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L'échec du "qui-tue-qui ?"

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  • L'échec du "qui-tue-qui ?"

    Rebondissement dans l’enquête sur l’assassinat des moines de Tibhirine. Jean-Baptiste Rivoire, journaliste de Canal+ , farouche défenseur du «qui-tue-qui ?» a été mis en examen le 17 mars dernier pour avoir «commis des violences volontaires avec préméditation sur la personne de son confrère Didier Contant, journaliste mort en février 2004».

    Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Didier Contant, qui avait également enquêté sur la mort des moines, développait des thèses à l’opposé de celles de son confrère. La veuve de Contant rappelle dans un communiqué rendu public la genèse de cette affaire.

    Les faits remontent au mois de janvier 2004 lorsque Didier Contant, ancien rédacteur en chef de l’agence Gamma, de retour d’Algérie après y avoir effectué une enquête sur les circonstances de la mort des moines, avait appris que Jean- Baptiste Rivoire de Canal+, connu pour ses accointances avec les adeptes du «qui-tue-qui ?», avait lancé une campagne en vue de discréditer son travail.

    Il l’avait accusé d’être à la solde des autorités algériennes, ce qui avait amené le Figaro Magazine, qui devait publier l’enquête, à refuser le travail de Contant. Ce n’était pas la première fois que ce dernier s’intéressait au sujet puisque aux dires de sa veuve Rina Sherman, il avait déjà publié des investigations dans le Pèlerin Magazine en février 2003 et dans le Figaro Magazine en décembre 2003.

    «Au cours de sa dernière investigation, le grand reporter avait trouvé de nouveaux témoins indiquant que les moines avaient été assassinés par le GIA et il avait recueilli des témoignages mettant en doute la personne d’Abdelkader Tigha, un transfuge de l’armée algérienne», explique Sherman qui s’étonne qu’en dépit des accusations portées par Rivoire, nul n’a été en mesure de lui demander d’apporter la preuve de ce qu’il avançait.

    «Malgré la gravité des accusations, aucun confrère des rédactions parisiennes ne demandait au journaliste de Canal + d’en apporter la preuve. Profondément atteint dans sa réputation et son honneur, Didier Contant ne supporte pas la calomnie et meurt dans des circonstances troublantes. L’enquête a conclu à un suicide. Un seul journaliste posera la question de la responsabilité de son confrère de Canal + dans sa mort : Jean-François Kahn dans l'hebdomadaire Marianne.

    Condamné une première fois pour diffamation, Kahn a gagné le procès en appel qui établissait un lien entre les agissements des journalistes de Canal + et la mort de Didier Contant», explique-t-elle dans ledit communiqué. Rina Sherman, qui défend la mémoire de son ex-compagnon, a de tout temps réfuté les accusations de Rivoire et considère que ce sont ces dernières qui l’ont conduit à se suicider.

    Elle a d’ailleurs mené une contre-enquête sur la mort de son compagnon, ce qui lui a permis de déposer une plainte avec constitution en partie civile pour violences volontaires contre Rivoire de Canal + et de publier un livre, Le huitième mort de Tibhirineen 2007. Elle compte également sortir un film, Paris de mes exils, qui constitue une réflexion sur la liberté d’expression.

    N. I. (Le Soir d'Algérie)

  • #2
    Mendz,
    quand on sait que l'état Français soutient à 100% nos généraux maffieux, il ne faut pas s'étonner que la justice Française "si elle existe" puisse mettre en doute la sincérité de J.B.Rivoire:22:

    Commentaire


    • #3
      justice Française "si elle existe" puisse mettre en doute la sincérité de J.B.Rivoire

      Oui, mais là il s'agit de journalistes.
      On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

      Commentaire


      • #4
        Moh, je sais qu'il s'agit de journalistes. Mais la justice Française "si elle existe", est généralement du côté du mauvais journaliste, celui qui a la même opinion que l'état Français :22: .

