Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des pays occidentaux veulent accaparer l'argent de la «issaba» à l'étranger Le festin des prédateurs

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Des pays occidentaux veulent accaparer l'argent de la «issaba» à l'étranger Le festin des prédateurs

    Des pays occidentaux veulent accaparer l'argent de la «issaba» à l'étranger
    Le festin des prédateurs

    lexpression.dz

    Smaïl ROUHA
    • 00:00 | 09-03-2021


    Le président Tebboune avait fait du principe de la récupération des fonds volés son cheval de bataille lors de la campagne présidentielle de décembre 2019.
    Le ministre de la Justice dénonce les barrières juridiques
    L'Algérie veut accélérer la récupération de l'argent détourné vers l'étranger, mais fait face à une certaine réticence. États peu coopérants, procédures très lourdes, absence de politique performante, etc. Deux ans après la chute du président déchu, Abdelaziz Bouteflika, tout concourt au faible recouvrement des avoirs détournés par les privilégiés de l'ancien système. Une véritable «cleptocratie» organisée par les proches de l'ancien chef de l'Etat, qui avaient fait main basse sur l'économie nationale et ainsi détourné plusieurs milliards de dollars durant 20 ans de règne sans partage. Certes, des commissions rogatoires ont été adressées à plusieurs pays. Mais nombre d'États se sont montrés peu enclins à collaborer.
    D'ailleurs, des États de l'Union européenne, rien ou presque n'a retraversé la Méditerranée. Un état de fait que vient de dénoncer le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Belkacem Zeghmati. «En dépit des résultats positifs réalisés dans le cadre de la mise en oeuvre des deux conventions onusiennes pertinentes, il est regrettable de voir encore des barrières se dresser devant le recouvrement d'avoirs», a indiqué Belkacem Zeghmati, dans son intervention au 14e Congrès des Nations unies pour la prévention du crime et la justice pénale, qui se tient à Kyoto (Japon). Devant cette réticence, Belkacem Zeghmati a réitéré l'appel lancé par l'Algérie en direction de «tous les Etats membres, pour l'application de leurs engagements internationaux et à une intensification des efforts pour faciliter le recouvrement des avoirs». Notant l'importance de «recouvrer les avoirs, sans condition, dans le strict respect des droits souverains des Etats», Belkacem Zeghmati indique que «l'Algérie affirme que l'administration, la gestion et l'utilisation des avoirs recouvrés relèvent, en premier lieu, de la responsabilité de l'Etat demandeur». Allusion faite à certains pays européens et du Golfe qui évoquent la complexité des procédures, l'absence de mainmise des Etats sur les comptes des personnes suspectées et la production de preuves sur l'origine criminelle des fonds et biens détournés. Des avoirs dont l'Algérie a le plus besoin, en cette période de disette. Des détournements estimés, selon l'Association algérienne de lutte contre la corruption, à 60 milliards de dollars entre 2015 et 2019 et de 300 à 350 milliards de dollars, selon Abdelhak Lamiri, docteur en économie. Dans une intervention au quotidien algérien El Watan, en 2015, Ali Benouari, ancien ministre algérien du Trésor, avait affirmé que «les estimations des fonds placés à l'étranger, liés à la corruption et à la surfacturation, dépasseraient les 100 milliards de dollars depuis le début des années 2000, tandis que les fortunes algériennes établies à l'étranger seraient de près de 200 milliards de dollars». La traque des biens mal acquis à l'étranger, par des hommes d'affaires et politiques, liés à l'ancien régime, fait partie des principaux engagements électoraux du président Abdelmadjid Tebboune. Une question de principe, parce que considérée comme un levier réparateur des dommages sociaux causés, par la corruption, à l'économie nationale et au moral du peuple. Néanmoins, force est de reconnaître que rien n'indique que cette stratégie, visant à rapatrier les fonds détournés, est mise en route.
    Le mécanisme pour récupérer les fonds détournés à l'étranger, devant être mis en place par le ministère de la Justice, demeure toujours un voeu pieux. Alors que l'urgence est d'engager des négociations avec les autorités politiques des pays où est placée la plus grande partie de ces avoirs, afin d'obtenir leur gel, d'autant que les procédures de recouvrement des avoirs, et en dépit des initiatives et des obligations imposées, par les conventions internationales aux Etats, sont très complexes. Une chose est certaine: un long processus attend la justice algérienne pour mettre en pratique la démarche de récupération des avoirs volés. Encore faut-il commencer!



