Annonce

Réduire
Aucune annonce.

En prononçant un discours devant le Congrès américain : Il y a 63 ans, JFK soutenait l’indépendance algérienne

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • En prononçant un discours devant le Congrès américain : Il y a 63 ans, JFK soutenait l’indépendance algérienne

    IDDIR NADIR 04 JUILLET 2020

    Quand l’histoire d’un individu en pleine ascension rencontre le destin d’un peuple en lutte. John F. Kennedy, alors sénateur américain, avait prononcé, le 2 juillet 1957, un discours en faveur de l’indépendance de l’Algérie.

    L’ambassade des Etats-Unis en Algérie a rappelé, jeudi, dans un post sur sa page Facebook ce fait historique d’importance : le message précise que le jeune sénateur démocrate du Massachusetts a prononcé son premier discours de politique étrangère au Sénat américain, «annonçant son soutien à l’indépendance de l’Algérie et dénonçant la tentative de la France de supprimer le mouvement indépendantiste algérien par la force militaire». «Peu de gens auraient pu prévoir qu’à peine cinq ans plus tard, ce jeune homme serait le président américain et accueillerait à la Maison-Blanche le président d’une Algérie nouvellement indépendante (Ahmed Ben Bella, ndlr), inaugurant une nouvelle ère des relations algéro-américaines», lit-on dans le post. Un court passage du discours de JFK, une photo de Ben Bella reçu par JFK, et la mosquée d’El Biar (Alger) construite grâce à des fonds de Mme Jacqueline Kennedy, accompagnent le message.

    Le sénateur J. F. Kennedy, qui occupait le poste de président de la Commission des affaires étrangères du Sénat en 1957, a déclaré : «Il y a plusieurs cas d’affrontements entre l’indépendance et l’impérialisme dans le bloc occidental qui requièrent notre attention. Mais ici aussi l’un d’eux, plus que les autres, est absolument essentiel, l’Algérie (…).

    Il est donc temps que l’on prenne en main le véritable problème qui nous est posé en Algérie – problème qui ne peut plus être évité ni par les Nations unies ni par l’OTAN – problème qui devient de plus en plus difficile à résoudre, comme une guerre acharnée apparemment sans fin détruit, un par un, les ponts de moins en moins nombreux qui restent vers un accord raisonnable.» Le sénateur de Massachusetts, ayant rencontré des militants algériens, à l’instar de M’hammed Yazid, Abdelkader Chandarli, a tôt soutenu la cause du peuple algérien.

    Devenu président des Etats-Unis, il prononce, le 5 juillet 1962, un autre discours félicitant l’indépendance de l’Algérie. Les Algériens n’ont point oublié ce soutien.

    Recevant le lundi 18 décembre 1962 l’ambassadeur des Etats-Unis, William Porter, venu lui présenter ses lettres de créances, le président Ahmed Ben Bella a fait l’éloge du président américains surnommé le «cheikh» : «Notre peuple n’oubliera pas la voix du cheikh Kennedy (…) qui a réclamé le droit du peuple algérien de décider de son sort. (…) J’ai été persuadé personnellement au cours de mes entretiens avec le président Kennedy de l’amitié véritable que témoignent les Etats-Unis envers l’Algérie », rapportait Le Monde le lendemain.

    Le 15 octobre 1962, John F. Kennedy reçoit à la Maison-Blanche Ben Bella. Ce dernier «s’est empressé de quitter New York pour Cuba, sans s’attarder à Washington, au grand dam de Kennedy, qui pourtant avait le premier dans son pays soutenu le combat des Algériens», souligne l’historien Omar Carlier.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Déjà en 1957

    Déjà en 1957, et avant qu'il ne soit élu président des états unis, et devant le congress Amercain,
    le sénateur Kennedy critique fortement la colonisation Francaise en Algérie,

    ainsi que la politique Américaine envers la révolution algérienne

    ففي عام 1957 انتقد كينيدي العضو في الكونغرس الامريكي السياسة الفرنسية في الجزائر انتقادا لاذعا ، بل انه انتقد سياسة بلاده تجاه الثورة الجزائرية ، ووصفها بعدم الوفاء لوثيق ة الاستقلال الوطني ، وسببا في اتهام الاخرين للولايات المتحدة بتأييد الاستعمار



    Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 12h22.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

    Commentaire


    • #3
      Pendant les discussion sur les accords d'EVIAN - Début 1962

      US PRESIDENT KENNEDY AND ongoing peace negociation of Independance ALGERIA

      President Kennedy answering question about the ongoing peace negociation between FLN and the French government at Evian
      Minute 1:49


      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

      Commentaire


      • #4
        05 Juillet 1962 : Message de Félicitation de KENNEDY aux Algériens à propos de leur indépendance

        PRESIDENT KENNEDY ABOUT ALGERIAN INDEPENDENCE DAY 5th JULY 1962

        Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 12h37.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

        Commentaire


        • #5
          Ben Bella Visit, October 15, 1962


          Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 12h21.
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

          Commentaire


          • #6
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

            Commentaire


            • #7
              En Octobre 1962, le Président du Conseil algérien, Ahmed Ben Bella est reçu à la Maison Blanche par le Président américain John Kennedy.


              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

              Commentaire


              • #8
                15 octobre 1962 - Le président John Kennedy accueille le Chef du Gouvernement algérien Ahmed Ben Bella

                (en effet, Benbella n'était que Chef du gouvernement (Président du Conseil) entre 27 septembre 1962 – 15 septembre 1963.
                Le chef de l'état était Ferhat ABBAS )


                Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 12h38.
                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                Commentaire


                • #9
                  Assassinat du Président KENNEDY le vendredi 22 novembre 1963 à Dallas

                  A la manière de l'assassinat du Président BOUDIAF en Algérie le 29 Juin 1991 à Annaba.


