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Lorsqu'un moudjahid nous quitte

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  • Lorsqu'un moudjahid nous quitte

    Je trouve que un moudjahid ou un chahid appartient à l'Algérie entière

    je ne comprends pas comment lorsqu'un moudjahid décède, que la seule information est : un communiqué genre
    le president a envoyé une lettre de condoléance à la famille ...

    Ni le président, ni le ministre, ni sidi zakri n'a le monopole de l'histoire de l'Algérie

    Etre digne de cette histoire c'est rappeler ce qu'a fait ce moudjahid, sa petite histoire qui appartient à tous et ne pas s'accaparer tout même ça ... comment voulez vous garder la mémoire avec une médiocrité pareille ...et les générations futures comment voulez vous qu'ils sachent ... ni les petites anecdotes, ni la petite histoire de cette personne

    c'est d'un niveau ras les pâquerettes, un hold up même

    win rah le niveau qui met en valeur cette belle histoire

    en dehors de la pub : genre le ministre a rendu visite à la famille ou bien le président a envoyé une lettre

    en voit bien que la seule chose qui importe c'est utiliser ce patrimoine qui disparaît petit à petit juste pour faire de la politique et rien d'autre ...

    je suis triste pour le pays car l'histoire si elle n'est pas racontée et écrite elle disparaît tout simplement

    C'est en lisant un communique comme ça sur l'APS tout à l'heure que je me suis rendu compte que le niveau tayeh bezzaf

    L'Algérie mérite mieux



  • #2
    C'est un communiqué
    Après ce que tu demandes est un travail des historiens, de sa famille, des journalistes...

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    • #3
      Ha mathablounich ! c'est pas lorsqu'un moujahid décède que l'on va commencer à faire un travail d'historien ... parfois j'ai l'impression que je ne comprends pas trop ce pays ...

      L'histoire est derière lui

      il a déjà du aller dans des écoles raconter son histoire, raconter la révolution, on a du déjà le filmer la raconter ou bien, un livre a été déjà écrit sur lui ou par lui même

      je ne sais pas j'imagine

      La valeur du communiqué est l'occasion d'orienter les gens pour en savoir plus ...

      mais bon ... je demande peut être des choses impossibles ...

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      • #4
        Vous avez le ministère des moudjahidines dont le budget dépasse celui de l'agriculture, tant qu'il n'est pas supprimé, personne n'a envie d'écouter sérieusement leurs histoire

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        • #5
          Respect total pour tous les combattants de l'Algérie
          chahid ou moudjahid

          L'histoire est ainsi faite on parle plus des personnes connues et des
          Meneurs de la révolution
          Mais les chahids sont très popularisé dans leur région d origine
          Tout le monde en parle , on connaît aussi leurs combats et les hauts faits d arme
          Gone with the Wind.........

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          • #6
            Ailleurs je ne sais pas (je suppose que c'est partout pareil), dans ma localité les "moudjahids" encore en vie n'ont rien qui s'apparente à un engagement lors de la guerre d'indépendance, c'est des moudjahids des trois volets.

            De sorte qu'en des circonstances de commémorations et de dépôts de fleurs au monument aux morts, ces faussaires se donnent en spectacle, et aux sarcasmes des gens qui ne ressentent que du méprit à leur égard.

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            • #7
              Pour te dire la vérité, je n'assiste jamais aux commémorations des moudjahidines
              trop d spectacles trop de chichi, trop de m.as tu vu Et en plus, ceux qui ont survécu doivent respect aux morts durant la révolution

              J.əi l impression qu il ya concurrence
              Gone with the Wind.........

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              • #8
                je ne comprends pas comment lorsqu'un moudjahid décède, que la seule information est : un communiqué genre
                le president a envoyé une lettre de condoléance à la famille ...
                Je ne comprends pas l’objet de cette discussion ? Au contraire en Algérie, c’est lorsqu’un Moudjahid décède qu’on parle de lui dans les médias

                Ce qui est à déplorer c’est qu’on ne parle pas de lui avant sa mort. Comme dit le proverbe populaire : "a3ch dji3ane ki mat a3lkoulou a3rdjoune"
                Dernière modification par icosium, 27 mars 2023, 13h52.
                "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                • #9
                  L'objet est simple
                  est simple tu viens de le résumer par ton proverbe

                  ce qui me désole c'est le patrimoine c'est l'histoire qui est juste exploitée par certains et d'une manière assez médiocre mais pas conservée et pas racontée en multitude d'exemples de petites histoires de témoignage de leur vivant ... des histoires simples banales même de ces algériens qui ont connu d'une manière ou d'une autre la prison la torture ou bien simple garde à vu ou ont vu leur camarades disparaître pendant cette période douloureuse