        Commentaire


        • #5
          Le pauvre Rivoire il accuse tous les Algériens qui ne sont pas d'accord avec lui d'être des agents de la DRS. C'est leur gagne pain la théorie du complot....



          Jean Baptiste Rivoire ridiculisé

          Invité à fournir les preuves de ce qu'ils avançait dans son documentaire, Jean Baptiste Rivoire donna un premier aperçu de sa stupidité en fournissant la copie de l'interview que j'avais accordée à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur en juin 2001 et des extraits de mon livre " La Mafia des Généraux " en soulignant que j'avais quitté l'armée en 1990. Comment prouve-t-il, alors, que je faisais partie des véritables patrons de l'Algérie figurant sur un organigramme qu'il présentait comme étant un document sérieux? Il fallait attendre la séance du 14 novembre pour connaître les arguments d'un personnage spécialiste du journalisme des caniveaux.
          Lors de l'audience Jean Baptiste Rivoire affichait une très mauvaise mine. Il semblait très mal à l'aise. A aucun moment il n'a osé me regarder de face. Bien que je n'arrêtais pas de le fixer du regard il avait, tout le temps, les yeux cloués au sol. C'était suffisant pour m'inspirer un profond dégoût et d'amers regrets de lui avoir fait tant d'honneur en le poursuivant en justice. D'habitude, je me bats contre des hommes et non pas contre des rats d'égouts qui fuient à la première alerte pour aller se cacher dans leur petit trou. Jean Baptiste Rivoire tout comme ses compères qui cherchent à imposer leur tutorat sur les algériens en France fait partie de cette race d'énergumènes qui n'ont ni le courage d'assumer leurs actes ni celui d'affronter leurs adversaires. Pas même du regard.
          Membre de l'orchestre de François Gèze, un fils d'ancien sous-officier de l'armée coloniale qui digère mal l'indépendance de l'Algérie, Jean Baptiste Rivoire s'est trouvé seul à payer l'hostilité que manifeste sa secte contre toute voix algérienne qui s'élève contre le régime des sous officiers maffieux de l'armée française qui dirigent, aujourd'hui, l'Algérie.
          Lorsque j'avais décidé de poursuivre en justice cet énergumène pour diffamation, tout l'orchestre, y compris quelques uns de leurs supplétifs franco-algériens, mobilisés pour inonder mon site d'émails de menaces et de messages aussi insultants les uns que les autres sans pour autant avoir le courage signer leur insanités. L'un des membres de cette secte un certain Jean Meyer (je ne sais si c'est son vrai nom) a fini par avouer sa haine et son racisme envers les Algériens alors qu'au départ il se la jouait en bon progressiste qui soutient l'Algérie. Mais, ni les menaces ni les insultes d'individus qui n'ont même pas le courage de signer leurs insultes n'ont pu venir à bout de ma détermination de leur asséner une bonne leçon pour qu'ils sachent une fois pour toutes ce que sait faire un algérien fils d'algérien. Un f'hel fils de f'hel.
          J.B RIVOIRE: entre la stupidité et la débilité
          A la barre du tribunal, je posais la question suivante à Jean Baptiste Rivoire: " Vous qui me présentez, dans votre supposé organigramme secret, comme l'un des véritables patrons de l'Algérie, comment expliquez-vous que le colonel Samraoui qui a passé 23 ans dans les services opérationnels de la Sécurité militaire algérienne ne m'a pas cité une seule fois dans son livre de plus de 300 pages " chronique des années de sang "? Comment expliquez-vous que mon nom ne figure pas dans une liste de 10 pages qu'il a publiée dans son livre et contenant les noms des personnes de différentes catégories sociales et professionnelles ayant une relation de près ou de loin avec les évènements qui ont secoué l'Algérie durant la décennie qui vient de s'écouler? "
