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Obervalgérie Par Mohand Ouamar le 6 décembre 2020 12 h 27
Le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a révélé qu’en 2019 déjà, le président Emmanuel Macron avait décidé de réduire le quota de visas accordés aux Algériens. Darmanin a également affirmé que lors de sa tournée effectuée dans les pays du Maghreb, il a expliqué aux dirigeants de ces pays que Paris appliquerait le principe des visas en échange des ressortissants fichés pour radicalisme.
Ces révélations ont été rapportées samedi 5 décembre par le journal arabophone Echorouk, citant le rapport d’une séance de la commission des lois du Sénat français, consacrée à l’audition du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, tenue le 25 novembre dernier.
Lors des débats, ce dernier a indiqué, selon la même source, que « le président de la République (Emmanuel Macron) a pris une décision ferme et forte l’année dernière concernant la réduction du nombre de visas accordés pour l’Algérie ». Le rapport de la commission note qu’en 2019, la France a attribué 275 000 titres de séjour, dont une grande partie pour les Algériens, les Marocains et les Tunisiens.
Macron a décidé de réduire le nombre de visas pour l’Algérie
Toujours dans le même cadre, le ministre français de l’Intérieur a indiqué que Paris allait appliquer désormais le principe de visas contre le rapatriement des ressortissants fichés pour radicalisme. C’est ce qu’il a expliqué, a-t-il dit devant la commission qui l’auditionné, aux dirigeants algériens, marocains et tunisiens lors de sa dernière virée à travers les pays du Maghreb.
Pour rappel, à l’issue de sa visite à Alger, il avait déclaré : « J’ai rencontré le Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères et de l’Intérieur. Je les remercie pour leur coopération. L’Algérie est un grand pays cher à mon cœur. Ils m’ont clairement affirmé que les nationaux qui relevaient de leur responsabilité seraient repris à la condition que ce soit bien leurs nationaux, ce qu’on peut tout à fait comprendre », ajoutant qu’« il y a déjà eu un certain nombre d’expulsions ». Darmanin a expliqué que cette mesure entrait dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l’immigration clandestine.
Le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a révélé qu’en 2019 déjà, le président Emmanuel Macron avait décidé de réduire le quota de visas accordés aux Algériens. Darmanin a également affirmé que lors de sa tournée effectuée dans les pays du Maghreb, il a expliqué aux dirigeants de ces pays que Paris appliquerait le principe des visas en échange des ressortissants fichés pour radicalisme.
Ces révélations ont été rapportées samedi 5 décembre par le journal arabophone Echorouk, citant le rapport d’une séance de la commission des lois du Sénat français, consacrée à l’audition du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, tenue le 25 novembre dernier.
Lors des débats, ce dernier a indiqué, selon la même source, que « le président de la République (Emmanuel Macron) a pris une décision ferme et forte l’année dernière concernant la réduction du nombre de visas accordés pour l’Algérie ». Le rapport de la commission note qu’en 2019, la France a attribué 275 000 titres de séjour, dont une grande partie pour les Algériens, les Marocains et les Tunisiens.
Macron a décidé de réduire le nombre de visas pour l’Algérie
Toujours dans le même cadre, le ministre français de l’Intérieur a indiqué que Paris allait appliquer désormais le principe de visas contre le rapatriement des ressortissants fichés pour radicalisme. C’est ce qu’il a expliqué, a-t-il dit devant la commission qui l’auditionné, aux dirigeants algériens, marocains et tunisiens lors de sa dernière virée à travers les pays du Maghreb.
Pour rappel, à l’issue de sa visite à Alger, il avait déclaré : « J’ai rencontré le Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères et de l’Intérieur. Je les remercie pour leur coopération. L’Algérie est un grand pays cher à mon cœur. Ils m’ont clairement affirmé que les nationaux qui relevaient de leur responsabilité seraient repris à la condition que ce soit bien leurs nationaux, ce qu’on peut tout à fait comprendre », ajoutant qu’« il y a déjà eu un certain nombre d’expulsions ». Darmanin a expliqué que cette mesure entrait dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l’immigration clandestine.
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