                  Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 12h43.
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    Le pasteur américain Lester Griffith à propos du colonel Amirouche : ≪
                    Je n’oublierai jamais celui qui m’a honoré de son amitié et qui est a l’origine d’une des belles rencontres de ma vie. ≫
                    Photo : pasteur Lester Griffith entourée de sa famille après avoir été liberé par le colonel Amirouche.
                    En ce jour du 17 aout 1958, le groupe du sous-lieutenant Mohand Ouali ou Khaled tendant une embuscade sur la route menant d’El Kseur à Berbatache pour intercepter un convoi de ravitaillement doit se rendre à l’evidence : un informateur a du prévenir l’armée française que leur déplacement régulier était cible par l’ALN.
                    Au moment de lever le dispositif, débouche du virage une petite voiture. C’est une quatre-chevaux Renault pilotée par un monsieur d’un certain âge. Arrêté, le chauffeur se présente : il s’appelle Griffith, est de nationalité américaine et officie comme pasteur à Ilmayene. Les maquisards brûlent son véhicule et conduisent le prisonnier au PC de wilaya. Les consignes d’Amirouche étaient claires. Tout prisonnier étranger devait y être achemine sain et sauf. C’est ainsi que Lester E. Griffith se retrouva dans l’Akfadou, ou on lui demanda d’attendre l’arrivée d’Amirouche. L’agent de liaison Mohand Sebkhi se trouvait au PC au moment des faits. Il raconte la réaction d’Amirouche à son arrivée, quand il trouva le pasteur enlevé par ses hommes : ≪ Si Amirouche était mecontent. Il fit des remarques assez dures aux combattants qui avaient enlevé le pasteur americain. ≫
                    Ce dernier faisait les frais de la fuite probable qui avait fait avorter l’embuscade du commando de l’ALN. ≪ J’ai encore dans les oreilles ses paroles : ≪ C’est un homme de religion. Il a sa foi, nous avons la notre. Pourquoi l’avez-vous arrêté ? Vous croyez que c’est avec ce genre de captures que vous allez gagner la guerre ? ≫ avait il fulmine.
                    Il avait donne des instructions pour que le prisonnier soit bien traite. ≪ Et, ajoute Mohand Sebkhi, jamais a cours d’éloge pour son chef, le colonel, qui réfléchissait vite, essaya de voir comment réparer l’erreur de son unité et, pourquoi pas, tirer avantage de la situation. ≫
                    Le pasteur passa trois mois au maquis. Il put voir la discipline des combattants et le fonctionnement du PC. Pendant ce temps la wilaya III essayait d’établir le contact avec la Croix Rouge qui finit par alerter le Vatican et d’autres ONG. Les Français, qui refusaient souvent les contacts car ils continuaient a nier la réalité de l’ALN, prenant le risque de sacrifier leurs soldats, furent cette fois contraints de négocier pour recueillir publiquement le prisonnier américain et le laisser parler avant d’organiser précipitamment son départ vers Rome, puis Genève, d’ou il rejoignit son pays.
                    Amirouche etait souvent en déplacement. Quand il revenait au PC, il trouvait toujours le temps de discuter avec l’Americain. Leurs rapports étaient particulièrement cordiaux. Le jour de sa libération, le colonel chercha a savoir si son ≪ hôte ≫ n’avait manque de rien. Ce dernier hésita un instant puis déclara que sa montre lui avait été retirée pendant son transfert afin de le priver de repères horaires. Amirouche retira le sienne et la remit au pasteur. Il exprima ses excuses pour l’incendie de sa voiture et lui remit une lettre destinée à la délégation du FLN a New York, dans laquelle le colonel demandait à la représentation algérienne de dédommager le pasteur. Sitôt libéré, l’Americain se répandit en éloges devant les medias sur la discipline de l’ALN et développa son point de vue dans toutes les conférences de presse qu’il tint, mettant a mal la propagande des services français qui ne purent qu’écourter le séjour de l’encombrant prisonnier sur le territoire algérien.
                    Une fois arrive aux Etats-Unis, Griffith prit contact avec M’hamed Yazid, charge de l’information du FLN, qui honora l’engagement du colonel de la wilaya III en remboursant le prix de la voiture incendiée. Le retour sur investissement dépassa toutes les espérances. Au volant de son nouveau véhicule, l’homme de religion fit un périple estime a plus de six mille kilometres, portant de ville en ville la cause algérienne. C’est a l’occasion de l’une des ses conférences que Griffith demanda a rencontrer un jeune sénateur du nom de John Fitzgerald Kennedy. Ce dernier insista pour revoir l’ancien détenu afin de mieux s’informer sur la réalité des maquis, leur composition, leur organisation, etc. Le FLN ne pouvait pas trouver meilleur ambassadeur : Kennedy fut l’un des soutiens les plus fidèles et les plus crédibles du peuple algérien pendant la guerre.
                    ……. le pasteur Griffith, revenu en Kabylie après l'indépendance. Il était alors basé aux Ouadhias ou il s’occupait d’organiser les jeunes pour des missions d’intérêt collectif. Il exhibait souvent la montre d’Amirouche, qu’il arborait avec fierté. C’était sa façon de trouver un bon prétexte pour relancer la discussion, qui se terminait invariablement par la même phrase : ≪ Je n’oublierai jamais celui qui m’a honoré de son amitié et qui est a l’origine d’une des belles rencontres de ma vie. ≫
                    ………Quelques années plus tard, Griffith fut expulsé d'Algérie par la Securité militaire pour ≪ espionnage ≫.
