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Deux femmes terroristes arrêtées à Lakhdaria

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  • Deux femmes terroristes arrêtées à Lakhdaria

    Trois personnes dont deux femmes ont été arrêtées par les services de la police à Lakhdaria. Les inculpés menaçaient de commettre un attentat kamikaze contre l’un des commissariats de sûreté de daïra. Les services de police ont agi suite à un appel téléphonique durant la nuit du 4 au 5 février. En effet, aux environs de 21h, un appel téléphonique a été reçu au niveau de la salle de trafic (standard) de la sûreté de la wilaya les informant qu’un attentat kamikaze sera perpétré le lendemain matin par Sabrina “essabira”. Le chef de service et l’officier de permanence avaient pris au sérieux la menace terroriste. Le numéro d’appel fut repéré au niveau de l’afficheur. À 22h, soit moins d’une heure après, l’affiliation du propriétaire de la ligne fut connue. La personne détentrice du numéro n’est autre qu’un simple fellah au niveau de la région de M’chedallah.

    En fin policier, le chef de service a vite réalisé que cette personne n’est concernée ni de près ni de loin par cet appel, et l’hypothèse est écartée. À minuit, tous les appels reçus et effectués furent transmis à la police. Après analyse, deux numéros attirent l’attention des enquêteurs. Ces numéros reviennent plus d’une dizaine de fois par jour et avec des durées de communication importantes. À 1h30, deux jeunes filles, résidant à lakhdaria dont la nommée Sabrina, âgée de 21 ans, furent arrêtées. Avec les moyens de communication sophistiqués, les services de sécurité ont réussi à localiser le cerveau de l’opération aux environs de 1h20 ; il fut arrêté à 2h du matin au niveau de la localité de Bourebache située sur les hauteurs de la ville de Lakhdaria. Lors de son arrestation, il avait nié les faits et l’appel ne serait qu’une simple plaisanterie. Une fois devant ses complices, il est passé aux aveux.

    Le cerveau répondant aux initiales B. T. âgé de 31 ans est connu des services. Il a été arrêté au maquis en 96 et a passé 15 ans en prison avant d’être libéré en date du 25 juillet 2004 dans le cadre de la loi sur la Rahma. Au maquis, où il avait activé sous la houlette du GIA, il était un expert en explosif et s’est spécialisé dans la fabrication de bombe artisanale. Le 11 septembre 2006, il fut arrêté après l’explosion d’une bombe artisanale. Le 1er juillet 2007, il fut relâché par la justice pour insuffisance de preuves. Présenté devant le procureur du tribunal de Lakhdaria, il a été mis sous mandat de dépôt. Ses deux complices sont sous enquête.

    source : Liberté

  • #2
    ces femmes soient elles ont été lessivés du cerveau

    ou soient elles font par ça par conviction!

    si des femmes s'y mettent, tout le monde va se méfier de tout le monde!

    un homme gendarme aurait-il droit à une fouille au corps aux femmes si il

    n'y a pas de femme gendarme sur le moment pour le faire ?

    c'est vraiment choquant !

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    • #3
      Le cerveau répondant aux initiales B. T. âgé de 31 ans est connu des services. Il a été arrêté au maquis en 96 et a passé 15 ans en prison avant d’être libéré en date du 25 juillet 2004 dans le cadre de la loi sur la Rahma. Au maquis, où il avait activé sous la houlette du GIA, il était un expert en explosif et s’est spécialisé dans la fabrication de bombe artisanale.
      Ce qui me dérange de la part de nos autorité c'est le manque d'information donnée au lecteur.

      Je me demande encore pourquoi on ne nomme pas ces terroristes: Si on le faisait, peut être que le peuple sera plus vigilant dans la mesure ou il pourrait aider la police à dépister les complices...

      Juste une idée.

      Le fait de ne mettre que les initiales des individus me porte à croire qu'on les protège (sans le vouloir peut être)
      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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      • #4
        Bonjour.

        La participation des femmes ne datent pas d'aujourd'hui, à l'époque, les années 90's, des étudiantes en étaient écrouées pour complicité.

        Elles sont moins nombreuses que les larves "masculins" mais elles existent bien.

        A force de sous-estimer la logistique des larves et leur stratégie on a pas fini d'être surpris.

        @Avucic.


        Le même patronyme, peut-être porter par plusieurs personnes en Algérie, d'où la réserve de la presse "micro-onde".
        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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