Kamel Rezig prédit une baisse des prix des produits de large consommation : Faut-il s’en réjouir ?
algeriebrevesnews.dz/
Alger: 04.01.2020 Kamel Rezig prend ses fonctions de ministre de commerce.
S’il existe au sein du Gouvernement Djerad II un ministre qui s’est illustré par ses « échecs » et surtout l’incapacité de réguler son secteur, c’est bien Kamel Rezig, ministre du Commerce.
Ce dernier, ne fait que « prédire » depuis qu’il a été nommé à ce poste.
Devant non seulement la rareté de certains produits de première nécessité, mais aussi de leurs prix ayant atteint un seuil intolérable laminant de ce fait le porte-monnaie des smicards et autres classes moyennes notamment en ce mois de Ramadhan, Kamel Rezig, vient nous promettre que la situation allait s’arranger dans les jours à venir.
« Les prix des produits de large consommation ayant connu une hausse depuis le début du mois de Ramadhane reviendront à leurs niveaux normaux dans les prochains jours » a en effet laissé entendre ce mercredi, le ministre du Commerce, en marge de l’inauguration d’un nouveau centre commercial dans l’ouest de la capitale.
Sauf que le ministre semble se contredire puisque, selon lui, « plusieurs produits ayant connu des augmentations de prix le premier jour du mois de Ramadhane lors des années précédentes n’ont pas connu d’augmentation cette année », alors que la presse nationale a souvent évoqué ces hausses vertigineuses.
Non seulement. Tout comme le DG de l’ONIL qui veut faire porter le chapeau de la pénurie du lait en sachet aux citoyens qui « en consomment trop », le ministre du Commerce lui aussi, inpute la responsabilité des hausse des prix aux consommateurs.
« La hausse des prix de certaines marchandises depuis le début du mois sacré est dûe à une forte demande alors que l’offre est restée stable », dit-il à ce propos.
« De plus, il faut que le citoyen sache que certains produits ne sont pas de saison, ce qui induit une certaine augmentation de prix. Cela ne signifie pas, néanmoins, qu’il n’y a pas une certaine frange de commerçants qui profitent de cette occasion pour spéculer », a soutenu Kamel Rezig.
Il a ainsi rappelé que le ministère du Commerce, en coopération avec les services de sécurité et le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, oeuvre quotidiennement dans le cadre de la lutte contre la spéculation. On aimerait bien y croire.
Y.O
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S’il existe au sein du Gouvernement Djerad II un ministre qui s’est illustré par ses « échecs » et surtout l’incapacité de réguler son secteur, c’est bien Kamel Rezig, ministre du Commerce.
Ce dernier, ne fait que « prédire » depuis qu’il a été nommé à ce poste.
Devant non seulement la rareté de certains produits de première nécessité, mais aussi de leurs prix ayant atteint un seuil intolérable laminant de ce fait le porte-monnaie des smicards et autres classes moyennes notamment en ce mois de Ramadhan, Kamel Rezig, vient nous promettre que la situation allait s’arranger dans les jours à venir.
« Les prix des produits de large consommation ayant connu une hausse depuis le début du mois de Ramadhane reviendront à leurs niveaux normaux dans les prochains jours » a en effet laissé entendre ce mercredi, le ministre du Commerce, en marge de l’inauguration d’un nouveau centre commercial dans l’ouest de la capitale.
Sauf que le ministre semble se contredire puisque, selon lui, « plusieurs produits ayant connu des augmentations de prix le premier jour du mois de Ramadhane lors des années précédentes n’ont pas connu d’augmentation cette année », alors que la presse nationale a souvent évoqué ces hausses vertigineuses.
Non seulement. Tout comme le DG de l’ONIL qui veut faire porter le chapeau de la pénurie du lait en sachet aux citoyens qui « en consomment trop », le ministre du Commerce lui aussi, inpute la responsabilité des hausse des prix aux consommateurs.
« La hausse des prix de certaines marchandises depuis le début du mois sacré est dûe à une forte demande alors que l’offre est restée stable », dit-il à ce propos.
« De plus, il faut que le citoyen sache que certains produits ne sont pas de saison, ce qui induit une certaine augmentation de prix. Cela ne signifie pas, néanmoins, qu’il n’y a pas une certaine frange de commerçants qui profitent de cette occasion pour spéculer », a soutenu Kamel Rezig.
Il a ainsi rappelé que le ministère du Commerce, en coopération avec les services de sécurité et le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, oeuvre quotidiennement dans le cadre de la lutte contre la spéculation. On aimerait bien y croire.
Y.O
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