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Une jeune fille violée par dix hommes à Alger

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  • Une jeune fille violée par dix hommes à Alger

    La terreur mine les liens sociaux et les victimes sont nombreuses et surtout de plus en plus jeunes. B. K., une jeune fille de 17 ans, a subi l’intolérable mercredi dernier à Beni Messous (Alger). Seule face à dix hommes, elle a été marquée de l’empreinte de la barbarie humaine, de l’expression de la bestialité de l’homme, de l’infâme soif d’assouvir une besogne criminelle. B. K. a été violée 16 fois par 10 hommes en une longue et interminable journée. Ses agresseurs n’étaient ni des terroristes ni des criminels notoires et encore moins des chômeurs désœuvrés. Agés entre 20 et 23 ans, ces jeunes gens ont tous un emploi et leurs frêles silhouettes les noient facilement dans le tumulte de la ville. Venant de Larbaâ, après avoir fugué, B. K. a rencontré C. R. sur sa route la menant chez son oncle habitant à Beni Messous. Sa vulnérabilité d’adolescente la laisse s’engouffrer avec cet inconnu dans une baraque de fortune, au milieu d’un espace boisé, là où l’insoutenable arriva. Elle y passa la nuit, puis son nouvel « ami » la surprend en invitant neuf de ses congénères à pénétrer dans la baraque et à abuser collectivement de « sa proie », trophée de sa chasse de la veille. B. K. ne put s’extraire de ce cauchemar. Immobilisée par ses agresseurs, elle compta les heures, les minutes et les secondes, en priant qu’ils en finissent de la supplicier, qu’ils arrêtent d’abuser de sa jeunesse et qu’ils mettent fin à cette peine dictée par leurs pulsions criminelles. Pour son malheur, la drogue et l’alcool ingurgités par ses bourreaux n’ont fait que prolonger son martyre. « Après avoir compris qu’ils allaient tous me violer et voyant que je ne pouvais ni crier ni fuir, je n’ai plus pensé qu’au moment où ils en termineront avec moi et me laisseront partir », confie-t-elle à Boukaoula Zohra, psychologue de la gendarmerie chargée de la prendre en charge. Deux jours après ce forfait, samedi dernier, le père de B. K. se présenta à la brigade de gendarmerie de Beni Messous pour déposer plainte contre X.

    Le poids des traditions a failli pousser ce père de famille à rebrousser chemin et se contenter de prier pour que les criminels qui ont emporté la virginité de sa fille soient punis par la justice divine. C’est devant l’insistance du chef de brigade de la gendarmerie de Beni Messous que le père consent à ce que sa fille participe à identifier les auteurs du crime dont elle a été victime. C’est d’ailleurs grâce à la consultation du fichier photos des repris de justice détenu par ses services qu’un des auteurs a été identifié, le fameux C. R. rencontré la veille du crime. « Nous avons pu lui mettre la main dessus le jour même et il finit par révéler l’identité de ses complices », explique le commandant Berrahal Abdelkader de la compagnie de gendarmerie d’Alger en soulignant que ses complices ont des casiers judiciaires vierges. A noter que B. K. n’avait parlé que de six violeurs. Ce n’est qu’après avoir discuté avec la psychologue qu’elle révéla qu’elle avait été violée par dix personnes. « Le sentiment de honte et de gêne l’empêcha de prononcer le nombre dix, il lui paraît tellement énorme qu’elle tenta de l’oublier en le minimisant », explique Boukaoula Zohra du service de psychologie de la Gendarmerie nationale. Il est connu que les femmes violées sont aussi victimes d’un sentiment de culpabilité, ajoutant à la douleur de l’acte criminel une autre souffrance psychologique. C’est grâce à son témoignage pourtant que la gendarmerie a pu mettre la main sur ses agresseurs en l’espace de vingt-quatre heures. « Nous traitons beaucoup d’affaires liées à ce type de crime, mais il faut savoir que beaucoup de familles ne déposent pas plainte pour la simple raison de ne pas ébruiter la perte de virginité de leur enfant. Ce qui fait que la réalité est de loin plus dramatique », explique le commandant Berrahal. Ce dernier précise que les dix accusés devront être présentés au procureur de la République près le tribunal de Bir Mourad Raïs dans deux jours.

