Le conflit autour de le présidence de la JS Kabylie se poursuit. Le bras de fer entre Chérif Mellal et Yazid Yarichene ne semble pas prêt à se terminer. Le club phare de la Kabylie se retrouve otage, entre menaces de l’un et les répliques de l’autre.
Yarichene avait tenu une conférence de presse à Tizi Ouzou, où il a annoncé "la fin du règne de Cherif Mellal" ; suite à une décision de le justice administrative qui aurait autorisé Yarichene à retirer un registre de commerce tout en clôturant l'ancien. Pourquoi clôturer l'ancien registre du commerce si Yarichène et ses comparses ont une légitimé pour revendiquer la direction du club JSK ?
Yarichene s’attendait peut être à une passation de pouvoir sous les ovations des supporters du club, il n'en fut rien ; entouré par le conseil d'administration de la nouvelle structure, il s'est présenté au siège du club pour prendre possession du lieu. Ils se sont retrouvés face à Cherif Mellal qui a refusé de quitter les lieux. Mellal a fermé les portes du siège et est resté à l’intérieur avec ses collaborateurs. Il s’est ensuite exprimé via un direct sur la page Facebook de club.
Mellal a dénoncé les démarches de Yarichène qui, selon lui, sont illégales, le registre de commerce de ce dernier ne contient pas l’adresse de siège de club. Ce qui effectivement rend le document caduque puisque la mention est obligatoire.
Cherif Mellal a déclaré : « les masques son tombés. ils (Yarichene et sa direction, ndlr) veulent diviser les supporters de le JS Kabylie, en se prenant à moi. d’ailleurs aujourd’hui, ils on violé toutes les lois. le siège de le JSK ne leur appartient pas. c’est la propriété de l’OPGI. De ce fait, j’étais dans mon droit quand j’ai refusé de quitter les lieux ». Element troublant car si Yarichène et son conseil d'administration ne savaient pas que le siège n'avait jamais appartenu au club, on peut véritablement douter de leur compétence à la bonne gestion du club. Surtout que l’Office de Promotion et de la Gestion Immobilière est un établissement public national à caractère social, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Cela signifie que le conseil d'administration de Yarichène entendait s'approprier un bien appartenant à l'état.
Un nom saute aux yeux quant on examine la composition du conseil d’administration : Djaffar Aït Mouloud, Ali Bouzit, Rachid Azouaou, Malik Azlef et Yazid Yarichène. Bouzit est un nom bien connu des cercles du pouvoir, le général-major Mohamed Bouzit alias Youcef avait été démis de ses fonctions de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), le renseignement extérieur algérien. Le général-major Youcef avait payé de grosses erreurs dans plusieurs dossiers stratégiques liés à la sécurité nationale en Algérie à l’image du bourbier libyen, la question du Sahel et le dossier du Sahara Occidental. Si le nom Bouzit a le moindre rôle dans les coulisses de la tentative de prise de direction de la JSK, la justice serait bien inspirée de se saisir du dossier pour en vérifier les dessous. Faire confiance en la justice algérienne est considérée comme une utopie par la plupart, mais en ces temps tourmentés pour l'Algérie, un sursaut pour la stabilité de notre pays serait un signe fort envoyé à la population s'il se concrétisait.
La Dépêche de Kabylie
Yarichene avait tenu une conférence de presse à Tizi Ouzou, où il a annoncé "la fin du règne de Cherif Mellal" ; suite à une décision de le justice administrative qui aurait autorisé Yarichene à retirer un registre de commerce tout en clôturant l'ancien. Pourquoi clôturer l'ancien registre du commerce si Yarichène et ses comparses ont une légitimé pour revendiquer la direction du club JSK ?
Yarichene s’attendait peut être à une passation de pouvoir sous les ovations des supporters du club, il n'en fut rien ; entouré par le conseil d'administration de la nouvelle structure, il s'est présenté au siège du club pour prendre possession du lieu. Ils se sont retrouvés face à Cherif Mellal qui a refusé de quitter les lieux. Mellal a fermé les portes du siège et est resté à l’intérieur avec ses collaborateurs. Il s’est ensuite exprimé via un direct sur la page Facebook de club.
Mellal a dénoncé les démarches de Yarichène qui, selon lui, sont illégales, le registre de commerce de ce dernier ne contient pas l’adresse de siège de club. Ce qui effectivement rend le document caduque puisque la mention est obligatoire.
Cherif Mellal a déclaré : « les masques son tombés. ils (Yarichene et sa direction, ndlr) veulent diviser les supporters de le JS Kabylie, en se prenant à moi. d’ailleurs aujourd’hui, ils on violé toutes les lois. le siège de le JSK ne leur appartient pas. c’est la propriété de l’OPGI. De ce fait, j’étais dans mon droit quand j’ai refusé de quitter les lieux ». Element troublant car si Yarichène et son conseil d'administration ne savaient pas que le siège n'avait jamais appartenu au club, on peut véritablement douter de leur compétence à la bonne gestion du club. Surtout que l’Office de Promotion et de la Gestion Immobilière est un établissement public national à caractère social, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Cela signifie que le conseil d'administration de Yarichène entendait s'approprier un bien appartenant à l'état.
Un nom saute aux yeux quant on examine la composition du conseil d’administration : Djaffar Aït Mouloud, Ali Bouzit, Rachid Azouaou, Malik Azlef et Yazid Yarichène. Bouzit est un nom bien connu des cercles du pouvoir, le général-major Mohamed Bouzit alias Youcef avait été démis de ses fonctions de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), le renseignement extérieur algérien. Le général-major Youcef avait payé de grosses erreurs dans plusieurs dossiers stratégiques liés à la sécurité nationale en Algérie à l’image du bourbier libyen, la question du Sahel et le dossier du Sahara Occidental. Si le nom Bouzit a le moindre rôle dans les coulisses de la tentative de prise de direction de la JSK, la justice serait bien inspirée de se saisir du dossier pour en vérifier les dessous. Faire confiance en la justice algérienne est considérée comme une utopie par la plupart, mais en ces temps tourmentés pour l'Algérie, un sursaut pour la stabilité de notre pays serait un signe fort envoyé à la population s'il se concrétisait.
La Dépêche de Kabylie
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