          A cette question, Jean Baptiste Rivoire n'avait d'autre réponse que de jouer à l'imbécile en faisant semblant de ne pas comprendre. Je lui reformulais la question à trois reprises tout en lui faisant remarquer que je m'adressais à lui dans sa langue maternelle. Le président du tribunal agacé par le comportement stupide de JB Rivoire lui formula de nouveau la question en l'invitant à répondre de manière claire. Aucune réponse ne sort de la bouche de ce journaleux de caniveaux. Le président finit par lui demander " cet organigramme c'est vous qui l'avait concocté, vous ne l'avez pas trouvé dans un quelconque document secret ". L'accusé finit par reconnaître que cet organigramme n'est que le fruit de son imagination. Voilà ce que peut donner l'imagination d'un individu qui, toute honte bue, fait étalage de sa débilité dans un tribunal où de jeunes lycéens étaient venus assister à l'audience dans un cadre pédagogique. L'un de ces lycéens, d'origine algérienne, me glissa à la sortie du palais de justice " je ne savais pas qu'il y avait dans la presse française des gens si ridicules ". Eh oui, Jean Baptiste Rivoire non seulement il a entraîné avec lui son collègue, Romain Icard et son directeur Dominique Farrugia en leur salissant leur casier judiciaire, il a déshonoré la presse française et a donné devant de jeunes lycéens une image lamentable du noble métier du journalisme.
          Jean Baptiste Rivoire, qui semble avoir gardé un mauvais souvenir de ses années d'enfance passées dans l'Oranie,( parce qu'il était la risée des enfants du quartier) selon certains de ses confrères, a du mal à dissimuler sa haine pour l'Algérie. D'ailleurs son avocat n'a pas hésité à lâcher :" A canal Plus , on a marre des Algériens ". Sa haine de l'algérien, JB Rivoire la vit au quotidien dans le cadre du fameux orchestre de François Gèze. n orchestre où sévissent de petits franchouillards qui considèrent que les Algériens sont incapables de réfléchir et d'agir seuls. Ils ont besoin du tutorat de ces petits français qui n'ont même pas leur place dans la société française.
          Ni François Gèze ni Jean Baptiste Rivoire ou leurs autres acolytes ne se sont distingués par des prises de positions contre les gouvernements français successifs. On ne leur connaît aucun acte par lequel ils ont dénoncé, ne serait-ce du bout des lèvres, les pratiques maffieuses des gouvernants français. On ne les a jamais entendus dénoncer les pratiques discriminatoires dont sont victimes les maghrébins en France. Seraient-ils des défenseurs des droits de l'homme en dehors de la France? Parfait. Qui pourrait m'indiquer une pétition signée par ces pseudo-défenseurs pour dénoncer le régime policier de Ben Ali ou les violations des droits de l'homme au Maroc? Sur ce sujet, il est hors de question que Gèze et sa clique apportent le moindre soutien au journaliste marocain Ali Lembrabet condamné à trois de prison pour crime de lèse majesté. Aux enfants Oufkir qui ont vécu vingt longues années dans des conditions les plus inhumaines, ils tournent le dos. Les victimes de Tazmamert, ils connaissent pas. Et pour cause. Quand on se met au service des services de sa majesté pour bénéficier de quelques jours de vacances aux frais du contribuables marocain, on reste muet comme une carpe sur tous les crimes.
          Il faut avoir du courage pour s'opposer à ses propres gouvernants même si en France on ne risque absolument rien à dénoncer telle ou telle autre pratique maffieuse. C'est pour cette raison que Jean Baptiste Rivoire ne pouvait croire au courage d'un algérien qui dénonce nommément les véritables patrons que semble ignorer le journaleux de canal+.
          Il faisait de la peine à l'entendre dire au président du tribunal qu'il avait des doutes sur mes écrits qui dénoncent le pouvoir algérien. Il pense que j'agis de connivence avec les hommes du pouvoir. Oui, il faut être vraiment débile pour prononcer pareille inepties. Alors que d'un côté les généraux maffieux dépensent des sommes astronomiques pour se donner une belle image à l'étranger et le " colonel Samraoui " le confirme dans son livre " chronique des années de sang ". D'ailleurs, Rivoire et la clique de Gèze ont espéré obtenir quelque chose de Samraoui qui s'est rallié à leur camp, pour qu'il leur révèle quelque chose de compromettant contre moi. Samraoui savait bien qui est agent et qui ne l'est pas. Ils auraient bien aimé l'avoir comme témoin s'il avait un iota de preuve contre moi.