                    Source : Amirouche une vie deux morts un testament (Said Sadi) —
                    Le pasteur Lester Griffith à propos du colonel Amirouche : ≪ Je n’oublierai jamais celui qui m’a honoré de son amitié et qui est a l’origine d’une des belles rencontres de ma vie. ≫ Photo : pasteur Lester Griffith entourée de sa famille après avoir été libéré par le colonel Amirouche. En ce jour du 17 Août 1958, le groupe du sous-lieutenant Mohand Ouali ou Khaled tendant une embuscade sur la route menant d’El Kseur à Berbatache pour intercepter un convoi de ravitaillement doit se rendre à l'évidence : un informateur a du prévenir l’armée française que leur déplacement régulier était cible par l’ALN. Au moment de lever le dispositif, débouche du virage une petite voiture. C’est une quatre-chevaux Renault pilotée par un monsieur d’un certain âge. Arrêté, le chauffeur se présente : il s’appelle Griffith, est de nationalité américaine et officie comme pasteur à Ilmayene. Les maquisards brûlent son véhicule et conduisent le prisonnier au PC de wilaya. Les consignes d’Amirouche étaient claires. Tout prisonnier étranger devait y être acheminé sain et sauf. C’est ainsi que Lester E. Griffith se retrouva dans l’Akfadou, ou on lui demanda d’attendre l’arrivée d’Amirouche. L’agent de liaison Mohand Sebkhi se trouvait au PC au moment des faits. Il raconte la réaction d’Amirouche à son arrivée, quand il trouva le pasteur enlevé par ses hommes : ≪ Si Amirouche était mécontent. Il fit des remarques assez dures aux combattants qui avaient enlevé le pasteur américain. ≫ Ce dernier faisait les frais de la fuite probable qui avait fait avorter l’embuscade du commando de l’ALN. ≪ J’ai encore dans les oreilles ses paroles : ≪ C’est un homme de religion. Il a sa foi, nous avons la notre. Pourquoi l’avez-vous arrêté ? Vous croyez que c’est avec ce genre de captures que vous allez gagner la guerre ? ≫ avait il fulmine. Il avait donné des instructions pour que le prisonnier soit bien traiter. ≪ Et, ajoute Mohand Sebkhi, jamais a cours d’éloge pour son chef, le colonel, qui réfléchissait vite, essaya de voir comment réparer l’erreur de son unité et, pourquoi pas, tirer avantage de la situation. ≫ Le pasteur passa trois mois au maquis. Il put voir la discipline des combattants et le fonctionnement du PC. Pendant ce temps la wilaya III essayait d’établir le contact avec la Croix Rouge qui finit par alerter le Vatican et d’autres ONG. Les Français, qui refusaient souvent les contacts car ils continuaient a nier la réalité de l’ALN, prenant le risque de sacrifier leurs soldats, furent cette fois contraints de négocier pour recueillir publiquement le prisonnier américain et le laisser parler avant d’organiser précipitamment son départ vers Rome, puis Genève, d’ou il rejoignit son pays. Amirouche était souvent en déplacement. Quand il revenait au PC, il trouvait toujours le temps de discuter avec l’Américain. Leurs rapports étaient particulièrement cordiaux. Le jour de sa libération, le colonel chercha a savoir si son ≪ hôte ≫ n’avait manque de rien. Ce dernier hésita un instant puis déclara que sa montre lui avait été retirée pendant son transfert afin de le priver de repères horaires. Amirouche retira la sienne et la remit au pasteur. Il exprima ses excuses pour l’incendie de sa voiture et lui remit une lettre destinée à la délégation du FLN a New York, dans laquelle le colonel demandait à la représentation algérienne de dédommager le pasteur. Sitôt libéré, l’Américain se répandit en éloges devant les médias sur la discipline de l’ALN et développa son point de vue dans toutes les conférences de presse qu’il tint, mettant a mal la propagande des services français qui ne purent qu’écourter le séjour de l’encombrant prisonnier sur le territoire algérien. Une fois arrive aux Etats-Unis, Griffith prit contact avec M’hamed Yazid, charge de l’information du FLN, qui honora l’engagement du colonel de la wilaya III en remboursant le prix de la voiture incendiée. Le retour sur investissement dépassa toutes les espérances. Au volant de son nouveau véhicule, l’homme de religion fit un périple estime a plus de six mille kilomètres, portant de ville en ville la cause algérienne. C’est a l’occasion de l’une des ses conférences que Griffith demanda a rencontrer un jeune sénateur du nom de John Fitzgerald Kennedy. Ce dernier insista pour revoir l’ancien détenu afin de mieux s’informer sur la réalité des maquis, leur composition, leur organisation, etc. Le FLN ne pouvait pas trouver meilleur ambassadeur : Kennedy fut l’un des soutiens les plus fidèles et les plus crédibles du peuple algérien pendant la guerre. ……. le pasteur Griffith, revenu en Kabylie après l’indépendance. Il était alors basé aux Ouadhias ou il s’occupait d’organiser les jeunes pour des missions d’intérêt collectif. Il exhibait souvent la montre d’Amirouche, qu’il arborait avec fierté. C’était sa façon de trouver un bon prétexte pour relancer la discussion, qui se terminait invariablement par la même phrase : ≪ Je n’oublierai jamais celui qui m’a honore de son amitié et qui est a l’origine d’une des belles rencontres de ma vie. ≫ ………Quelques années plus tard, Griffith fut expulse d’Algérie par la Sécurité militaire pour ≪ espionnage ≫. Source : Amirouche une vie deux morts un testament dans le Livre de Said Saadi.
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                    Commentaire


