A une journée de la fête du Mawlid ennabaoui, les prix du poulet et ceux des pétards, prisés en semblable occasion, restent inaccessibles. Devant l’exigence des enfants et l’obligation de respecter la tradition, les parents finissent par céder.
Une fois n’est pas coutume. Les prix du poulet, à une journée seulement de la fête du Mawlid ennabawi, s’envolent. Ils restent inabordables. Au début de cette semaine, les commerçants affichaient 300 dinars le kilo pour le poulet éviscéré et 220 DA pour le poulet entier ! Selon certains consommateurs rencontrés dans les marchés d’Alger, il y en a même qui l’ont vendu hier à 320 dinars le kilo le poulet éviscéré et à 210 dinars le poulet complet ! Les marchands avancent le mauvais temps et les routes coupées comme raisons de cette augmentation des prix, outre la forte demande.
Plusieurs éleveurs n’ont toujours pas repris leurs activités à cause des dernières intempéries. En dépit de cela, les vendeurs soutiennent que les prix ont tout de même baissé par rapport à ceux affichés au début de la semaine, soit 280 dinars le kilo.
Les commerçants affirment ne pas pouvoir réviser leurs prix à la baisse devant le déficit en matière de l’offre, sachant qu’en cette période beaucoup ou la plupart des consommateurs veulent célébrer le Mawlid dans le respect de la tradition, avec de la rechta ou de la tchakhtchoukha au poulet.
D’ailleurs, même ces pâtes n’ont pas échappé à cette envolée des prix. La tchakhtchoukha, cédée habituellement à 70 dinars pour une douzaine, a été vendue hier à 150 dinars le kilo ! La rechta, pour sa part, a été vendue à 80 dinars le kilo au lieu de 70 dinars habituellement.
Cet état de fait a aussi son aspect d’humour, surtout quand on entend certains consommateurs marmonner, dans ce cas-là, leur préférence pour le… poisson congelé. Quand les pétards font exploser les… poches Un Mawild est synonyme de pétards, mais seuls quelques commerçants ont décidé de se débarrasser de leur marchandise.
Pour les boîtes de TNT, produit très tendance cette année, elles sont cédées à 300 dinars seulement, alors que dans certains quartiers, elles sont vendues à 950 dinars ! Pour les pétards de Zidane, ils sont vendus à 50 dinars. A la rue de la Lyre, les prix sont encore exorbitants : 200 dinars pour ce même produit ! D’autres commerçants décident d’augmenter plus encore les prix.
Les acheteurs de la dernière minute ont toujours tort finalement. Ils vont devoir payer le double. Il faut dire que le rush était également sur le henné, à 10 dinars seulement.
Par le Jeune Indépendant
Une fois n’est pas coutume. Les prix du poulet, à une journée seulement de la fête du Mawlid ennabawi, s’envolent. Ils restent inabordables. Au début de cette semaine, les commerçants affichaient 300 dinars le kilo pour le poulet éviscéré et 220 DA pour le poulet entier ! Selon certains consommateurs rencontrés dans les marchés d’Alger, il y en a même qui l’ont vendu hier à 320 dinars le kilo le poulet éviscéré et à 210 dinars le poulet complet ! Les marchands avancent le mauvais temps et les routes coupées comme raisons de cette augmentation des prix, outre la forte demande.
Plusieurs éleveurs n’ont toujours pas repris leurs activités à cause des dernières intempéries. En dépit de cela, les vendeurs soutiennent que les prix ont tout de même baissé par rapport à ceux affichés au début de la semaine, soit 280 dinars le kilo.
Les commerçants affirment ne pas pouvoir réviser leurs prix à la baisse devant le déficit en matière de l’offre, sachant qu’en cette période beaucoup ou la plupart des consommateurs veulent célébrer le Mawlid dans le respect de la tradition, avec de la rechta ou de la tchakhtchoukha au poulet.
D’ailleurs, même ces pâtes n’ont pas échappé à cette envolée des prix. La tchakhtchoukha, cédée habituellement à 70 dinars pour une douzaine, a été vendue hier à 150 dinars le kilo ! La rechta, pour sa part, a été vendue à 80 dinars le kilo au lieu de 70 dinars habituellement.
Cet état de fait a aussi son aspect d’humour, surtout quand on entend certains consommateurs marmonner, dans ce cas-là, leur préférence pour le… poisson congelé. Quand les pétards font exploser les… poches Un Mawild est synonyme de pétards, mais seuls quelques commerçants ont décidé de se débarrasser de leur marchandise.
Pour les boîtes de TNT, produit très tendance cette année, elles sont cédées à 300 dinars seulement, alors que dans certains quartiers, elles sont vendues à 950 dinars ! Pour les pétards de Zidane, ils sont vendus à 50 dinars. A la rue de la Lyre, les prix sont encore exorbitants : 200 dinars pour ce même produit ! D’autres commerçants décident d’augmenter plus encore les prix.
Les acheteurs de la dernière minute ont toujours tort finalement. Ils vont devoir payer le double. Il faut dire que le rush était également sur le henné, à 10 dinars seulement.
Par le Jeune Indépendant
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