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Des concitoyens ont pris contact avec moi pour connaître la suite de l’audience de ce onze décembre portant sur la plainte que j’ai déposée contre Salim Laïbi pour diffamation ainsi que celles engagées contre trois autres militants ou proches de l’organisation islamiste Rachad. S’agissant du premier dossier et compte tenu de la situation sanitaire qui n’épargne pas le secteur de la justice, le tribunal a programmé cette séance pour enregistrer les témoins et les avocats des deux parties. Pour ce qui me concerne, j’ai fourni la liste de mes témoins algériens et étrangers et ce sont mes avocats qui m’ont représenté puisqu’il n’y avait pas matière à plaidoirie. Nous n’avons, en revanche, pas pu connaître les témoins de la partie adverse. Une audience relai est programmée pour le 09 mars 2021 et l’audience de plaidoirie est prévue pour le 28 mai.
Concernant les militants Zitout et Boukhors dit Amir DZ, les plaintes sont déposées mais la recherche de leur adresse officielle se poursuit car l’un et l’autre ne veulent pas les dévoiler. Il faut, en effet, obtenir l’adresse officielle exacte de sorte que les individus concernés ne puissent pas prétendre qu’ils n’ont pas reçu leur convocation.
Enfin, la plainte déposée contre le capitaine Aboud est en cours d’enregistrement. Là aussi, les traducteurs ont fait leur travail et les huissiers ont établi leur constat.
Naturellement, ce ne sont pas, à proprement parler, les individus qui méritent attention dans cette période d’incertitude nationale mais la mouvance politique qu’ils servent et dont ils relaient les discours et pratiques. L’affaire est bien évidemment politique. En tant que telle, elle concerne toutes celles et ceux qui savent que l’islamisme, n’hésitant pas à recourir à la mobilisation de la délinquance politique, est le principal terreau sur lequel spécule le militarisme pour justifier son hégémonie.
A titre indicatif, voici des déclarations qui peuvent donner une idée des indécences dont s’accommodent ceux qui prétendent se poser en tuteur moral et politique de la communauté nationale.
nb
je n arrive pas a poster la video
Concernant les militants Zitout et Boukhors dit Amir DZ, les plaintes sont déposées mais la recherche de leur adresse officielle se poursuit car l’un et l’autre ne veulent pas les dévoiler. Il faut, en effet, obtenir l’adresse officielle exacte de sorte que les individus concernés ne puissent pas prétendre qu’ils n’ont pas reçu leur convocation.
Enfin, la plainte déposée contre le capitaine Aboud est en cours d’enregistrement. Là aussi, les traducteurs ont fait leur travail et les huissiers ont établi leur constat.
Naturellement, ce ne sont pas, à proprement parler, les individus qui méritent attention dans cette période d’incertitude nationale mais la mouvance politique qu’ils servent et dont ils relaient les discours et pratiques. L’affaire est bien évidemment politique. En tant que telle, elle concerne toutes celles et ceux qui savent que l’islamisme, n’hésitant pas à recourir à la mobilisation de la délinquance politique, est le principal terreau sur lequel spécule le militarisme pour justifier son hégémonie.
A titre indicatif, voici des déclarations qui peuvent donner une idée des indécences dont s’accommodent ceux qui prétendent se poser en tuteur moral et politique de la communauté nationale.
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