                    • #11
                      @nacer-eddine06

                      La, je trouve que l'auteur (Said SAADI) s’entremêle un peu les pinceaux dans ses écrits.

                      Primo, le kidpnapping du Pasteur
                      américain Lester Griffith par des membres de l'ALN a eu lieu le 17 aout 1958 à Djelfa.
                      Mais il n'a été libéré que fin novembre 1958.
                      C'est à dire, 3 mois se sont passé entre son kidnapping
                      , et sa libération.
                      Il était emprisonné
                      dans le PC de la wilaya 3 où il a certainement suffisamment le temps de sympathiser avec le colonel Amirouche et les révolutionnaires avec lui.

                      Secondo, le ralliement du Sénateur KENNEDY à la cause de la révolution Algérienne est bien antérieur à ce kidnapping.
                      Preuve en ait le fameux discours de KENNEDY (vidéo posté ci-avant post #2 ) et qui est antérieur à cette date (plus d'une année avant).

                      Rappel Position Kennedy sur la révolution Algérienne en 1957 - (post #2) :
                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...68#post6690868
                      Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 16h26.
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                      Commentaire


                      • #12
                        Tertio, d'après mes lectures, c'est plutot le fameux Messaoud ZEGGAR (alias Rachid CASA, alias Mister Harry, alias BAHRI ... ) qui maitrisait formiablement bien l'anglais, qui était le précurseur à avoir sensibilisé les américains à la cause Algérienne.

                        A sa propre initiative et avec ses propres moyens ce héro Algérien enfant d'EL Eulma, qui se nommait "Mister HARRY" s'est donné corps et âme, et a milité activement et au plus-haut niveau pour son pays et son indépendance.

                        Et ainsi, grâce à ses contacts avec les officiers américains en poste à la base américaine au Maroc, ou il a pu se procurer du matériel de communication pour créer la fameuse radio " Sawt El Djazair" qui éméetait depuis la ville de Nador (MAROC).

                        Ses contacts multiples ont évolué au point de nouer des relations avec de hautes personnalités américaines et certains membres du Congrès américain, ou il assistait à certaines des fêtes et activités qu'ils organisaient.
                        C'est ainsi qu'il a eu l'occasion prendre contact avec la femme du sénateur américain John Kennedy. Celui qui était devenu des années plus tard le président des États-Unis d'Amérique. Il a ainsi utilisé et construit tous son réseau de relations pour soutenir la cause de son pays.

                        Plusieurs des opérations des services de renseignements algériens ont été couronnées de succès grâce à cet l'homme qui a commencé à étendre son service d'information à plusieurs endroits du monde, même avec l'entourage de Charles de GAULLE.

                        Ainsi Il a réussit à fournir aux dirigeants de la révolution (BOUSSOUF) des informations hautement classifiées et a constitué le noyau du réseau de renseignement, qui a joué un rôle de premier plan dans la guerre de libération et dans la fourniture du matériel de transmission. Sans parler de sa petite usine utltra-secrète de fabrication des bazooka en plein maroc.. avec importation des pièces des USAs..et ce, sans connaissance des marocians eux-même et au nez et à la barbe du MAKHZEN marocain .... ha ha ha

                        La suite on la connait après l'indépendance, avec Boumedienne (il nous a évité des représailles américaines après notre participation à la Guerre Israélo-arabe 67) et a été emprisonné en temps de Chadli.....??!!??

                        Dernière modification par Pomaria, 04 juillet 2020, 16h28.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          مسعود زقار المدعو رشيد كازا

                          En PRISON , et à la fin de la vidéo, on entend Le HERO ALGERIEN "ZEGGAR" chanter un champ patriotique !
                          Après sa libération par CHADLI, il est mort empoisonné à Madrid. :22:


                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                          Commentaire


                          • #14
                            Messaoud ZEGGAR Allah yerrahmou

                            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                            Commentaire


                            • #15
                              MESSAOUD ZEGGAR : L'homme que craignait BOUTEFLIKA...
                              Comment le serait-il alors c'est lui qui l'a giflé en public ... !!!
                              الــرجل الذي يهابه بوتفليقة...
                              كيف لا و هو من صفعه أمام الحضــور


                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X