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Le terrorisme à la solde d'interêts étrangers

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  • #16
    ‘The conspiracy theory of society comes from abandoning God and then asking: “Who is in his place”?’ (Karl Popper)

    Il n'y a pas plus étrangers à l'Algérie que ceux qui la gouvernent, d'ailleurs ils ont presque tous la double nationalité.
    ᴎᴏᴛ ᴇᴠᴇᴎ ᴡᴙᴏᴎɢ!

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    • #17
      Je viens de perdre tout mini espoir que j´avais. Avicic a tout á fait raison. On nous parle de la main etrangere depuis des decennies. La main etrangere nous fracasse depuis 45 ans. Il doit y avoir un remede non!. La devise ce n´est pas moi,<c´est l´autre qui me veut du mal> ne tient plus. Les tenants du pouvoir pointe le doigt sur l ´atranger , les islamistes aussi "le diable vient de l´occident", tout le mode quoi! Il ne faut un auto-embargo pour résoudre nos problemes, le malheur est que, on aura pas assez à manger.
      “Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde.”

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      • #18
        quand je vois des terroristes qui se filment entre eux et se baladent come ils veulent dans les forets et territoires algeriens ,je suis surpris,mais comment on laisse cette bande de voyoux comme ca ,pourkoi achete tant d'armes,heliciopteres, avions de chasse .... .
        le projet de reconciliation n'a pas interéssé les islamistes il a aidé les criminels noyer jusqu'au coup dans le sang d'un peuple a ce faire du jack pot,les islamistes eux ont une cause dans la tete et il la defende et ce qui prouve cela ,regardez le maroc apres l grace royal de qlq pourriture ,ils ont perpetré les attentas du pritemps denieres donc y a pas de reconciliation ,il faut un vrai massacre ,terrifier les terroristes.
        Et quand j'entend (main des etrangers )j'espere qu'ils ne veulent pas remettre l'algerie dans la decenie noir,ces ptites mains ne finisseront pas par tomber un jour?et si cette main existe tjrs prk les dirigeants ne demissionne pas puisqu'ils n'ont pas reussis a la decapiter?et si il y a l'etranger pourkoi ne pas le reveler au peuple pour kil sache son ennemi c'est legitime nn?

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        • #19
          Encore la fameuse main étrangère !!!!!

          Le pouvoir démissionnaire n'a qu’à assumer son entière responsabilité, il doit rendre compte au peuple. C'est rageant d'entendre toujours la même chanson à chaque fois que le gouvernement est mis devant le fait accompli!

          Moi je dis qu'il faut une grosse marche sur Alger, ni à Batna ni ailleurs, mais a Alger au nez du boutef et son équipe.

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          • #20
            Je ne crois pas à cette thèse du complot étranger. Les auteurs des attentats sont de jeunes algériens qui se font exploser. Il y a une idéologie djihadiste qui sévit dans les pays musulmans. C’est à ça qu’il faut s’attaquer !!
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #21
              shadok

              Entièrement d'accord, il faut combattre l'intégrisme, pas seulement les Zombies!

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              • #22
                il faut combattre l'intégrisme
                et le khobzisme, l'arrivisme, ...
                ᴎᴏᴛ ᴇᴠᴇᴎ ᴡᴙᴏᴎɢ!

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                • #23
                  il faut combattre l'intégrisme

                  et le khobzisme, l'arrivisme,

                  faire disparaitre la misère, éduquer, loger, donner du travail pour que les gens ne sombrent pas dans la violence et l'intégrisme.

                  Donner un avenir à tous!
                  Mr NOUBAT

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                  • #24
                    Lynx,

                    Le pouvoir démissionnaire n'a qu’à assumer son entière responsabilité, il doit rendre compte au peuple. C'est rageant d'entendre toujours la même chanson à chaque fois que le gouvernement est mis devant le fait accompli!

                    Moi je dis qu'il faut une grosse marche sur Alger, ni à Batna ni ailleurs, mais a Alger au nez du boutef et son équipe.
                    L'idée de la marche n'est pas mauvaise mais il faut garantir sa réussite et même avoir un plan pour remplacer le pouvoir qui va vacciller.

                    J'étais présent dans la préparation de la marche du 14 juin 2001 et présent à la place du 1er mai puis à l'hopital Mustapha durant toute la journée du 14 juin 2001.

                    J'étais présent aussi dans la marche du 19 mars 2007 .

                    Je peux dire que pour pouvoir entrer à Alger, il faut que ce soit les 48 wilayas qui se mettent en route de façon déterminée. Chaque wilaya doit mobiliser tous ses moyens roulants et au moins la moitie de sa population. Les 48 wilayas doivent converger sur Alger.

                    Tout ce travail doit se faire de façon organisée et coordonnée.

