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Le mouvement de redressement et d’authenticité se défend de toute indifférence par rapport à ce que connaît le vieux ex-parti unique comme tensions et autres frondes, rappelant leur opposition à l’avènement tout récent de Mohamed Djemaï, à la tête du FLN.
Dans un communiqué rendu public, avant-hier dimanche, le coordinateur de ce mouvement a tenu, de prime abord, à rappeler les positions et les convictions de ses dirigeants et de ses militants, leurs avis politiques concernant le FLN sont constants et n’ont pas changé depuis la naissance du mouvement à ce jour.
Pour Abdelkrim Abada, le nouveau patron du FLN n’est qu’un entriste auquel lui et un groupe de militants jaloux se sont opposés avant ce qui fut appelé la dernière session du comité central, une attitude similaire à celle observée à l’occasion des deux derniers congrès du parti (9e et 10e), «illégaux».
Cette démarche constante, Abada soutient l’avoir menée en compagnie d’autres membres authentiques du comité central pour restituer le FLN à ses vrais militants et rectifier sa ligne politique authentique.
Un serment auquel le mouvement de redressement et d’authenticité tient toujours, rappelant que la légitimité de près de 60% de la composante de l’actuel comité central est contestée, des membres qui, par ailleurs, ne vérifient pas les conditions de militance puisque certains ont été recrutés par Belkhadem et d’autres par Saâdani et ensuite Ould-Abbès.
Un trio qui, selon Abada, a fait de ces «entristes d’illustres dirigeants du parti et des ministres, des sénateurs et des cadres supérieurs au nom du FLN et tout le monde connaît qui sont Djemaï, Tliba, Louh et la liste est longue».
Pour Abada, c’est le 9e congrès qui a dévié le parti de sa ligne authentique et de son programme complet, qui a été derrière la création de ce mouvement de redressement et d’authenticité de l’intérieur du FLN en 2010, avec pour missions de combattre et de dénoncer les dépassements et l’improvisation dans la gestion du parti de la part de ceux qui l’ont pris en otage, l’ont violé et ont troqué son programme contre celui du président déchu avec comme conséquences la corruption politique, morale et financière.
Et les alertes lancées à l’adresse de l’opinion publique, des moudjahidine, de la famille révolutionnaire, et même des magistrats ont été vaines car, explique-t-il, la bande a eu la mainmise sur le sceau du FLN et ce, jusqu’à maintenant».
M. Kebci
- Alger (Le Soir)
Dans un communiqué rendu public, avant-hier dimanche, le coordinateur de ce mouvement a tenu, de prime abord, à rappeler les positions et les convictions de ses dirigeants et de ses militants, leurs avis politiques concernant le FLN sont constants et n’ont pas changé depuis la naissance du mouvement à ce jour.
Pour Abdelkrim Abada, le nouveau patron du FLN n’est qu’un entriste auquel lui et un groupe de militants jaloux se sont opposés avant ce qui fut appelé la dernière session du comité central, une attitude similaire à celle observée à l’occasion des deux derniers congrès du parti (9e et 10e), «illégaux».
Cette démarche constante, Abada soutient l’avoir menée en compagnie d’autres membres authentiques du comité central pour restituer le FLN à ses vrais militants et rectifier sa ligne politique authentique.
Un serment auquel le mouvement de redressement et d’authenticité tient toujours, rappelant que la légitimité de près de 60% de la composante de l’actuel comité central est contestée, des membres qui, par ailleurs, ne vérifient pas les conditions de militance puisque certains ont été recrutés par Belkhadem et d’autres par Saâdani et ensuite Ould-Abbès.
Un trio qui, selon Abada, a fait de ces «entristes d’illustres dirigeants du parti et des ministres, des sénateurs et des cadres supérieurs au nom du FLN et tout le monde connaît qui sont Djemaï, Tliba, Louh et la liste est longue».
Pour Abada, c’est le 9e congrès qui a dévié le parti de sa ligne authentique et de son programme complet, qui a été derrière la création de ce mouvement de redressement et d’authenticité de l’intérieur du FLN en 2010, avec pour missions de combattre et de dénoncer les dépassements et l’improvisation dans la gestion du parti de la part de ceux qui l’ont pris en otage, l’ont violé et ont troqué son programme contre celui du président déchu avec comme conséquences la corruption politique, morale et financière.
Et les alertes lancées à l’adresse de l’opinion publique, des moudjahidine, de la famille révolutionnaire, et même des magistrats ont été vaines car, explique-t-il, la bande a eu la mainmise sur le sceau du FLN et ce, jusqu’à maintenant».
M. Kebci
- Alger (Le Soir)