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a quoi ressemblerait la kabylie ds un etat federal ???

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  • #16
    Ne t'inquiètes pas Superted , les kabyles constituent un noeud tres important dans le reseau commercial national , surtout dans le secteur privé .
    Partout c'est eux les pilliers des chambres de commerce ! :wink:

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    • #17
      Au alikafor ,

      J'ignore sur quel autre pseudo t'as eu l'habitude de poster , mais pas important , le plus intéréssant c'est de discuter et chacun à le droit de poster ses idées , quelqu'un est fier d'être kabyle l'autre d'être arabe , les kabyles ont complètement le droit de revendiquer l'amazighité de l'Algérie car tout simplement ce pays n'a jamais été arabe , on lui a imposé cela mais quelques h'mars comme tu le dis et qui ne connaissent pas leurs origines se permettent d'appeller les autres de singes , or en Algérie les singes sont du côté du pouvoir et répètent à la longueur vive boutef , ces hmars qui croient jeter des cacahuètes aux kabyles un jour n'ont même pas de l'eau pour laver leurs fesses , et continue de dire vive boutef , la Kabylie par contre est largement en trés bonne situation économiquement parlant pour ne citer que l'apport de l'immigration , et puis je te rajouterais que les kabyles ne se feront jamais avoir , par contre les bande de h'mars que tu nommes est celle qui criait vive abassi il y'a quelques années de cela et aujourd'hui vive boutef , on sait pas demain qui d'autre ......
      Les kabyles ont le plein droit de réclammer ce qui leurs semble bon , pour éviter de vivre comme pas mal de pays condamnés à jamais de vivre dans l'ignorance et la regression aux cotés de cette bande de hmars en se contentant de dire tahya ..........comme tu le dis .

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      • #18
        Ne t'inquiètes pas Superted , les kabyles constituent un noeud tres important dans le reseau commercial national , surtout dans le secteur privé .
        Partout c'est eux les pilliers des chambres de commerce !
        je sais cela mon cher ami blacky ! et justement cela m'inquiete ! les kabyles travaillent pour les autres ! et la kabylie est malade !

        cette region est victime d'un sabotage ! désolé si j'ai l'air parano mais qd tu vois qu'on decourage les investisseurs c'est vraiment navrant !

        avant je croyais qu'il n'y avait pas d'investisseurs ! en fait il y en a mais les terrains industriels ne sont pas amenagés c tt ! et pourattn ils existent ! ils restent en friche ! qd on sait les sommes collossales que gagne l'algerie une relance economique ds cette region comme ds le reste du pays est possible ! il faut simplemnt une bonne gestion ! moi je suis favorable a un transfert de souveraineté non pas vers le peuple mais vers les chambres de commerces ! dedans ya des gens qui savent quoi faire !

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        • #19
          blacky ! avec cet article on est en droit de se poser des questions !!!!

          il suffirait d'amenager des assiettes de terrains pour faire venir les investisseurs ! et oui !

          comment peut-on expliquer que ds un pays où il y a autant de chomage où l'on prentend tout faire pour l'emploi on n'ait pas pensé à amenager des sites pour recevoir les industries !!!!!!???????

          franchement je me pose des question ! en plus ça ne couterait pas si cher que ça ! ds l'article ils parlent du cout ! je trouve ça minable !

          le lien de l'article ne fonctionnant pas je vais devoir le copie coller !


          Marasme et désinvestissement
          Les temps sont durs en Kabylie
          Le jeudi 20 février 2003.