                    Quand on fait l'analyse de l'existant, je peux dire qu'on est loin d'une telle situation. Si l'on veut se réapproprier notre souveraineté, nous devons commencer par mieux nous organiser au moins localement. Il faut admettre que pour toute organisation, il faut des moyens et c'est où le bas blesse car ces moyens, c'est souvent l'administration qui les a. Le peuple doit donc commencer par se réapproprier ses mairies.

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                    • #25
                      C'est très certainement le Mossad qui est derrière ces attentats ...
                      Non, c'est officiel, Zerhouni l'a déclaré dans une conference de presse en présence de journalistes du monde entier il y quelques miniutes : c'est une intelligence extraterrestre qui a commandité les attentats

                      Sérieusement, ça commence à bien faire la théorie du complot étranger

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                      • #26
                        quand je vois des terroristes qui se filment entre eux et se baladent come ils veulent dans les forets et territoires algeriens ,je suis surpris,

                        Lorsque la population les laisse faire, car dans certaines régions, qui est l'ennemi du pouvoir est notre ami!
                        On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                        • #27
                          Les propos du président bouteflika relancent les interrogations.

                          L’attentat de Batna est-il un complot de l’étranger ?

                          Réagissant à chaud à l’attentat terroriste de Batna, où il était en visite officielle, le président Bouteflika surprendra son monde en investissant le champ où on l’attendait le moins. Surprenant, dès lors qu’on ne reconnaissait pas, même au sein de ses farouches opposants, à Abdelaziz Bouteflika l’usage du fonds de commerce “du complot étranger”.
                          Il serait peut-être loisible de mettre les accusations de notre Président contre des puissances étrangères sur le compte d’une émotion mal contenue, ou encore y voir le souci de désigner un coupable qui donne le beau rôle à l’autorité suprême de notre pays.
                          Mais, c’est assurément faire injure au profil du personnage qui reste quand même l’un des “poids lourds” de la diplomatie, ayant su toujours faire l’économie de déclarations à “l’emporte-pièce”. Ceci pour dire, sans circonstances atténuantes, que ces accusations présidentielles méritent d’être creusées. Ne serait-ce que pour tenter d’aller au bout de cette logique qui s’intègre du reste harmonieusement, aujourd’hui, plus que par le passé, dans un contexte mondial où le plus fort est censé avoir toujours le dernier mot. Nous voilà ainsi donc dans le vif du sujet des relations internationales où les différends politiques, économiques, énergétiques entre États se règlent à l’issue d’une épreuve de force, dont le vainqueur sera nécessairement celui qui négocie en “position de force”.
                          Exit donc le langage diplomatique, les professions de bonne foi, la fraternité, les vœux de bonheur, de prospérité et de solidarité que s’échangent à tout-va les chefs d’État quand ils sont sous les feux de la rampe. Car l’équation est simple : la force d’un État s’apprécie à l’étalon de la faiblesse de son voisinage. Aujourd’hui, l’image est forte. Celle d’une Algérie qui a fermé la parenthèse de la décadence, du moins à travers l’image qu’elle renvoie désormais à l’extérieur et qui ressemble à s’y méprendre à celle d’un État considéré dans les années 1970 “La Mecque des révolutionnaires”, le ténor de l’Opep, l’animateur le plus actif des Non-Alignés, le plus ardent défenseur de la cause palestinienne et le plus dynamique promoteur du droit des peuples à disposer de leur destin national. Convenons que ce lustre, notre pays ne le devait pas exclusivement au dynamisme diplomatique hors pair ou encore au charisme de ses responsables de l’époque. Non !
                          L’Algérie avait les faveurs d’un contexte économique, d’une conjoncture pétrolière, d’une paix sociale et de l’aura de la plus significative révolution du XXe siècle qui lui donnaient les moyens de sa politique. Le regretté président Houari Boumediene disait qu’il fallait construire un “État qui doit survivre aux hommes”. Après sa mort, peu de chose dont pouvait s’enorgueillir l’Algérie lui ont survécu.

                          La voix de l’Algérie s’est tue avec celle de Houari Boumediene. La fin d’une époque. On ne défendait les causes justes que du bout des lèvres. Pouvait-on faire autrement quand on était les obligés des autres et qu’on acceptait en naufragés une aide d’où qu’elle venait ? Subitement, on n’éprouvait plus le besoin de demander des comptes à la France sur son passé colonial. Souvenons-nous quand François Mitterrand s’enhardit jusqu’à demander à l’Algérie de supprimer une strophe de notre hymne national jugée attentatoire au prestige de la France.
                          Le Maroc reprenait du poil de la bête et même la Tunisie remettait en cause un bornage frontalier. Quant à Mouammar Al-Kadhafi, il faisait de notre pays son souffre-douleur. On était en plein programme anti-pénurie, alors que les argentiers élisaient domicile dans la maison Algérie, pour se rassurer si l’on avait bien dépensé l’argent qu’ils avaient prêté en parfaits usuriers. À cette époque, effectivement, il était vraiment risible de parler de “complot étranger”. Tout le monde se comportait en seigneur avec l’Algérie avec ce suprême chantage de couper le robinet. L’avènement de l’islamisme politique et son avatar le terrorisme asséna le coup de grâce à un pays qui devait servir, selon le roi du Maroc Hassan II, de laboratoire à la prise et l’exercice du pouvoir par les islamistes. Bref, l’Algérie n’avait plus voix au chapitre. Ceci nous amène à l’attentat de Batna qui visait initialement la personne du président de la République.

