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Huile de table : « Il n’y a pas de pénurie, mais une hausse de la demande » (Louhaidia)

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  • #16
    si, les revenus montent beaucoup.
    Le gvt , à raison, a décidé de couper dans les importations et les subventionnements. A flux tendu, la gestion se fait cahin caha, d'oû les pénuries.
    Trop de gaspillage, le gvt a raison de moins importer et tenter de faire produire plus local.

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    • #17
      quand le baril était a 150 dollars j'avais dit a l'époque que c'est maintenant qu'il faut taper dans les subventions et pas attendre une chute du prix du baril. tout aurait été plus simple a l'époque. mais boutef populiste qu'il était n'a pas voulu...

      et tebboune qui dit que les subventions resteront jusqu'a la fin des temps....

      l'algérie paye les 20 ans d'immobilisme. du coup bachi a raison l'état n'a d'autres choix que de forcer la population a moins consommer. c'est vrai que les dz consomment bien trop d'huile, pain, lait etc c'est pas normal que l'algérie avec seulement 46 millions d'hab soit un des top 3 ou top 5 des importateurs mondiaux. mais pour cela il eut été mieux d'obliger les dz a diversifier leur nourriture . on est pas obligé de boire 5 verres de café ,lait par jour.

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      • #18
        mais ils devraient assumer et dire la vérité aux algériens. et cesser leurs théories complotistes a 2 balles

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        • #19
          il n’y a pas de pénurie de l’huile de table, mais une forte demande
          M. Louhaidia n'a pas tort. J'ai discuté avec un grossiste de produits alimentaires. Il m'a dit qu'ils reçoivent de l'huile de table comme d'habitude

          Le problème est que, à cause des rumeurs de la pénurie, les algériens achètent de grandes quantités. Ce qui crée des tensions au niveau de la demande
          Dernière modification par icosium, 15 janvier 2022, 17h50.
          "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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          • #20
            Envoyé par icosium
            Le problème est que, à cause des rumeurs de la pénurie, les algériens achètent de grandes quantités. Ce qui crée des tensions au niveau de la demande
            Exactement! La pénurie est causée par les rumeurs d'internet, la guerre de 4eme génération dirigée contre l'l'Algérie.

            Il ne faut pas oublier les mineurs qui achètent l'huile pour le compte de grands trafiquants internationaux. C'est un grand complot pour atteindre le moral des algériens.
            Dernière modification par Maurice_94, 15 janvier 2022, 17h48.

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            • #21
              Salam,

              Le Directeur général du contrôle économique et de la répression de la fraude (DGCERF) au ministère du Commerce, Mohamed Louhaidia, a indiqué qu’ « il n’y a pas de pénurie de l’huile de table, mais une forte demande ».
              « Il n’y a pas de pénurie mais une forte demande ».. et pourquoi il y a une forte demande et pas de pénurie ?? Il n’osera pas le dire..
              Ici, les raisons de cette pénurie sont claires.. et tout le monde les connait.. :
              1/ Les grossistes qui ont été longtemps soumis au régime fiscal forfaitaire ont été déplacé au réel avec obligation d’acheter avec facture et de vendre avec facture.. c’est bien beau en théorie, mais les prix de ventes pour certains produits de base sont règlementés.. Un grossiste que je connais, et qui paie son loyer à 8 millions par mois, avec deux ou trois salariés.. travaillera à perte.. préférant arrêté son activité.. Toute la chaine d’approvisionnement n’est plus rentable..
              2/ Chez les producteurs, c’est une autre histoire.. les prix de la matière première augmentent à l’importation.. Mais pour certains produits règlementés.. l’administration délivre des autorisation d’importation au compte-goutte.

              Les deux points combinés : augmentation du prix de production et un réseau de distribution à l’arrête, les conséquences deviennent absurdes : « Il n’y a pas de pénurie mais une forte demande »..

              Sur cette vidéo, dans l’excellente émission du beure TV (بتوقيت الجزائر), le Monsieur explique très bien :



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              • #22
                En fait, l'élément le plus révélateur c'est l'arret d'importation des voitures. Tant que cette interdiction est de mise, il faut considérer que les caisses sont dans un mauvais état.

                Ce qui est incompréhensible, c'est comment Tebboune peut se permettre de signer un cheque en devises aux palestiniens puis un autre pour Kais Said d'une valeur de 400 millions de dollars, quand on sait que cette somme aurait pu constituer un soulagement pour les algeriens et qu'il aurait pu par exemple la reserver pour permettre aux algeriens d'importer des voitures...

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                • #23
                  tout à fait MR...
                  Les pauvres commerçants sont toujours tenus responsables des pénuries, de vrais boucs émissaires.
                  et ca remonte à l'ère de Ben Bella. Les commerçants sont les traitres de la patrie, à chaque pénurie.

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                  • #24
                    Le Directeur général du contrôle économique et de la répression de la fraude (DGCERF) au ministère du Commerce, Mohamed Louhaidia
                    Ca fait longtemps que je l'ai perdu de vue ce type et je suis étonné qu'il devient le directeur de cette entité. Chapeau à son parcours ! Il est parti d'un douar perdu de la frontière tuniso-algérienne, il s'est installé à Alger en petites locations de dépannage et voilà qu'il devient directeur de ce machin de DGCERF. Comme quoi, il reste encore quelques ascenseurs en Algérie.
                    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                    • #25
                      En fait, l'élément le plus révélateur c'est l'arret d'importation des voitures. Tant que cette interdiction est de mise, il faut considérer que les caisses sont dans un mauvais état.
                      Evidement, ca saute aux yeux.

                      Couper les importations dans un pays où il n'y a aucune usine de voiture, c'est condamner les algeriens à n'acheter que l'ancien et ce sur plusieurs années. C'est un signe flagrant d'un pays trés trés mal géré.

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                      • #26
                        S'agissant des caisses, je pense que l'algérie roule actuellement avec le fond du réservoir, donc la lampe jaune est allumée et il y a 2 solutions : soit il faut trouver une pompe à essence à moins de 20 Km, soit serrer à droite et attendre une âme "charitable" qui aimerait bien donner quelques litres pour joindre la pompe à essence la plus proche. Évidement dans les 2 cas, on ne peut pas trop appuyer sur le champignon comme on dit chez nous douga douga.

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                        • #27
                          citoyen le probleme est beaucoup plus grave que ça, ce n'est pas une question d'essence, le moteur est en train de couler, structurellement...

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