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La Russie s’apprête à livrer, dans les prochaines semaines, à l’Algérie six chasseurs de type SU 30, selon plusieurs sources concordantes. Fabriqué par la firme russe Sukhoï, le SU 30 est un appareil de supériorité aérienne ultramoderne. Avec sa taille impressionnante et sa double dérive, il est le concurrent direct du F-15 américain. Le SU 30 est également considéré comme un des plus puissants intercepteurs actuellement en service. Grâce à cette acquisition, l’armée de l’air algérienne va entrer dans une nouvelle ère de modernité et de puissance.
Ces appareils font partie d’une commande globale d’achat d’armes russes par l’Algérie conclue en 2006 pour près de 4 milliards de dollars. Cette commande concerne, selon des sources russes, des contrats d’achat de plusieurs avions de chasses Mig et Soukhoï, de missiles antiaériens et de chars T-90. Un sous-marin diesel devrait être livré à l’Algérie très prochainement. Selon des experts militaires, ces contrats destinés pour un rééquipement total de l’armée algérienne.
Durant les 1990, les achats algériens d’armes n’ont pas dépassé les 500 millions de dollars pour cause de manque de capacités de financements. Durant cette période, en plus du terrorisme, l’Algérie était en effet confrontée durant à une situation financière très difficile qui limitait fortement ses capacités d’équiper son armée. Aujourd’hui, grâce à la hausse des prix du baril de pétrole, Alger dispose de près de 100 milliards de dollars de réserves de change. Elle entend désormais développer rapidement ses capacités de défense.
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Ces appareils font partie d’une commande globale d’achat d’armes russes par l’Algérie conclue en 2006 pour près de 4 milliards de dollars. Cette commande concerne, selon des sources russes, des contrats d’achat de plusieurs avions de chasses Mig et Soukhoï, de missiles antiaériens et de chars T-90. Un sous-marin diesel devrait être livré à l’Algérie très prochainement. Selon des experts militaires, ces contrats destinés pour un rééquipement total de l’armée algérienne.
Durant les 1990, les achats algériens d’armes n’ont pas dépassé les 500 millions de dollars pour cause de manque de capacités de financements. Durant cette période, en plus du terrorisme, l’Algérie était en effet confrontée durant à une situation financière très difficile qui limitait fortement ses capacités d’équiper son armée. Aujourd’hui, grâce à la hausse des prix du baril de pétrole, Alger dispose de près de 100 milliards de dollars de réserves de change. Elle entend désormais développer rapidement ses capacités de défense.
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