          Il n'existe qu'un seul Office de promotion de l'investissement (OPI) en Algérie. Créé en 1990, il se trouve dans la wilaya de Tizi Ouzou. De même qu'un observatoire de l'investissement, mis en place en mai 2000. Ainsi qu'une cellule de suivi de l'investissement, créée en novembre de l'année dernière.
          Ces structures ne sont que la deuxième génération des instruments mis en place par les autorités successives de la wilaya de Tizi Ouzou pour promouvoir l'investissement et garantir la relance économique, c'est-à-dire la création de richesse et d'emploi.
          Précédemment, l'on a vu naître l'Office de gestion des zones d'expansion touristique (Ogzet), dissous en 1992, quelque temps après lui avoir construit un siège en préfabriqué. Quant à l'Office de gestion des zones d'activité (OGZA), il a simplement pris la nouvelle dénomination de l'OPI. A cette inflation de sigles a été bien entendu ajouté le Calpi (Comité d'assistance, de localisation et de promotion de l'investissement), qui, il est vrai, existe dans toutes les wilayas du pays depuis 1994. Quel est le bilan de ce formidable dispositif d'établissements et d'administrations dont le point commun est la volonté de favoriser la création de l'emploi et de la richesse ? Le Calpi livre le bilan de ses activités. Depuis sa mise en place en 1994, ce comité, présidé par le secrétaire général de la wilaya et regroupant les membres de l'exécutif concernés par le secteur économique, a reçu au total 1021 dossiers d'investissement. En bout de course, le nombre de PME-PMI créées est de 26, duquel il faut soustraire au moins une « entreprise », puisqu'il s'agit d'un simple centre commercial. Un projet sur quarante est donc arrivé à la mise en service effective. Il faut noter que la moitié des projets déposés a été classée sans suite.

          Les chiffres de l'administration
          Sur les 1021 dossiers desquels le Calpi a accusé réception, 971 ont été examinés, 429 ont reçu l'agrément et 472 ont été rejetés. A noter que 43 projets relevant du secteur du tourisme ont été mis en instance, en attendant le transfert des terrains d'assiette situés en zone d'expansion touristique au profit de l'Agence nationale de développement du tourisme (ANDT). Cette agence a engagé, nous a-t-on indiqué, des bureaux d'études pour l'aménagement d'une partie de ces zones, qui sont au nombre de huit dans la wilaya de Tizi Ouzou.
          Toutes côtières, les ZET sont aujourd'hui, treize ans après leur délimitation dans un décret officiel, vierges de toutes infrastructures à vocation touristique, mais touchées en revanche par le phénomène des constructions illicites.
          Le Calpi indique que les 26 projets qui ont vu le jour ont permis la création de 1184 emplois. Ce dernier chiffre reste « théorique », puisqu'il s'agit du décompte effectué sur les fiches initialement déposées par les promoteurs. Entre les données prévisionnelles mentionnées dans les dossiers et la réalité de l'activité, il y a en général une différence assez sensible. Ce phénomène de décalage s'explique par le fait que les opérateurs ont conscience que l'administration est plus prompte à donner son agrément à un projet où la promesse de création d'emploi est significative. L'OPI, qui a reçu 19 entreprises dans ses zones d'activités, n'annonce approximativement que quelque 200 emplois créés. Les 429 projets qui ont reçu l'agrément du Calpi promettent, à titre indicatif, la création de 12 253 emplois. Le coût global de ces projets est de 80 milliards de dinars. Leur répartition par secteur d'activité montre une prédominance pour l'industrie (254 projets), 39 relèvent de l'agriculture, 25 du tourisme et de l'artisanat (hors ZET), 39 du BTPH, 52 projets du commerce, et 20 sont classés dans le chapitre « autres services », qui peut être de la promotion immobilière ou autre créneau à forte plus-value. La même répartition est observée dans les unités opérationnelles. Sur les 26 dénombrées, 23 relèvent du secteur industriel, lui-même dominé par l'agroalimentaire, deux unités classées dans l'agriculture (huileries), et le centre commercial qui a pu convaincre de son opportunité le comité technique de la wilaya. La mission principale de ce dernier est l'affectation du terrain devant accueillir le projet de réalisation. Ainsi, pour les 429 agréments délivrés, il y a eu 320 affectations dans les zones d'activité acquises par l'OPI, 30 dans des terrains domaniaux, 70 en zones d'activité communales, gérées par les agences foncières, et 6 dans les terrains appartenant à l'Urbab, basée à Blida mais possédant des terrains à Tizi Ouzou.
          Le Calpi ne manque pas de noter dans son bilan que 45 entreprises sont en cours de réalisation, sans pouvoir donner le taux d'avancement des travaux.

