Après le projet de protection des frontières, l’Algérie veut désormais protéger ses communications téléphoniques. Selon des informations recueillies par ******************** auprès de sources proches du gouvernement, l’Etat algérien a lancé, fin 2007, un appel d’offres confidentiel (consultation restreinte) auprès de groupes internationaux spécialisés pour l’acquisition d’un système de protection contre les écoutes téléphoniques.
«Tout le monde nous écoute. Nous n’avons plus aucun secret : tout ce que nous disons au téléphone ou sur Internet est écouté ou lu par d’autres pays. Cette situation devient délicate pour la sécurité nationale», explique notre source. Dans un contexte où l’Algérie ambitionne de devenir une puissance économique et militaire régionale, l’enjeu de protection des communications et des données est devenu capital. Autre contrainte qui a motivé la décision algérienne d’acquérir un tel système : l’Algérie, partenaire de l’Otan, doit se doter de moyens de communication modernes.
Les offres des groupes spécialisés dans ce domaine lié à la défense devraient être remises dans les prochaines semaines, selon la même source. On ignore le nombre de groupes susceptibles de prendre part au projet, ni le montant de ce dernier. Mais des sociétés françaises spécialisées, appuyées par Paris, se montrent très intéressées par le dossier. Le projet ne devrait toutefois pas être attribué avant début 2009.
Mais, selon un expert des questions de défense interrogé par ********************, «l’acquisition d’un tel système n’est pas évidente. Tout le monde écoute tout le monde, y compris les pays occidentaux entre eux. Il est donc impossible de se protéger totalement
«Tout le monde nous écoute. Nous n’avons plus aucun secret : tout ce que nous disons au téléphone ou sur Internet est écouté ou lu par d’autres pays. Cette situation devient délicate pour la sécurité nationale», explique notre source. Dans un contexte où l’Algérie ambitionne de devenir une puissance économique et militaire régionale, l’enjeu de protection des communications et des données est devenu capital. Autre contrainte qui a motivé la décision algérienne d’acquérir un tel système : l’Algérie, partenaire de l’Otan, doit se doter de moyens de communication modernes.
Les offres des groupes spécialisés dans ce domaine lié à la défense devraient être remises dans les prochaines semaines, selon la même source. On ignore le nombre de groupes susceptibles de prendre part au projet, ni le montant de ce dernier. Mais des sociétés françaises spécialisées, appuyées par Paris, se montrent très intéressées par le dossier. Le projet ne devrait toutefois pas être attribué avant début 2009.
Mais, selon un expert des questions de défense interrogé par ********************, «l’acquisition d’un tel système n’est pas évidente. Tout le monde écoute tout le monde, y compris les pays occidentaux entre eux. Il est donc impossible de se protéger totalement
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