pas éternelles. Les pouvoirs publiques peuvent aider un secteur (pas un opérateur) pour lui permettre d'atteindre la taille critique et permettre de sortir de la couveuse. Chez nous, nous sommes drogués aux subventions, et on en demande toujours plus et plus. BASTA... que les opérateurs économique créent de la richesse, en dehors du soutien de l'état systématique qui n'en a plus les moyens et qui peut à peine remplir correctement ses missions régaliennes, sécurité, santé, éducation...
                              Othmane BENZAGHOU

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                              • #45
                                Ott

                                Madame, arrêtez de divaguer, sur des sujets que vraisemblablement, vous ne connaissez pas. Citez moi 1 dispositif qui cible une seul société dans un pays développé. On favorise un secteur, et on s'attache autant que possible à garantir la concurrence dans les secteurs qui le permettent... On ne pond jamais une loi sur mesure pour une entreprise... Citez moi un seul exemple...
                                EDF, Areva, Total, BP, France Telecom... Areva bénéficie de subventions publiques et de faveurs alors que la société est considérée comme déficitaire et qu'elle active en Afrique en étant sécurisée par des dispositifs sensés protéger les populations. BNP a été épinglé pour ses divers manquements et ses irrégularités par la justice américaine jamais par la française. On pourrait aussi parler d'Arcelor Mittal ou de Alsthom et même de la Société Générale ou de Lafarge impliqué dans le financement de Daech et toujours pas condamné. Toutes ces sociétés sont actives en Algérie, difficile de croire qu'elles n'y agissent pas de la même manière qu'ailleurs dans le monde.

                                Chez nous, nous sommes drogués aux subventions, et on en demande toujours plus et plus. BASTA... que les opérateurs économique créent de la richesse, en dehors du soutien de l'état systématique qui n'en a plus les moyens et qui peut à peine remplir correctement ses missions régaliennes, sécurité, santé, éducation...
                                Il faudrait l'expliquer à l'Union Européenne dont les subventions inondent des sociétés européennes ainsi que des ONG sensés créer de l'emploi et des partenariats avec les pays dit sous développés. Surtout qu' il semblerait que les ivoiriens pas plus que les nigériens ou les maliens n'aient jamais vu la couleur de ces subventions. Les agriculteurs européens bénéficient de subventions tout comme les asiatiques pourtant la plupart des fermes agricoles sont en faillite. Les opérateurs économiques algériens ont besoin du soutien de l'état puisque dans le monde entier le système est ainsi fait. Difficile d'affronter la concurrence sans le soutien gouvernemental qui peut peser dans des négociations souvent ardues.
                                Dernière modification par zwina, 12 novembre 2018, 20h57.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                                Commentaire

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