          D'annulations en désistements…
          Elles sont toutes du secteur industriel, 45 projets en cours de réalisation sur 429 qui ont reçu l'agrément du Calpi, avec affectation de terrain, cela représente le taux très faible de 10 % de mise en route des investissements. Créé en 1990, en activité depuis 1992, l'OPI (statut Epic, établissement public à caractère industriel et commercial), dont le conseil d'administration est présidé par le wali, est encore en train de chercher les milliards nécessaires à la viabilisation (eau, route, énergie, téléphone) des dix zones d'activité (1,5 million de m2) acquises auprès des Domaines, 259 investisseurs potentiels ont signé des contrats de réservation des terrains d'assiette, 156 dossiers de permis de construire ont été déposés, 108 délivrés, et 75 projets sont en cours de réalisation, 19 entreprises sont entrées en activité, à tendance agroalimentaire, et une moyenne de dix postes d'emploi chacune. Les 259 promoteurs, qui ont « maintenu l'idée d'investir », promettent de créer au total 6200 emplois. Les 15 milliards de centimes engrangés par l'office dans la cession de terrains aux investisseurs ont été injectés dans les travaux de viabilisation des zones d'activité. Les banques refusent poliment les demandes de financement, n'ayant pas l'habitude d'accorder des crédits pour la réalisation des amenées de réseaux primaires sur des terrains nus.
          La wilaya, qui a créé l'office, a débloqué une seule subvention, consistant en la réalisation du siège de l'établissement en 1992. Le programme national de réhabilitation des zones industrielles, engagé en 1999, a alloué à l'OPI deux enveloppes de deux et trois milliards de centimes comme soutien aux travaux ayant eu lieu dans les zones de Oued Aïssi et Draâ Ben Khedda. Contribution modeste, si l'on considère les budgets nécessaires pour rendre ces zones en état de recevoir des installations industrielles. Le directeur de l'OPI regrette l'attitude qui a prévalu pendant dix ans au niveau des instances pouvant faciliter la tâche qui a été assignée à cet organisme. « Elus et administration ont toujours considéré l'OPI comme un opérateur économique, nous invitant à trouver nous-mêmes nos financements, alors que nous ne sommes qu'un instrument mis en place par les autorités pour promouvoir l'investissement. Il y a eu un directeur d'exécutif (DPAT) qui m'a déclaré préférer viabiliser un bout de village que réaliser un réseau pour une zone industrielle. » Résultat, il est arrivé que l'office achète un terrain au prix fort (2500 DA/m2) pour bâtir un réservoir d'eau dans la zone de Draâ Ben Khedda, une tâche qui aurait pu relever des services déconcentrés de l'Etat. Y a-t-il des perspectives de déblocage de la situation ? Oui, selon Ould Rabah. « La cellule d'appui à l'investissement nous a récemment demandé de déposer des fiches techniques concernant l'ensemble de ces zones, afin de demander les budgets nécessaires », a-t-il dit. Le wali se serait engagé à défendre ces requêtes au niveau des autorités centrales. En attendant cette bouffée d'oxygène du gouvernement, les opérateurs ayant signé des contrats de réservation font du surplace et n'engagent aucun dinar sur des terrains qui ne leur paraissent pas accueillants. « Je pourrais résilier la moitié de ces contrats, si l'on appliquait les dispositions des cahiers des charges », fait remarquer le responsable de l'office, qui indique que 174 projets ont été déjà annulés (désistements, résiliations). Le bilan de ces dix années de promotion de l'investissement peut se résumer au fait d'avoir « acquis des zones d'activité, les préservant de la spéculation et du détournement, et d'avoir assaini l'aspect juridique » M. Medjkouh, lui, refuse de regarder vers l'avenir.
          C'est le présent qui le préoccupe. Il est président de la Chambre de commerce et d'industrie du Djurdjura (CCID). « La promotion de l'investissement, c'est l'avenir. A présent, on est face à un phénomène de désinvestissement. Les opérateurs sont en train de réduire leurs activités ou de partir. Ils délocalisent leurs entreprises et libèrent les travailleurs. Nous voyons de plus en plus de locaux professionnels vides de toute activité.
          La délocalisation a concerné une dizaine d'entreprises, et environ 1450 emplois ont été perdus », nous a déclaré le président de la Chambre de commerce et d'industrie. Il précisera que le contexte actuel, lié à l'environnement social, n'a fait qu'« accentuer une situation prévalant antérieurement, marquée par le manque d'infrastructures de base dans les zones d'activité, dont certaines sont devenues un repoussoir à l'investissement ». Les grands bénéficiaires de ce transfert d'activité sont les wilayas d'Alger et de Boumerdès, souligne M. Medjkouh. L'unique opérateur dans le secteur de l'électroménager dans la wilaya de Tizi Ouzou a transféré l'essentiel de ses activités vers Alger.
          ElWatan 17/02/03

