Le Canada attire environ 3500 Algériens chaque année. Le Québec est leur destination favorite. En 2006, l’immigration algérienne s’est classée première, devançant celle française et chinoise. Près de 50 000 Algériens résident désormais au Canada. La « destination Canada » a commencé à s’imposer aux Algériens à partir des années 1990. Voulant fuir le terrorisme intégriste et devant la décision de la France (c’est le pays où les Algériens émigrent traditionnellement) de leur imposer des visas d’entrée, ils ont vu en l’Amérique du Nord (le Canada francophone particulièrement), car plus permissive en matière d’immigration, une bonne alternative.
Une fois arrivés sur place, les Algériens découvrent que même si la vie y est plus facile par certains aspects, c’est néanmoins loin d’être l’eldorado rêvé. En effet, le Canada vit aussi au rythme d’une réalité qui peut surprendre les immigrants qui s’attendent à une vie facile et sans embûches. 20% des immigrants, déçus, quittent le Canada pour retourner dans leur pays d’origine ou tenter leur chance ailleurs (Etats-Unis, Australie ou grande-Bretagne). Des Algériens, tous les ans, reviennent et se réinstallent dans une vie qu’ils pensaient avoir définitivement quittée. Le taux de rétention – ceux qui restent – est quand même élevé : les 4/5e s’accrochent et refont leur vie dans un pays où la bureaucratie est tout de même nettement moindre et les chances de réussite plus importantes.
source : El Watan
Une fois arrivés sur place, les Algériens découvrent que même si la vie y est plus facile par certains aspects, c’est néanmoins loin d’être l’eldorado rêvé. En effet, le Canada vit aussi au rythme d’une réalité qui peut surprendre les immigrants qui s’attendent à une vie facile et sans embûches. 20% des immigrants, déçus, quittent le Canada pour retourner dans leur pays d’origine ou tenter leur chance ailleurs (Etats-Unis, Australie ou grande-Bretagne). Des Algériens, tous les ans, reviennent et se réinstallent dans une vie qu’ils pensaient avoir définitivement quittée. Le taux de rétention – ceux qui restent – est quand même élevé : les 4/5e s’accrochent et refont leur vie dans un pays où la bureaucratie est tout de même nettement moindre et les chances de réussite plus importantes.
source : El Watan
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