          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            suite .............

            le texte est signé Hichem Aboud

            Lui qui était dans les services opérationnels jusqu'à 1996 et qui était le bras droit du général Smaïn comme il l'affirme, pouvait savoir si mes trois condamnations à des peines de prison et si mes différentes arrestations et gardes à vue étaient de la comédie ou pas. Et puis, depuis quand on joue à la comédie jusqu'à se faire un casier judiciaire guère enviable? Et pourquoi pousser la comédie jusqu'à ne pas assister aux obsèques de son père. Tout ça parce que ceux qui se disent opposants n'ont rien fait pour déranger le pouvoir en place que les généraux viennent me supplier pour les salir et les toucher dans leur dignité.
            Seraient-ils masochistes ces généraux qui vont demander à quelqu'un de non seulement dénoncer le régime par des généralités mais de les traîner dans la boue un par un et ne lésinant ni sur leur vie privée ni sur leur parcours. A supposer que cela soit vrai. Qu'un homme ou deux acceptent de se faire salir, peut-on imaginer que plus d'une trentaine d'homme se donnent le mot pour que demain devant leurs enfants, leurs proches, leurs homologues étrangers et leurs amis, on leur sort ce qui a été écrit à leur sujet dans La Mafia des Généraux?
            Que dire de ce raisonnement? Il n'est guère étonnant venant de quelqu'un qui ignore la signification du mot courage. Que peut-on attendre d'un individu qui a toujours vécu à l'abri des jupons de sa maman? Que peut-on répondre à quelqu'un qui ne s'attendait pas à se faire déculotter comme en ce jour du 14 novembre 2003.
            A entendre JB Rivoire avancer ces inepties, j'avais d'abord voulu lui cracher à la figure lorsque j'ai pensé à cette blessure éternelle que m'a causé la mort de mon père que je n'ai pu accompagner à sa dernière demeure. J'ai voulu lui cracher à la figure quand j'ai pensé à ces êtres chers qui sont morts en mon absence sans pouvoir les embrasse une dernière fois. J'ai voulu lui cracher à la figure lorsque j'ai pensé à ma mère que je n'ai pas vu depuis sept longues années et qui risque de quitter la vie d'un jour à l'autre sans qu'elle puisse me prendre dans ses bras une dernière fois. Et si je m'étais retenu de le faire c'était juste pour ne pas salir mon crachat sur la gueule d'un crétin.

            Dernière modification par bledard_for_ever, 22 mars 2008, 11h00.
            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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            • #7
              Envoyé par Lounes7
              quand on sait que l'état Français soutient à 100% nos généraux maffieux, il ne faut pas s'étonner que la justice Française "si elle existe" puisse mettre en doute la sincérité de J.B.Rivoire:22:
              Rien à faire, il faut à tout prix que les phatasmes et les affabulations de certains soient obligatoirement considérés comme vrai sinon c'est la justice qui est dans l'érreur !

              Meme la justice française passe maintenant pour moins crédible que le ramassis de monsonges débité par certains journaleux en manque de publicité et d'aura médiatique.

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              • #8
                Bledard,
                pourtant Aboud comme Rivoire, dénoncent la même chose; la maffia de nos généraux :22:

                Commentaire


                • #9
                  pourtant Aboud comme Rivoire, dénoncent la même chose; la maffia de nos généraux

                  Raison de plus, ils ont les mêmes idées,donc on ne peut traiter Aboud d'agent de la DRS
                  On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                  • #10
                    Moh24 je termine ta phrase, "mais elle est tombée, et elle creuse mais..."

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