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          • #20
            Le problème du terrain d'assiète ainsi que celui plus crucial des banques sont les principaux freins à l'investissement national un peu partout dans le pays .
            Si en kabylie le problème est celui des V.R.D des zones industrielles ou d'activité , ailleurs ou il semblerait qu'il y ait plus de souplesse , c'est simplement celui du blocage par certains barons locaux de tout projet qui viserait leur créneaux d'activité . Les élus n'etant là que pour protéger les intêrets de ceux qui ont déja pignon sur rue et de conditionner tout octroi d'avantages par une quelconque soummission ou allégeance pouvant servir plus tard .
            En Kabylie ou ailleurs , les méfaits du système en place sont visibles à l'oeil nu . :wink:

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            • #21
              salut je suis un arabe de Ain Defla,

              Salut Monsieur Alikafor...merci de vous être présenté sous vos vraies couleurs.

              Mais moi je ne vous insulterai pas, je ne me mettrai pas à votre niveau.
              Cependant je vous apprendrai que je suis passé dans votre région vers 1961: C'était du temps où votre région avait produit de vrais hommes (et j'ai eu le plaisr d'en connaître dans le Chenoua). Mais passons: J'ajouterai seulement ceci: vous représentez parfaitement le spécimen produit du système en place en Algérie depuis l'indépendance.
              Je suis sû qu'il reste encore dans la région de Ain Defla beaucoup d'hommes valeureux....dommage que vous ne les fréquentiez pas, car peut-être, oui peut être seriez vous récupérable pour l'amazighité, car je ne vous l'apprends pas, sans le savoir peut-être et pour des raisons qui échappent au bon sens, vous avez choisi votre camp...

              Après tout ce qui s'est passé dans cette région... j'ai perdu mon latin.

              Un kabyle qui ne parle pas l'arabe et qui fut jadis (ou naguère) bien reçu chez vous.
              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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              • #22
                Reste loin de nous ....

                Un kabyle qui ne parle pas l'arabe et qui fut jadis (ou naguère) bien reçu chez vous

                Apparement vous vivez en Amérique du Nord et bien très cher, je vous propose d'y rester, vous êtes de ces anciens berbères frustrés. Vous dites que vous êtes passé dans cette région en 61. J'aimerai bien savoir à quel titre, maquisart où Harkis. Le fait de ne pas connaître l'arabe est très étonnant pour une personne de votre age, vu que la mode de l'Amazhérité est un produit fraichement pondu par les ennemis de l'agérie. Franchement que représente l'amazérité au niveau mondial, où va-t-on avec cette langue primitive, l'arabe est une des langues reconnus mondialement, elle se retrouve sur au dos des produits du monde entier, mais avec une écriture qui ressemble à du code morse où voulez-vous avec ça ? maintenant je ne suis pas contre que les kabyle ( j'ai pas dit les berbères ) puissent avoir l'occasion de l'apprendre, mais cela devrait rester dans le domaine de petite association au sein de vos 5 villages.
                A bientot cher compatriote
                [/img]

