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Me Bouchachi favorable à un accompagnement de la période de la transition par l’ANP
même les anges ne trouveront de place parmi vous,si vous cherchez tous ceux qui vous devisent,pour le moment vive BOUCHACHI,TABOU, ASSOUL, ET TOUS QUI AIMENT CETTE NATION ET SON PEUPLE QUI ASPIRE A VIVRE DIGNEMENT,l'armé est le bras qui exécute le désir du peuple.point
Il s'emporte à l'image de ses convictions et à la hauteur de son honnêteté.
Concernant @Ott, je n'ai jamais mis en doute ni son honnêteté ni ses convictions; ni sa personne.
Mais de là à me juger et à me mettre dans une case comme il a l'habitude de faire pour tous les autres ?! c'est innacceptable.
Pire, je lui donne l'occasion de relire mes écrits pour comprendre son erreur, mais malgrè ça, il s'entête quand même à réitérer ses même jugements à l'emporte pièce. Désolée, mais là, l'échange avec lui ne sert strictement à rien.
Alors sylmia !
Dernière modification par Pomaria, 19 avril 2019, 14h17.
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
« Soyons pragmatiques et courageux pour dire que nous avons besoin de l’Institution militaire dans cette période. L’Armée nationale populaire (ANP) est une armée issue du peuple algérien. Je pense, objectivement, que pour réussir la période de transition, nous avons besoin d’une forte institution. Et la seule institution qui demeure debout en Algérie est celle de l’ANP », a-t-il dit devant une salle archi comble.
C'est l'evidence meme , d'ailleurs SANS l'ordre de gaid salah pour que boutef abdeka et boutef said deguerpissent du koursi , ils seraient toujours là en ce moment .
Me Bouchachi a réitéré son souhait à ce que la période de transition soit dirigée par une présidence collégiale composée de trois personnalités intègres.
Et voila qu'il retombe dans ses travers ! chassé le naturel , il revient au galop , dit-on . Ya si Bouchachi , qui pour ma part je vois bien comme ministre de la justice avec un president élu , qui choisira ces trois personnalites integres , concretement et non avec du vent ? vous devez savoir que c'est IMPOSSIBLE , et le taghenant des uns et des autres débouchera fatalement sur l'etat de siege , et bye bye ... les reveries .
C'est l'evidence meme , d'ailleurs SANS l'ordre de gaid salah pour que boutef abdeka et boutef said deguerpissent du koursi , ils seraient toujours là en ce moment .
Merci El Gaid !!!...
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le taghenant des uns et des autres débouchera fatalement sur l'etat de siege , et bye bye ... les reveries .
Marazik Allah moutaaddida... il n'y a point de jugement dans mes propos mais une ironie sur des adjectifs pas très élogieux ici, parce que j'ai osé une critique d'une nouvelle icône mystifiée... l'Algerie se pleure de ses icônes mystifiées, parce qu'apres l'exercice l'iconographie, il y a la déception en jetant, le bébé, l'eau de bain et toute la descendance....
On ne passe pas du désespoir à l'effervescence comme ça... ce genre de phénomène est connu scientifiquement, et plusieurs psychologues et sociologues le décrivent bien... quand on veut construire, on s'arme de patience, de lucidité et d'abnégation on ne transfert pas ses espoirs manqués sur le dos des icônes pour mieux dédouaner ses défaillances politiques. Et je m'inclue dans ce constat...
Bon vendredi de prière et de sagesse... un petit tour chez les darkawa netrazkou bih vous fera du bien madame...
Ils ont vécu avec le terrorisme (créé pour cela), la mafia dont on nous parle l'armée va l'entretenir, la faire exister pour faire revenir la violence et la misère.
Votre ennemi c'est celui que vous n'avez pas encore invité à déjeuner Edgar Faure
Koul youm yekhrodj kherdja, je n'arrive plus a suivre et je ne comprends plus ce qu'il propose concretement. Qu'il se présente aux elections wessalam, au moins il sera obligé de présenter un programme clair et on verra.
Au delà des détails "grassifiés", tout dépend de l'existence d'une justice quand rien ne descend de la justice d'une existence..., autant le plus juste n'appartient à personne, et, mais, donc, à tout le monde, que la sagesse demeure la plus petite des tristesses......
Mais certain)e)s ont déjà bien répondu à l'idée solennelle, délicate et complexe que le délai transitoire requiert, quel peuple dans le monde est suffisamment entendu dans ses divers problèmes et lesquels, aussi développés et indépendants, démocratiques et intelligents, souverains et concurrents soient-ils, face à la résonance de leurs gouvernances, doivent encore parvenir à de meilleurs conseils, à de meilleures consciences, à de justes valeurs, entendues, voulues, soutenues, répandues,..., universelles...
Les autruches ne font pas des canards et les ruches encore moins de caviar, ceci n'est qu'une relativité expressive à peine élevée des valeurs peu responsable des autres... ...
merci...
...Rester Humainpourle devenir de l'Homme... K.H.R.
il est de l’intérêt du peuple de mettre le commandement armée de son coté
La deuxième république ne verra plus le jour. Le commandement de l’armée prendra en main l'avenir de l’Algérie. Ça s’appelle une dictature.
iet en même temps d'exiger de lui des engagements très clairs et des actions explicite sur le terrain de protection du Hirak, ainsi que de ne pas intervenir dans aucune action politique."
Pourquoi protéger les manifestations pacifiques? Ce commandement dont vous parlez n'osera pas a tirer sur le peuple. Et si c'est le cas, dans un monde globalisé les grandes puissances prendront soins du commandement de l’Armée
Dernière modification par El_Hour1, 19 avril 2019, 21h13.
Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,
La deuxième république ne verra plus le jour. Le commandement de l’armée prendra en main l'avenir de l’Algérie. Ça s’appelle une dictature.
On ne dit pas que l'armée va faire le politique. On demande à l'armée de rester à l'écart et surtout sous le commandement et les injonctions du pouvoir civil.
En gros, le commandement armée ne doit plus protéger cet état profond qui sont les milices ex-services secrets et les oligarquies maffieux.
Mais plutot protéger le peuple de ces maffieux qui peuvent l'attaquer violemment comme lors des manifestations.
Est-ce Capito ? ou pas ?
El_Hour1
Pourquoi protéger les manifestations pacifiques? Ce commandement dont vous parlez n'osera pas a tirer sur le peuple. Et si c'est le cas, dans un monde globalisé les grandes puissances prendront soins du commandement de l’Armée
Tu fais semblant de ne pas savoir ce qui s'est passé la semaine dernière contre les manifestants ou quoi ??
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
Le hirak a dit : klitou leblad ya seraqine !
Bouchachi est avocat.. qu'il consacre aussi de l'énergie aux dossiers de corruption !
Et s'il désire plaire à tout le monde.. et préconise une amnistie générale.. comme il le dit souvent.. qu'il le dise clairement.. au lieu d'induire les algériens en erreur et entretenir la confusion !..
N'est-il pas temps que le peuple sache la politique précise qu'espère mener Bouchachi si Bensalah venait à céder sa place à un Conseil de Transition mené par le Hirak ?..
A la bonheur! ... Il fallait le dire que tu chercher l'impunité à ceux qui laissent tomber des miettes dans ton obole Capo ...
Enfin, un message tourne sur FB pour faire de maître Bouchachi le porte parole du Hirak. Une fois mandaté, il pourra nous dire exactement ce qu'il veut, quelle solution de sortie de crise, quels mécanismes pour quels délais... et aux algeriens de se positionner pour ces propositions concrètes pour mettre en place les mécanismes de la transition démocratique...
Maintenant que les ambiguïtés sont levées, il faudrait juste éviter qu'ils nous rejouent le redressement révolutionnaire de 1965, ou le père spirituel de ce monsieur était devenu ministre de l'agriculture pour faire barrage à l'accord scellé entre Benbella et Ait Ahmed pour la primauté du politique sur le militaire, avec un nouveau slogan, la démocratie directe, et point d'intermediation politique, ce qui revient à garantir un pouvoir de l'ombre de l'armée face aux jeunes inexpérimentés représentants du peuple...
L’avocat et défenseur des droits de l’Homme, Mustapha Bouchachi, a estimé, hier, lors d’une conférence-débat animée à la maison de la culture Ali-Zamoum de Bouira, que l’implication de l’ANP dans le processus de transition démocratique est “nécessaire” en l’état actuel des choses. “Nous devons être pragmatiques et surtout avoir le courage de dire que nous avons besoin de l’institution militaire en cette période cruciale”, a indiqué l’hôte du Collectif des avocats de Bouira. Ainsi, Me Bouchachi, qui ne cache pas son soutien au chef d’état-major de l’armée, Ahmed Gaïd Salah, a souligné que l’ANP est la seule institution “viable” du pays. “L’ANP est l’une des rares institutions du pays, pour ne pas dire l’unique, à ne pas avoir été happée par le système et gérée par des coups de téléphone”, a-t-il souligné. Mieux encore, et pour démontrer que l’institution militaire a été épargnée du clanisme, selon ses dires, Me Bouchachi a précisé que cette dernière est composée d’enfants du peuple. “Notre armée tire sa puissance et sa noblesse du fait qu’elle est composée des enfants du peuple, ceux de l’Algérie profonde et de toutes les catégories de la société”, dit-il, précisant que, de ce fait, elle est la garante toute désignée pour superviser et accompagner la période de transition. Dans le même sillage et évoquant le dernier message de Gaïd Salah dans lequel il a explicitement dit que “la décision de protéger le peuple, avec ses différentes composantes, est une décision irréversible et dont nous ne dévierons point”, le conférencier estime qu’il faudrait faire confiance à l’institution militaire et aussi faire preuve de patience. Cependant, l’hôte de Bouira exhorte l’ANP et son chef à “accélérer le processus de transition avec des actes concrets”, puisque, selon lui, le régime en place est telle une hydre à sept têtes. “La bande de malfaiteurs qui a gouverné le pays durant des années n’est pas encore tombée et tente de se régénérer par tous les moyens”, a-t-il souligné.
Démission de Belaïz, “un scénario écrit d’avance”
Afin d’étayer ses propos, Mustapha Bouchachi évoquera la désignation de Kamel Feniche à la tête du Conseil constitutionnel qui est, selon lui, “illégale”. “M. Belaïz a démissionné dans la matinée d’hier (mardi, ndlr), et à midi, il était remplacé par M. Feniche, sans respecter les procédures légales”, a-t-il indiqué. D’après lui, cette désignation démontre que le régime en place ne veut absolument rien lâcher. “Tout cela fait partie d’un scénario qui a été élaboré et réfléchi par les membres de cette bande de malfrats qui nous gouverne : si Bensalah décide de démissionner, ils auront à l’avance désigné son successeur et ainsi s’obstinent-ils à ne pas répondre à la volonté du peuple”, dit-il. Il reviendra encore sur l’institution militaire qui devra “accompagner” le processus visant à mettre en place un État fort, à sa tête un président de la République démocratiquement élu, et ne plus se mêler de la politique ensuite.
Dernière modification par ott, 22 avril 2019, 09h49.
, tout dépend de l'existence d'une justice quand rien ne descend de la justice d'une existence..., autant le plus juste n'appartient à personne, et, mais, donc, à tout le monde, que la sagesse demeure la plus petite des tristesses...
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