“50000 DA d’amende pour les parents d’élèves négligents”
Les parents, qui privent leurs enfants de rejoindre les bancs de l’école pour une raison ou une autre, seront passibles d’une amende de l’ordre de 50 000 Da, a annoncé, hier à Alger, le ministre de l’Éducation nationale, M. Boubekeur Benbouzid. Lors d’une réunion qu’il a tenue avec la Fédération nationale des associations des parents d’élèves, M. Benbouzid a précisé que cette amende est imposée en vertu de la loi relative au caractère démocratique et obligatoire de l’enseignement, prévue par l’ordonnance de 1976 et ultérieurement par la loi d’orientation de l’éducation nationale. Le ministre a rappelé, à l’occasion, que le taux de scolarisation en Algérie est de 97%, soulignant que le taux restant des enfants non scolarisés est dû à de multiples raisons, dont le refus pur et simple des parents de scolariser leurs enfants.
L’État, a ajouté le ministre, veille à réunir toutes les conditions nécessaires pour assurer une place pédagogique à chaque enfant algérien, jusqu’à l’âge de 16 ans, tout en lui garantissant un enseignement qualitatif adapté au processus des réformes et au développement technologique enregistré à travers le monde.
R. N
Les parents, qui privent leurs enfants de rejoindre les bancs de l’école pour une raison ou une autre, seront passibles d’une amende de l’ordre de 50 000 Da, a annoncé, hier à Alger, le ministre de l’Éducation nationale, M. Boubekeur Benbouzid. Lors d’une réunion qu’il a tenue avec la Fédération nationale des associations des parents d’élèves, M. Benbouzid a précisé que cette amende est imposée en vertu de la loi relative au caractère démocratique et obligatoire de l’enseignement, prévue par l’ordonnance de 1976 et ultérieurement par la loi d’orientation de l’éducation nationale. Le ministre a rappelé, à l’occasion, que le taux de scolarisation en Algérie est de 97%, soulignant que le taux restant des enfants non scolarisés est dû à de multiples raisons, dont le refus pur et simple des parents de scolariser leurs enfants.
L’État, a ajouté le ministre, veille à réunir toutes les conditions nécessaires pour assurer une place pédagogique à chaque enfant algérien, jusqu’à l’âge de 16 ans, tout en lui garantissant un enseignement qualitatif adapté au processus des réformes et au développement technologique enregistré à travers le monde.
R. N
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