                Modérée par Lisebeth;on peut critiquer les arguments par les individus

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                • #23
                  ait zithour ,

                  vu que la mode de l'Amazhérité est un produit fraichement pondu par les ennemis de l'agérie.
                  tente au moins d'utiliser un seul pseudo , car là il me semble que tu utilises deux au moins , parfois pour montrer que tu es un bon algérien et parfois pour divulquer ta maladie , double language mon cher ami un et vrai menteur et comme tout ces idiots qui nous ont gouverné depuis tojours , moi je te vois peut être un kabyle frustré pour les derniers évènements qui vous ont humilié alors tu veux te passer pour un arabe pour dégager ta souffrance .
                  Man retiens toi et arrête avec tes sottises , les pauvres arabophones pour qui tu te passes sont victimes des salauds au pouvoir et leurs alliés intégristes , et pas victimes des berbères . Les berbères revendiquent leurs droits , et si la reconnaissance de l'amazighité de l'Algérie te dérange autant , alors tu dois être l'un de ces harkis du nouveau millinaire .
                  Enfin , des déséquilibrés qui veulent bafouer le sacrifice de 123 martyres , on les faira taire à vie et bientôt !

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                  • #24
                    solution de la kabylie ?

                    à superted ,

                    l'autonomie telle proposée par le mak est fondée juste par des hommes qui revendiquent l'identité amazigh , uniquement cela, et beaucoup de jeunes à present prennent conscience de la legereté du mak et la non fiabilité de l'autonomie en ces temps de crises et en absence d'etude serieuse à ce sujet . maintenant en kabylie la politique n'existe pas c'est l'anarchie totale et à tout les niveaux ! et en ce moment les aarouchs sont en contradiction avec la plate forme d'el ksar et celle d'illoula. (et je sais que par ailleurs l'avenir economique de la kabylie ne se trouve pas en les aarouchs ), l'investisseur a fuit la kabylie et ce malgré les nouvelles realisations de cette wilaya en matiere de routes (ce qui devait attirer les investisseurs ) les zones industrielles de la wilaya de tizi ouzou sont quasiment vierge de toute construction (celle de oued aissi, thala athmane ) et moi j'ai l'impression que la solution de la kabylie est politique et qu'il est temps pour les partis politiques de cette region de se pencher plus sur l'economie que sur les problemes culturels.??? et je sais aussi que les kabyles ont un capital important .

                    pour l'instant beaucoup de kabyles de "kabylie" partent chercher du travail dans d'autres wilaya et c'est regrettable , et j'ajoute aussi que l'etat algerien se rejouit de cette situation , et fait marcher tout le monde comme dab .

                    alikafour bravo boutef t'a payé et t'a donné assouknan . à present tu peut te taire

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                    • #25
                      Des types perturbés ce n'est pas ce qui manque , il doit être un kabyle dont certains évènements ont tourné contre son "idiologie" , alors il se met à insulter les siens , un raté de plus .

                      Mounia :


                      en ce moment les aarouchs sont en contradiction avec la plate forme d'el ksar
                      Argumente un peu plus pour te comprendre mieux . Les Aarouchs viennet juste de passer au dialogue à propos de la plate forme , ils disent qu'ils ne sont pas prêts de céder sur aucun point , l'avenir nous le dira , Tamazight "officielle" dérange Ouyahia qui dit vouloir consulter ses maîtres ,tout d'abord , zaama .
                      De toute facon ils n'ont aucun choix , sinon les kabyles n'ont pas fini avec l'idée "autonomie " par hasard mais c'est bel et bien à cause de ces voyoux incultes qui nous gouvernent , sinon on tardera pas d'entendre de majorité indépendentiste en kabylie si ces criminels continuent avec leurs calculs politiciens en tentant de camoufler une revendication juste est ligitime .

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                      • #26
                        autonomie

                        matoub tu as tout à fait raison en ce qui concerne l'autonomie , mais c'est une idée "à long terme" et il faut etre deja bien organisé economiquement mais aussi "administrativement " et ce n'est pas le cas en ce moment en absence de partis politique capable de bien gerer la kabylie .

