Bonjour
Diffusées par le bureau des programmes d’information internationale du département d’Etat américain et rapportées par des agences de presse, des études et des analyses élaborées par des experts occidentaux, notamment américains, montrent que les candidats à l’attentat suicide proviennent des milieux éduqués de la classe moyenne et non des milieux pauvres comme on le pense souvent.
Les attentas suicide ayant ensanglanté Alger (palais du Gouvernement et commissariat de Bab Ezzouar) le 11 avril 2007 et ceux qui ont suivi avaient, souvenons-nous, divisé les Algériens, et à leur tête les responsables politiques, sur les raisons qui poussent les jeunes à verser dans le terrorisme et surtout dans l’attentat suicide.
Les approches sur ce phénomène nouveau en Algérie faites à l’époque par les leaders de l’alliance présidentielle eux-mêmes étaient différentes. Alors qu’Abdelaziz Belkhadem du FLN et Aboudjerra Soltani du MSP avaient tout mis sur le dos de la misère sociale et du désespoir des jeunes, Ahmed Ouyahia était lui d’un autre avis.
«La manipulation de la religion et l’utilisation de cette dernière à des fins politiques sont à l’origine du terrorisme et des attentats suicide», a-t-il dit, réfutant catégoriquement les tentatives de certains de justifier le terrorisme par la misère sociale.
Le président de la République a, lui aussi, à maintes reprises, considéré que la misère sociale et la pauvreté sont le terreau du terrorisme. Qui a raison ? Au-delà des convictions des uns et des autres, des psychanalystes, des chercheurs, des spécialistes en terrorisme et des experts occidentaux viennent de démontrer qu’il ne faut pas aller vite en besogne, en affirmant que les contours du profil d’un candidat à l’attentat suicide restent très élastiques et défient les stéréotypes.
Le Jeune Indépendant
Diffusées par le bureau des programmes d’information internationale du département d’Etat américain et rapportées par des agences de presse, des études et des analyses élaborées par des experts occidentaux, notamment américains, montrent que les candidats à l’attentat suicide proviennent des milieux éduqués de la classe moyenne et non des milieux pauvres comme on le pense souvent.
Les attentas suicide ayant ensanglanté Alger (palais du Gouvernement et commissariat de Bab Ezzouar) le 11 avril 2007 et ceux qui ont suivi avaient, souvenons-nous, divisé les Algériens, et à leur tête les responsables politiques, sur les raisons qui poussent les jeunes à verser dans le terrorisme et surtout dans l’attentat suicide.
Les approches sur ce phénomène nouveau en Algérie faites à l’époque par les leaders de l’alliance présidentielle eux-mêmes étaient différentes. Alors qu’Abdelaziz Belkhadem du FLN et Aboudjerra Soltani du MSP avaient tout mis sur le dos de la misère sociale et du désespoir des jeunes, Ahmed Ouyahia était lui d’un autre avis.
«La manipulation de la religion et l’utilisation de cette dernière à des fins politiques sont à l’origine du terrorisme et des attentats suicide», a-t-il dit, réfutant catégoriquement les tentatives de certains de justifier le terrorisme par la misère sociale.
Le président de la République a, lui aussi, à maintes reprises, considéré que la misère sociale et la pauvreté sont le terreau du terrorisme. Qui a raison ? Au-delà des convictions des uns et des autres, des psychanalystes, des chercheurs, des spécialistes en terrorisme et des experts occidentaux viennent de démontrer qu’il ne faut pas aller vite en besogne, en affirmant que les contours du profil d’un candidat à l’attentat suicide restent très élastiques et défient les stéréotypes.
Le Jeune Indépendant
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