    source : El Watan

  • #2
    franchement ? que dire d'autre à part manifester son dégoût et sa colère......... trêve de bavardage, il faut maintenant agir

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    • #3
      une simple raison, ne pas ébruiter la perte d’une certaine « virginité » pousse des familles à ne pas déposer plainte, résultat ce genres de barbaries peut encore voir le jour dans notre société.. même si c’est louable que la gendarmerie a fait bonnement son travail, l’action des services publics est toujours borné face à ces décadences
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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      • #4
        ça s'appelle la tournante , et ce genre d' agressions est en vogue en europe , certains specialistes imputent ça , à la banalisation dela pornographie.
        ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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        • #5
          Mouh

          La banalisation de la pornographie ??? Il faut arrêter de trouver des excuses aux violeurs et des circonstances atténuantes. Nul ne peut ignorer qu'un viol est un crime surtout pas en Algérie qui est un pays musulman et où chacun connait l'importance de la virginité pour une fille et les conséquences d'un tel acte. Ces hommes savaient parfaitement ce qu'ils faisaient et c'était prémédité car il ramène ses copains qui sans états d'âme la violent aussi. Cette fille a vécu un calvaire et j'espère que ces violeurs auront une peine exemplaire pour les dissuader à jamais de recommencer une telle chose.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            vraiment choquant

            mais combien de tel crimes sont commis par jours sans que personne n'entend parler ?????? :22: :22: :22:
            .

            La mesure de l'amour c'est d'aimer sans mesure...

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            • #7
              mais combien de tel crimes sont commis par jours sans que personne n'entend parler ?


              Très souvent..! la plupart du temps l'agresseur et la victime se connaissent, il y a donc d'un coté une confiance de la femme et pour l'agresseur, il y a une barriere qui se leve..souvent la fille garde pour elle, car il est mal vu dans notre societe, notre culture..ce genre de chose..on donne trop d'importance au regard de l'autre.

              Pour changer cela, faut arreter de montrer du doigt la fille, dire qu'elle est coupable de viol et une raison pour prendre tout sur soi..

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              • #8
                wé exactement ça !! c'est le regard qu'elle va avoir une fille violée, déjà le mal qu'elle a, ses blessures que ça soit physiques et morales....n'empêche que la société lui en rajoute avec sa réactions et ses dire !!!!
                .

                La mesure de l'amour c'est d'aimer sans mesure...

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                • #9
                  Comment cette femme violée s'est elle laissée séduire par cet homme qu'il a convaincu de passer la nuit chez lui. Il ne faut s'étonner par la suite de ce viol.
                  Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

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                  • #10
                    Un paramètre déterminant est ici à mon avis le sentiment d'impunité des agresseurs. D'ailleurs si le père avait suivi son impulsion première de s'en remettre à Allah, elle était acquise pour ces gars. Ce n'est pas plus compliqué que ça.

                    Quant à la victime, le pronostic est certainement grave aussi bien psychologique que physique. Certaine femmes ne s'en remettent pas, j'espère qu'elle sera bien suivie.


                    ça s'appelle la tournante , et ce genre d' agressions est en vogue en Europe , certains spécialistes imputent ça , à la banalisation de la pornographie.
                    Le terme est "viol en réunion". Une enquête en France sur 52 cas :

                    http://psydocfr.broca.inserm.fr/conf...ts/Huerre.html

                    Cellule familiale :

                    Ces adolescents sont issus pour la quasi totalité de familles modestes, résidant dans des banlieues, bien entendu en zone urbaine.

                    La fratrie est nombreuse dans tous les cas puisque seuls trois des protagonistes sont des enfants uniques.

                    Le terme de famille nombreuse prend toute sa signification puisque 44% des sujets sont issus de familles de 5 enfants et plus ( jusqu’à 10 ).

                    La position du sujet dans la fratrie est très variable, pouvant être deuxième , troisième … ou dernier. On notera que plus rarement il s’agit des aînés ( 15%), et ce sans relation avec l’origine ethnique de la famille.

                    Les expertises donnent assez peu d’information sur le caractère conflictuel des unions parentales, mais toujours est-il que seuls 5 des adolescents rapportent une séparation du couple des parents.

