Abdelmadjid Chikhi, conseiller chargé des archives et de la mémoire auprès de la présidence de la République, a déclaré, dimanche, à El Watan à partir de Guelma, que «nos archives nationales sont très sensibles et ne sont pas communicables au risque de provoquer le chaos dans le pays».
Des propos justifiés, selon Chikhi, puisque sa méthode de travail est sujette depuis un certain temps à une polémique et des tiraillements. «Certains me reprochent de ne pas rendre consultables certaines archives sensibles. J’ai donné des directives pour que les noms des personnes et des lieux soient supprimés des documents en question pour ne pas toucher aux personnes physiques», a-t-il expliqué.
Dans ce contexte, notre interlocuteur précise : «Dans tous les pays du monde, les responsables des archives travaillent ainsi pour ne pas freiner les travaux des historiens et des chercheurs. Ce qui importe le plus, c’est le fait historique, à moins qu’il soit question d’un travail sur une personne bien définie. Dans ce cas, nous fournissons un crayon et une feuille pour uniquement prendre des notes à partir du document mis à disposition.»
La présence de Abdelmadjid Chikhi à Guelma l’a été à l’occasion d’un conclave qui a réuni, entre autres, les directeurs du tourisme, des moudjahidine, de la culture, de la jeunesse et des sports, de l’université, de l’éducation nationale, la formation professionnelle, la DAS et les affaires religieuses des wilayas de Tébessa, Souk Ahras, Skikda, Annaba, Constantine, El Tarf et Guelma, dont le but est de relever toutes les propositions des personnes présentes pour une approche constructive et pérenne de l’histoire de l’Algérie à transmettre aux générations futures «en perte d’identité».
elwatan . com
Des propos justifiés, selon Chikhi, puisque sa méthode de travail est sujette depuis un certain temps à une polémique et des tiraillements. «Certains me reprochent de ne pas rendre consultables certaines archives sensibles. J’ai donné des directives pour que les noms des personnes et des lieux soient supprimés des documents en question pour ne pas toucher aux personnes physiques», a-t-il expliqué.
Dans ce contexte, notre interlocuteur précise : «Dans tous les pays du monde, les responsables des archives travaillent ainsi pour ne pas freiner les travaux des historiens et des chercheurs. Ce qui importe le plus, c’est le fait historique, à moins qu’il soit question d’un travail sur une personne bien définie. Dans ce cas, nous fournissons un crayon et une feuille pour uniquement prendre des notes à partir du document mis à disposition.»
La présence de Abdelmadjid Chikhi à Guelma l’a été à l’occasion d’un conclave qui a réuni, entre autres, les directeurs du tourisme, des moudjahidine, de la culture, de la jeunesse et des sports, de l’université, de l’éducation nationale, la formation professionnelle, la DAS et les affaires religieuses des wilayas de Tébessa, Souk Ahras, Skikda, Annaba, Constantine, El Tarf et Guelma, dont le but est de relever toutes les propositions des personnes présentes pour une approche constructive et pérenne de l’histoire de l’Algérie à transmettre aux générations futures «en perte d’identité».
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