                        en ce qui concerne ce que j'ai dit à propos des aarouchs est bien :

                        1- les aarouchs doivent en premier lieu representer les victimes des evenements du printemps noir ( processus tres long et penible pour les parents des victimes) .

                        2- les aarouchs dans leurs "mouvement" doivent imperativement faire participer les associations, les femmes, les syndicats et autres forces sociales . ( ce qu'ils ont refusé)

                        3- les plates formes d'el kseur et d'illoula manquent de coherence ( car plusieurs courants contradictoires forment les revendications (ffs, rcd, mak de ferhat, autre elus regionnaux )

                        4 - les aarouchs doivent eviter " la perte du temps " dont l'etat cultive le resultat en poussant la situation au pourissement ce qui risque de provoquer la lassitude de tous les kabyles .

                        mais sinon pour la legitimité de la langue amazigh ce n'est qu'une question de temps .

                        ps : il fait une chaleur torride à tizi !!!!!!!!!!!!!!!

                        Commentaire


                        • #27
                          matoub1 a ecris:
                          Des types perturbés ce n'est pas ce qui manque , il doit être un kabyle dont certains évènements ont tourné contre son "idiologie" , alors il se met à insulter les siens , un raté de plus .


                          Bouchta: oui je suis tout a fai dacord avec toi..quand les gen rate les trains ils deviene tre enerve et perturbe.

                          chokran jazila

                          Commentaire


                          • #28
                            Quel statut?

                            salam,azul,bonjour

                            jentend souvent dire que la kabylie souhaite denevir autonome voir indepandante

                            je vous pose donc 2 question:
                            -Pourquoi?
                            -Où:avec quelles limites et quelles villes?

                            merci

                            Commentaire


                            • #29
                              salam,azul,bonjour

                              jentend souvent dire que la kabylie souhaite denevir autonome voir indepandante

                              je vous pose donc 2 question:
                              -Pourquoi?
                              -Où:avec quelles limites et quelles villes?
                              Salut Saif,

                              Ce n'est pas tout à fait ça: Il existe un parti qui s'appelle le MAK.

                              Leur idée, qui n'est pas suivie de beaucoup se résume à ceci: Ils veulent une certaine autonomie (pas l'indépendance) dans la République algérienne.

                              Si je ne me trompe, ils veulent que le gourvernement central leur laisse quelques pouvoir dans certains domaine, mais pas l'Armée, ni la Monnaie
                              ni les Affaires étrangères.

                              Ça ressemble à une décentralisation des pouvoir, comme pour la Catalogne en Espagne ou la Corse en France.

                              Du moins, c'est ce que j'ai compris en allant sur leur site.
                              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

                              Commentaire


                              • #30
                                salam

                                Envoyé par avucic
                                Salut Saif,

                                Ce n'est pas tout à fait ça: Il existe un parti qui s'appelle le MAK.

                                Leur idée, qui n'est pas suivie de beaucoup se résume à ceci: Ils veulent une certaine autonomie (pas l'indépendance) dans la République algérienne.

                                Si je ne me trompe, ils veulent que le gourvernement central leur laisse quelques pouvoir dans certains domaine, mais pas l'Armée, ni la Monnaie
                                ni les Affaires étrangères.

                                Ça ressemble à une décentralisation des pouvoir, comme pour la Catalogne en Espagne ou la Corse en France.

                                Du moins, c'est ce que j'ai compris en allant sur leur site.
                                c leur revandications ,comme tu l as dit ils n ont po eu un grand echo
                                mais moi c le sujet en question qui me gene,je ne vois po pour koi on remet ca sur le tapis la position des kabyles etait et reste tjrs la meme
                                et c est une position tres tres claire
                                les evnement de kabylies l ont demontre
                                si La parole est d'argent, le silence est d'or
                                le plus beau bijoux que possede une femme c est le cilence, malheuresement elle ne le porte po trop souvent

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