Depuis 16 H 15, des violences ont éclaté à Alger-centre où les services de sécurité ont lancé une « offensive » contre les manifestants pacifiques du Hirak qui ont refusé de quitter les lieux au niveau du Boulevard Didouche Mourad ou d’autres endroits névralgiques de la Capitale comme la Place Emir Abdelkader ou la Place de la Grande Poste.
Plusieurs sources oculaires ont assuré à Algérie Part que les policiers anti-émeutes ont intervenu de façon très musclée pour procéder à des dizaines d’arrestations. La tension qui régnait entre manifestants et services de sécurité depuis le début des marches populaires du Hirak a fini par éclater et dégénérer en affrontements, assurent nos sources. Les manifestants ont été brutalisés, tabassés et disperser par la force.
Force est de constater que les autorités algériennes ont procédé à des coupures intempestives de la connexion internet dans tous les environs d’Alger-centre comme les boulevards Hassiba Ben Baouali, Didouche Mourad, Grande Poste, Tunnel des Facultés, Place Emir Abdelkader, etc. Ces coupures d’internet sciemment orchestrées ont empêché les témoins oculaires et les manifestants du Hirak de diffuser les images de ces violences policières sur les réseaux sociaux. A la répression, le régime algérien rajoute la censure pour violenter dans le silence des manifestants pacifiques qui ont formé d’immenses foules ce vendredi 30 avril. La rédaction d’Algérie Part suit la situation de près et essaie, malgré toutes les difficultés techniques, de maintenir un contact permanent avec de nombreuses sources locales et oculaires pour décrire les évolutions des manifestations populaires du Hirak de ce vendredi particulièrement tendu.
ALGERIEPART PLUS
Plusieurs sources oculaires ont assuré à Algérie Part que les policiers anti-émeutes ont intervenu de façon très musclée pour procéder à des dizaines d’arrestations. La tension qui régnait entre manifestants et services de sécurité depuis le début des marches populaires du Hirak a fini par éclater et dégénérer en affrontements, assurent nos sources. Les manifestants ont été brutalisés, tabassés et disperser par la force.
Force est de constater que les autorités algériennes ont procédé à des coupures intempestives de la connexion internet dans tous les environs d’Alger-centre comme les boulevards Hassiba Ben Baouali, Didouche Mourad, Grande Poste, Tunnel des Facultés, Place Emir Abdelkader, etc. Ces coupures d’internet sciemment orchestrées ont empêché les témoins oculaires et les manifestants du Hirak de diffuser les images de ces violences policières sur les réseaux sociaux. A la répression, le régime algérien rajoute la censure pour violenter dans le silence des manifestants pacifiques qui ont formé d’immenses foules ce vendredi 30 avril. La rédaction d’Algérie Part suit la situation de près et essaie, malgré toutes les difficultés techniques, de maintenir un contact permanent avec de nombreuses sources locales et oculaires pour décrire les évolutions des manifestations populaires du Hirak de ce vendredi particulièrement tendu.
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