Abdellah
On n'est pas encore prêt pour en parler de ce sujet. Sujet trop clivant, et trop polarisant.
Car non seulement il ne faut pas en parler maintenant, car l'objectif immédiat est de dégager ce système pourri. Mais que même pendant la pahse de transition qui va prendre du temps, le peuple et nos politiciens ne seront pas prêt pour une telle option.
En effet, avec les mentalités Tribales et opportunistes qu'ont certains, ca les conflits pour le partage du butin, ca sera l'IRAK-bis si on le fait maintenant ! Suicidaire même !
Les loups étrangers n'attendent que çà.
Donc, il faut d'abord prendre du temps nécessaire pour :
- qu'on construise un état de droit, et toutes les institutions solides et indépendantes qui vont avec
- que les algériens acceptent les règles basique de démocratie, et le choix de majorité
- que les algériens aprennent à se parler et se convaincre les uns les autres
- que les algériens apprennent à s'écouter, écouter l'avis-contraire, à dialoguer sans populisme, ni violence et sans revenir au main et sans se faire automatiquement la guerre.
Ce n'est qu'à ce moment, qu'on pourra passer à l'étape supérieure, et qui est de parler et laisser mûrir cette idée de fédéralisme. Mais pas maintenant.
Car dans l'état actuel des choses et de mentalités tribales que beaucoup d'entre nous ont, couplés à une certaine appétence au discours populiste, c'est trop risqué de casser la cohésion de ce peuple.
Qu'on se le dise.
Le fédéralisme pourrait être une solution, mais pas facile à gérer, peut-etre preparer le peuple avec: par exemple, abolir les non-élus; Wallis et chefs de daïra et les remplacer par des élus: un gouverneur(e) et un maire(sse) natifs de la région.
Car non seulement il ne faut pas en parler maintenant, car l'objectif immédiat est de dégager ce système pourri. Mais que même pendant la pahse de transition qui va prendre du temps, le peuple et nos politiciens ne seront pas prêt pour une telle option.
En effet, avec les mentalités Tribales et opportunistes qu'ont certains, ca les conflits pour le partage du butin, ca sera l'IRAK-bis si on le fait maintenant ! Suicidaire même !
Les loups étrangers n'attendent que çà.
Donc, il faut d'abord prendre du temps nécessaire pour :
- qu'on construise un état de droit, et toutes les institutions solides et indépendantes qui vont avec
- que les algériens acceptent les règles basique de démocratie, et le choix de majorité
- que les algériens aprennent à se parler et se convaincre les uns les autres
- que les algériens apprennent à s'écouter, écouter l'avis-contraire, à dialoguer sans populisme, ni violence et sans revenir au main et sans se faire automatiquement la guerre.
Ce n'est qu'à ce moment, qu'on pourra passer à l'étape supérieure, et qui est de parler et laisser mûrir cette idée de fédéralisme. Mais pas maintenant.
Car dans l'état actuel des choses et de mentalités tribales que beaucoup d'entre nous ont, couplés à une certaine appétence au discours populiste, c'est trop risqué de casser la cohésion de ce peuple.
Qu'on se le dise.
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