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«Zerhouni est un voyou»

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  • «Zerhouni est un voyou»

    Dans son dernier meeting de campagne électorale animé, tard dans la soirée de lundi dernier, à Tizi-Ouzou, le premier secrétaire national du FFS, K.Tabbou a eu des mots très durs à l’encontre du «pouvoir et de ses dérivés».

    Dans la salle OMS Saïd-Tazrout, Tabbou a développé, comme à son habitude, un discours truffé de petites phrases, des formules valises qui ont fait leur effet sur un public jeune dans sa dominante et où, visiblement, l’écrasante majorité de ce qui était connu comme étant le «peuple» du FFS n’était pas au rendez-vous et à travers lesquelles le premier responsable du parti d’Aït Ahmed parlera tour à tour et, en des termes peu glorieux, de Belkhadem, d’Ahmed Ouyahia, du Hamas dont les responsables «volent sans laisser de traces et qui demandent à faire confiance en leurs élus et de leur demander ensuite des comptes à l’issue de leur mandat».

    Les députés et les partis politiques «des oiseaux migrateurs porteurs d’un virus aviaire pour la démocratie» n’ont pas échappé à l’humour persifleur de l’orateur. Sauf bien sûr le FFS à qui Tabbou prête, en Kabyle dans le texte, la majesté de «l’aigle qui plane très haut et loin des sphères où volent les corbeaux et autres oiseaux de proie».

    Entendre par là que le FFS reste le seul parti réellement d’opposition et dont le charisme et l’aura font peur au pouvoir. Tabbou énumère les multiples entraves dressées par l’administration devant les listes électorales du parti qui, selon encore le même orateur, constitue l’alternative et le seul recours pour la prise en charge des préoccupations des citoyens.

    Des entraves que Tabbou impute en premier lieu au ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni «un voyou» et qui n’a pas répondu, s’indignera le n°2 du FFS, au défi qui lui a été lancé pour une confrontation publique au sujet des listes électorales rejetées au niveau de plusieurs wilayas, ajoutant à l’adresse de Zerhouni : «Quand on ne peut pas assumer une responsabilité politique, on démissionne.» Réfutant les arguments avancés pour disqualifier les listes du FFS, Tabbou a eu encore une autre petite phrase : «Ce sont les députés qui constituent un danger pour la société et non les candidats du FFS.»

    SAM. (Le soir d'Algérie)

  • #2
    On voit bien le niveau des partis qui soit disant portent l'espoir des Algériens pour changer le systeme actuel .
    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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    • #3
      Il y en a des voyous en Algerie....

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      • #4
        Essah

        tu connais un endroit ou il y en a pas ?
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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        • #5
          tu connais un endroit ou il y en a pas ?
          Tous les politiciens du monde entier sont des criards et des poli-voyous .

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