Le PDG de l’entreprise portuaire d’Alger, Mohamed Larbi, a été placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le Tribunal de Sidi M’Hamed à Alger. La décision a été prise hier le 11 juin par le juge d’instruction du tribunal après que Mohamed Larbi ait été entendu dans l’affaire concernant Mahieddine Tahkout.
Cette affaire n’arrête pas de livrer toutes ses ramifications. Plusieurs hauts responsables sont cités dans ce lourd dossier de corruption, parmi eux deux ancien Premiers ministres, des hauts cadres de l’État ainsi que des ministres en fonction.
Les événements s’accélèrent ces derniers jours après la mise sous mandat de dépôt du principal accusé Mahiedine Tahkout ainsi que ses deux frères et son fils. Le directeur de L’ANDI, de l’ONOU ainsi que celui de l’ETUSA sont tombés tour à tour ces dernières 24 heures.
Pour rappel le parquet a annoncé avoir ouvert une enquête sur 45 personnes impliquées dans plusieurs crimes et délits après avoir auditionné 56, suite à une enquête préliminaire de la Gendarmerie nationale.
Le juge d’instruction, a aussi annoncé que dix-neuf d’entre eux ont été mis sous mandat dépôt, sept sous contrôle judiciaire et dix neufs autres en liberté provisoire.
Les prévenus sont accusés, selon le communiqué du Tribunal de Sidi M’Hamed de « blanchiment d’argent, détournement de biens produits de revenus criminels, de corruption en vue de dissimuler leur origine illicite à la faveur d’un groupe de malfaiteurs, incitation d’agents publics à exploiter leur influence réelle ou supposée dans le but de bénéficier de privilèges indus, bénéfice du pouvoir et de l’influence des agents de l’État, des collectivités locales, des entreprises et institutions publiques soumises au droit public, d’entreprises économiques publiques, d’établissements à caractères industriel et commercial (EPIC) durant l’établissement de contrats et de transactions en vue d’augmenter les prix et de modifier en leur faveur la qualité de la matière, des services et de l’approvisionnement ».
Ils sont aussi accusés de « dilapidation de deniers publics, de la mauvaise exploitation délibérée de la fonction dans le but de fournir des avantages indus à autrui en violation des lois et règlements, conflit d’intérêts avec violation des procédures en vigueur des marchés publics basés sur les règles de transparence, de la concurrence honnête et objective, pour signer des contrats et établir des transactions et avenants contraires à la réglementation en vue de fournir des avantages injustifiés à autrui ».
observalgérie .com
Cette affaire n’arrête pas de livrer toutes ses ramifications. Plusieurs hauts responsables sont cités dans ce lourd dossier de corruption, parmi eux deux ancien Premiers ministres, des hauts cadres de l’État ainsi que des ministres en fonction.
Les événements s’accélèrent ces derniers jours après la mise sous mandat de dépôt du principal accusé Mahiedine Tahkout ainsi que ses deux frères et son fils. Le directeur de L’ANDI, de l’ONOU ainsi que celui de l’ETUSA sont tombés tour à tour ces dernières 24 heures.
Pour rappel le parquet a annoncé avoir ouvert une enquête sur 45 personnes impliquées dans plusieurs crimes et délits après avoir auditionné 56, suite à une enquête préliminaire de la Gendarmerie nationale.
Le juge d’instruction, a aussi annoncé que dix-neuf d’entre eux ont été mis sous mandat dépôt, sept sous contrôle judiciaire et dix neufs autres en liberté provisoire.
Les prévenus sont accusés, selon le communiqué du Tribunal de Sidi M’Hamed de « blanchiment d’argent, détournement de biens produits de revenus criminels, de corruption en vue de dissimuler leur origine illicite à la faveur d’un groupe de malfaiteurs, incitation d’agents publics à exploiter leur influence réelle ou supposée dans le but de bénéficier de privilèges indus, bénéfice du pouvoir et de l’influence des agents de l’État, des collectivités locales, des entreprises et institutions publiques soumises au droit public, d’entreprises économiques publiques, d’établissements à caractères industriel et commercial (EPIC) durant l’établissement de contrats et de transactions en vue d’augmenter les prix et de modifier en leur faveur la qualité de la matière, des services et de l’approvisionnement ».
Ils sont aussi accusés de « dilapidation de deniers publics, de la mauvaise exploitation délibérée de la fonction dans le but de fournir des avantages indus à autrui en violation des lois et règlements, conflit d’intérêts avec violation des procédures en vigueur des marchés publics basés sur les règles de transparence, de la concurrence honnête et objective, pour signer des contrats et établir des transactions et avenants contraires à la réglementation en vue de fournir des avantages injustifiés à autrui ».
observalgérie .com