  • #2
    Des pays occidentaux veulent accaparer l'argent de la «issaba» à l'étranger Le festin des prédateurs
    c'est au gouvernement Algérien de s'y opposer fermement car l'argent est avant tout Algérien , restera Algérien et reviendra au peuple Algérien
    Dernière modification par ACAPULCO, 09 mars 2021, 21h38.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

    Commentaire


    • #3
      Des pays occidentaux veulent accaparer l'argent de la «issaba» à l'étranger Le festin des prédateurs
      La KHOUTTA de Tebbounne fait pschitt !

      La récupération de l'argent volé est quasi-impossible.

      Commentaire


      • #4
        C'EST DES FOUTAISES !
        C'EST DES FOUTAISES CE RAPATRIEMENT DE l'ARGENT VOLE !

        C'est un mensonge grossier que, beaucoup ont cru, et certains y croient encore et encore.

        Les Milliards volés et détournés à l'étranger, ils se les sont déjà tous partagés. Tous. ET jamais au grand jamais ils nous les retourneront. Jamais !
        Et même s'il y a des lois dans ces pays étrangers qui permettent de récupérer cet argent, nos mafias au pouvoir ne le feront jamais. Jamais.
        D'ailleurs, ces milliards, ils les ont tous caché et enfuit sous des prets noms et des biens immobiliers et financiers.

        Et ce gouvernement de mafieux se fout de nous en nous ressassant cette foutaise !
        Ils se payent la tête de ce peuple et veulent continuer à régner.
        Ils ont mangé tout le pays et ils veulent continuer à régner.
        Ils menent le pays à LA FAILLITE, et ils veulent continuer à régner.
        Ils nous mènent droit au mur, et ils veulent continuer à régner.
        Dernière modification par Pomaria, 09 mars 2021, 19h20.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

        Commentaire


        • #5
          Il faut faire des mains et des pieds pour récupérer l'argent volé
          Et c'est parmi ou la revendication la plus importante du hirak
          Il s'agit pas de passer une année ou deux en prison et sortir
          Le plus important c'est que TOUT l'argent volé revienne au trésor

          Commentaire


          • #6
            El Mendjel certains n'y croyaient pas, le voilà ! J'espère qu'il réussira ce coup d'éclat, qui sera un coup de poing lancé à la figure ce ceux qui pensent pouvoir piller l'Algérie et se mettre à l'abri à l'étranger.

            Commentaire


            • #7
              Tous les spécialistes disaient qu'il est très difficile de récupérer l'argent volé à l'étranger. Tebboune mentait aux algériens. Elle est où sa Khouta et contre-Khouta ?

              Les idiots de Bousb3a Lazreg qu'ils l'ont cru peuvent se conceler avec la récupération des biens immobiliers à Paris octroyés aux proches de Bouteflika. C'est mieux que rien
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

              Commentaire


              • #8
                ah bon il reste encore de l argent pour moi c est un scoop

                Commentaire


                • #9
                  L'Algérie veut accélérer la récupération de l'argent détourné vers l'étranger, mais fait face à une certaine réticence. États peu coopérants, procédures très lourdes, absence de politique performante, etc.
                  Il se dégonfle,
                  Pour récupérer l’argent transféré à l’étranger, il ne suffit pas de présenter une demande auprès des ambassades des pays concernés,

                  il faut une décision de justice et un procès équitable, dans les normes et sans vice de forme, sinon la demande sera systématiquement classée sans suite par le justice du pays adverse.

                  L’exemple de Abdel moumen khalifa, il a été condamné, mais ses milliards détournés , toujours pas de trace.
                  Dernière modification par sako, 10 mars 2021, 12h15.

                  Commentaire


                  • #10
                    Quand je vois la gueule de ce larbin de Zeghmati, jouant au défenseur de la veuve et de l'orphelin, j'ai plus qu'une envie de dégueuler. J'ai envie de sortir un P38. Si une âme charitable veut bien me fournir et l'arme et les munitions.

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X