                    Pour la question de l’appartenance ethnique des familles, 52% sont originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique Noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française. Pour le cas des familles issues des pays du Maghreb, plus de 75% des sujets concernés par l’expertise sont nés sur le territoire français. Et leurs parents comme eux mêmes sont d’obédience musulmane.

                    On note que la profession exercée par les parents est toujours peu qualifiée et peu gratifiante, et que pour les familles nord-africaines, dans plus de 85% des cas la mère ne travaille pas.
                    La description de l’acte par l’agresseur présumé est quasi interchangeable d’une expertise à l’autre.

                    On note un ton dégagé emprunt d’une certaine banalisation, servant à la description d’un rapport consenti, en fait rarement à plusieurs dans le même temps, mais à tour de rôle.

                    Dans tous les cas, la victime est décrite comme une « fille facile » ou comme «la cocotte à tout le monde »

                    Le sujet reconnaît le rapport sexuel, mais pas le caractère forcé de ce rapport.


                    Pour illustrer ce point, on note :

                    1 jeune homme qui reconnaît le caractère forcé des agressions qui étaient des attouchements ( ce patient diffère des autres par son caractère introverti, solitaire et son isolement socio-affectif )

                    2 autres qui reconnaissent avoir fait peur à leur victime ( dans la même affaire)

                    1 jeune homme âgé de 23 ans qui reconnaît une alcoolisation au moment des faits et l’usage de la force.

                    Tous les autres sujets décrivent une relation consentie, ne retrouvant aucun élément d’anormalité, ni dans le lieu ni dans le fait que plusieurs jeunes garçons aient un rapport avec la même victime,

                    Toujours dans la description de l’acte par les agresseurs, 30% signalent ne pas avoir pu éjaculer, alors que plusieurs sujets ( environ une dizaine ) signalent leur virginité avant les faits.

                    Toujours dans le cadre de l’expertise, ce qui est donc à relativiser, la plupart des patients ne comprennent pas la plainte et évoquent une plus grande méfiance à l’avenir concernant la gente féminine comme conséquence de leur mise en examen.


                    Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que 50 des 52 expertises se concluent par une accessibilité à une peine de prison, à une non dangerosité psychiatrique et à une absence de pathologie psychiatrique structurée.

                    [...]

                    Si on écarte 10% des sujets dont le niveau intellectuel visiblement faible parasitait la compréhension des questions posées, tous ont une élocution correcte sans trouble de la compréhension, s’exprimant clairement en français et peu intimidés par le cadre de l’expertise

                    Tous les sujets sont jugés comme « réadaptables ».
                    Dernière modification par Alain, 26 février 2008, 12h50.

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                    • #11
                      justfor
                      La faute comme tu le dis est reconnue par la fille au moment de l'acte, et elle doit etre la seule a la reconnaitre..c'est pas notre probleme çà, nous, on doit se contenter de l'agression, et l'agresseur n'est autre que le violeur..

                      Commentaire


                      • #12
                        Justement à travers cette reconnaissance on s'apercoit que la majorité des viols commencent par ces erreurs. Les pervers existent à chaque coin de la rue et il faut faire attention pour ne pas tomber dans leurs mailles. Elle n'a que 17 ans et elle représente une proie facile pour ces marginaux.
                        Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

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                        • #13
                          Justfor

                          Comment cette femme violée s'est elle laissée séduire par cet homme qu'il a convaincu de passer la nuit chez lui. Il ne faut s'étonner par la suite de ce viol.
                          Parce qu'une jeune fille en difficulté accepte de passer la nuit chez toi cela justifie que tu la violes accompagné de tes 9 copains ????? Si justement il faut s'étonner du viol car où sont les valeurs musulmanes de l'Algérie ??? Où as tu vu qu'une fille qui passe la nuit chez toi mérite d'être violée ???? Elle a fait l'erreur de faire confiance à cet homme ça c'est certain mais rien ne justifie qu'elle se fasse violer. Elle n'a que 17 ans et forcement elle a du dire qu'elle était vierge cela aurait du les stopper immédiatement.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                          Commentaire


                          • #14
                            Bravo Zwina


                            T'as bien remis les pendules à l'heure


                            J'ajoute que vierge ou pas , ils ont pas à faire ça.

                            Commentaire


                            • #15
                              a la place de son pere je les tuerai tous d'une maniere atroce en plus !!
                              c'est abominable !
                              ?

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