xenon
Je te le dis et redis, le conflit d'interet entre le clan TOUFIK et le clan BOUTEF était à son comble pour se disputer l'octroi des marchés SONATRACH !
je t'invite à lire et relire le livre de HOCINE MALTI (Histoire secrète du pétrole algérien) qui connait mieux que quiconque les rouages de SONATRACH
Absolument pas de la foutaise ,je t'invite à consulter les détails de l'enquête ouverte par le parquet de milan à l'encontre des hauts dirigeants algériens de la sonatrach et de leurs proches .
Un vaste système de corruption touchant plusieurs sociétés contractantes .
Je fais fi de la tentative de vendre la sonatrach à des fonds privés étrangers via un truchement de la loi ,tentative avortée in extremis par l'armée et le DRS à l'époque .
Un vaste système de corruption touchant plusieurs sociétés contractantes .
Je fais fi de la tentative de vendre la sonatrach à des fonds privés étrangers via un truchement de la loi ,tentative avortée in extremis par l'armée et le DRS à l'époque .
je t'invite à lire et relire le livre de HOCINE MALTI (Histoire secrète du pétrole algérien) qui connait mieux que quiconque les rouages de SONATRACH
Le DRS et son patron TOUFIK étaient pourtant en conflit avec Khalil : habilité par Bouteflika pour tout gérer dans le secteur énergétique, le ministre tout puissant CHAKIB KHELIL ne supportait pas les injonctions des services habitués à décider de tout, y compris des nominations… et des marchés à octroyer », confie le cadre de la présidence.
« On a utilisé le motif de la corruption pour procéder à un transfert de pouvoir d'un clan à un autre : celui du DRS a opéré une reprise en main du groupe et du secteur pétrolier, jusque-là sous le contrôle du clan présidentiel », témoignait à l'époque Hocine Malti, cofondateur de Sonatrach et auteur du passionnant Histoire secrète du pétrole algérien.
« On a utilisé le motif de la corruption pour procéder à un transfert de pouvoir d'un clan à un autre : celui du DRS a opéré une reprise en main du groupe et du secteur pétrolier, jusque-là sous le contrôle du clan présidentiel », témoignait à l'époque Hocine Malti, cofondateur de Sonatrach et auteur du passionnant Histoire secrète du pétrole algérien.
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