                          L’Algérie de Bouteflika dérange. Trivialement dit, c’est un “empêcheur de tourner en rond”. Et qui plus est dispose d’arguments massue pour dire non ! Quand ses intérêts sont remis en cause. L’actualité la plus récente nous donne de beaux exemples et autant de bonnes raisons qui peuvent motiver à faire taire à jamais la voix de Abdelaziz Bouteflika. Autant dire une voie royale peut-être pour rééditer le scénario de la grandeur et décadence de l’Algérie des trois dernières décennies. Parlons, par exemple, de la politique de voisinage de l’Union européenne (PEV) et le refus poli de l’Algérie. Les objectifs de la PEV tiennent en trois mots : stabilité, sécurité et prospérité. Notre pays a estimé que de tels objectifs ont été déjà pris en charge par d’autres mécanismes et qu’en dernier ressort, il a jugé qu’il ne tire aucun profit de cette politique de voisinage qui est une manière déguisée d’imposer aux pays du sud de la Méditerranée la vision européenne.
                          L’Algérie est l’un des rares pays à avoir dit ouvertement non au projet. Et ce refus reste assez problématique. Et à cet égard, il ne serait pas inutile de faire un clin d’œil à la dépendance énergétique globale de l’Union européenne qui va s’accroître : en 2030, l’UE importera plus de 70% de sa consommation (contre un peu plus de 50% actuellement). Or, l’Algérie joue un rôle fondamental dans l’approvisionnement de l’union. Dans la production de l’énergie bien sûr, l’Algérie est aussi un important fournisseur de gaz. Cette dimension figure en bonne place dans la politique de voisinage. Pour desserrer la contrainte énergétique, l’UE s’efforce de développer des réseaux énergétiques fiables, et de créer ainsi un espace intégré entre l’UE et ses voisins. Tout cet échafaudage risque d’être contrarié par l’Algérie.


                          Autre exemple. Les États-Unis en prospection en Afrique pour trouver un pays d’accueil à leur Centre de commandement militaire pour l’Afrique (Africom) avaient essuyé un refus de l’Algérie de servir de base à une infrastructure censée chapeauter toutes les opérations de combat américaines dans le continent. L’Algérie figure toujours en première place des pays que les États-Unis souhaitaient convaincre pour abriter l’Africom. Les observateurs avertis estiment que l’installation du centre de commandement en Afrique est destinée à renforcer davantage l’influence de Washington sur le continent et de s’assurer de ses richesses, notamment pétrolières, qui attirent les convoitises de plusieurs pays émergents dont la Chine.
                          L’Algérie semble avoir une autre idée et l’a bien signifiée aux États-Unis. Quelles auraient été les réactions officielles américaines, européennes si l’on se projetait dix années en arrière ? On s’interroge ! N’est-ce pas que la présence de Bouteflika à la tête de l’État algérien dérange à ce point pas mal de capitales ?

                          ZAHIR BENMOSTEPHA


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                          • #28
                            plusieurs articles mentionnent le maroc, hassanII, le sahara ; ce dernier dit que les messages de solidarité ne veulent rien dire et cachent les vraies intentions :
                            Exit donc le langage diplomatique, les professions de bonne foi, la fraternité, les vœux de bonheur, de prospérité et de solidarité que s’échangent à tout-va les chefs d’État quand ils sont sous les feux de la rampe. Car l’équation est simple : la force d’un État s’apprécie à l’étalon de la faiblesse de son voisinage.
                            chnou za3ma le maroc est impliqué ?
                            l'espagne ?

                            je comprends que le president ne nomme pas les parties suspectées, pourquoi la presse ne le fait pas et va au bout de sa pensée ? pourquoi ne pas ouvrir une enquete ?
                            ce genre d'article ne va faire qu'empirer les relations entre les pays dans la region ... en lisant ce genre d'articles on se sent forcement visés ! insultés !

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                            • #29
                              Je dirais plutot :


                              Le terrorisme a la solde d interets internes de mafieux

                              Commentaire


                              • #30
                                Je dirais plutot :


                                Le terrorisme a la solde d interets internes de mafieux
                                Vooiiilà ! là quand même on est plus proches de la vérité. Le problème c'est qu'il y a tellement de groupes mafieux en Algérie qu'on s'y perd.
                                Dernière modification par Salah_dz, 10 septembre 2007, 13h23.

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