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L’ANP reste à la fois la principale force structurée du pays et la principale source de pouvoir. La situation s’est même accentuée avec la déliquescence institutionnelle observée durant l’ère Bouteflika.
Hamrouche ne gratte pas le vernis et ne remet pas l'anp dans son role d'institution chargée de la securite et non des sciences politique; l'histoire de l'algerie nous apprend aussi que celle ci a imposé des decideurs par la force des armes et vu le resultat nous ne pouvons pas se payer le luxe de la remettre dans le jeu encore une fois ce serai masochiste et ce peuple en a ras la casquette de ces vautours
la place de l armee est dans les casernes elle ne doit pas s implique dans la politique tout comme les islamistes je ne veut pas que l algerie devienne l egypte sissi a fait modifier la constitution pour rester au pouvoir jusquant 2030
Hamrouche non seulement gratte le vernis, décape la maison, et demande une consolidation sur la base de nouvelles fondations l'édifice national... il ne demande pas que cet édifice national ne soit pas assis sur un pilier central qui assure la sécurité de l'édifice, il demande surtout que les architectes et ingénieurs intègrent d'autres fonctions dans cette maison, notamment celle de mettre les mécanisme de son assainissement et ses circuits de viabilisation et de vie... le pilotage de la vie de la maison une fous construite, et ses fondations consolidées ne devrait plus s'interroger sur le rôle de ce pilier, mais sur tout le reste...
Tant que cette maison et cette fondation ne sont pas au point, il faut un travail de gros-oeuvre avec des corps de métiers différents que des artistes architectes, et des décorateurs d'intérieurs, il faut des ingénieurs de calcul du dur pour bien consolider la structure, de vrais HOMMES D'ETATS...
depuis que le DRS qui a toujours ete son binome si je peux dire dans le civil et a nouveau affiliè a l'etat major l'armèe ,il est certain que le role de l'ANP ne peut etre que dans les casernes mais aura son mot a dire mnt reste a savoir dans quel sens
Que ce soit le parti unique, le bi-partisme, ou le multi- patrisme, c'est un désastre si ces partis se vident de ses élites intellectuelles et opérationnelles, et deviennent des réceptacles d'ambitions de tout genre... le parti unique est plus enclin à ce risque la quand la fidélité au zaim et la discipline militaire y règne à tel point qu'aucune place pour l'audace et l'initiative n'est permise, mais juste aux apparatchiks et autres clientèles disciplinées... le bipartisme peut avoir les mêmes risques. Le multi-partisme permet une meilleure fluidification des alternances pour ne plus se concentrer dans des courants à l'intérieur de Carcans idéologiques, mais de capacité à faire émerger de nouvelles alternatives et solutions... le risque de majorités fragiles est dans la puissance des minorités agissantes, qui sont malgré tout ouvertes au x plus dynamiques...
Dernière modification par ott, 17 avril 2019, 17h42.
Si vous sortiez des slogans et des stigmatisations, vous pourriez nous affirmer que le parti unique est l'endroit du débat entre les courants de la société... avec vos raccourcis et vos caricatures, vous êtes plus le defenseur de la militarisation et de la verticalisation de la politique... non guidé par des ingénieurs, mais par des manoeuvriers de la politique qui voudraient construire la meme maison partout, avec une cuisine, un salle à manger et un dortoir, point barre... sauf biensur pour eux...
Dernière modification par ott, 17 avril 2019, 18h14.
Le FLN à cette époque n'avait aucun rôle... l'erreur de Boumedienne est de ne pas avoir construit des institutions autres que l'armée, pour gérer la vie politique. Bouteflika a fait la même erreur, avec moins de pouvoir que son président...
L'erreur de tous ses dirigeants est d'avoir participé a une deconstruction de l'etat naissant en 1962 et avoir jouer a des architectes dont la construction c'est deployé au depens de la volonté et de la liberté das gens, et le boomerang on le reçoit aujourdhui comme le dit si bien bouhired dans sa lette recente
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