                  L'objet est aussi simple si réellement les dirigeants souhaitent favoriser l'écriture de l'histoire et non son exploitation

                  tien par exemple ici l'histoire de ces personnes qui sont cette fois morts pendant guerre est conservé ... pas en petite histoire racontée par des moudjahid à de petits enfants d'écoles ou de collèges mais elle est passée dans la mémoire collective qui tisse un pays

                  écoute j'aime bien cette chanson

                  j'espère que tu aimes Echikha eljania

                  je trouve très beau et là il n'y a pas eu hold up ...

                  les islamistes qui n'aiment rien d'ailleurs en Algérie en dehors de l'argent ne doivent pas aimer ce genre d'art

                  cette chanson raconte tout et suffit à elle même




                  Mais parfois j'ai l'impression de parler à des montagnes qui me rendent l'échos et que personne ne s'intéresse réellement à ce pays
                  Dernière modification par Aloha, 27 mars 2023, 20h34.

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                  • #10
                    Je ne pense pas qu'il soit très sage d'attendre le bon vouloir du gouvernement pour raconter l'Histoire de l'Algérie. Pas davantage pour témoigner du valeureux combat et honorer tous ces Hommes et Femmes qui se sont véritablement battus pour sa libération. C'est à chacun d'entre nous d'écrire, de recueillir les témoignages et de chercher les documents démontrant que la victoire fut plus que méritée. Il faut agir comme nos Moudjahidines, compter sur soi pas sur les belles paroles et les promesses qui n'engagent que ceux qui les croient ...
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Nous ignorons beaucoup de choses sur notre histoire, notre culture et notre patrimoine qui ont été effacés par le colonisateur français, déformés et délaissés par le clan de Oujda qui a usurpé notre indépendance.

                      Heureusement, les réseaux sociaux sont là pour nous aider à découvrir notre histoire méconnue. Des youtubeurs comme Mohamed Doumir accomplissent un travail remarquable, mieux que celui des historiens.
                      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                      • #12
                        Oui il y a confiscation de notre histoire
                        vous imaginez qu il était interdit de parler des partis politiques près révolution à l'instar du papa MTLD Ens etc....par le pouvoir du coup d état de 1965
                        Ceci dit j'ai remarqué que bcp écrivent ou raconte l'histoire qui leurs convient
                        Tout le monde écris et bcp sont très partiels Saïd Saadi fait un bouquin sur amirouche
                        Complément à décharge
                        J'ai horreur qu'on travestisse le déroulement de la dernière révolution 1926. ..........,1962

                        .

                        Gone with the Wind.........

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                        • #13
                          Voici un ,," hommage" insensé exploité par le pouvoir

                          Un récit succint du défunt et des témoignages des personnes qui moudjahidines ou pas aurait été plus efficace
                          Le 63e anniversaire de la mort du colonel Lotfi
                          Un dirigeant brillant de la Révolution


                          Laid Rebiga s'est rendu aussi à l'endroit même du passage, dans la région de Mougheul (50 km au nord de Bechar), de la sinistre ligne Challe-Morice.
                          commémoration du 63ème anniversaire de la mort du colonel Lotfi et ses compagnons de lutte est une occasion pour se remémorer les sacrifices des chouhada et moudjahidine consentis pour la libération du pays du joug colonial français, a affirmé lundi à Bechar le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit Laïd Rebiga. "Les sacrifices incommensurables des chouhada et moudjahidine pour la libération de notre pays du joug du colonial français, à l'exemple du colonel Lotfi tombé au champ d'honneur avec ses compagnons d'armes, les martyrs commandant Farradj, Zaoui Cheikh et Brik Ahmed, le 27 mars 1960 lors de la bataille de Djebel Béchar, vient démontrer que les Algériens ont été toujours unis pour défendre la juste cause de leur pays", a indiqué le ministre dans son allocution prononcée à l'occasion de la commémoration du 63ème anniversaire de la mort du colonel Lotfi et de ses compagnons au lieu même de cette bataille, à quelques encablures de la ville de Béchar. "Aujourd'hui, nous rendons hommage aux chouhada qui sont tombés au champ d'honneur pour que l'Algérie soit un pays libre et uni", a-t-il dit.
                          "Le colonel Lotfi qui fut un dirigeant brillant de la Révolution du 1er novembre 1954, est aussi un symbole du passé glorieux de l'Algérie. Il participa avec ses compagnons, tombés en martyrs les armes à la main pour l'honneur du pays, à l'écriture de notre histoire", a souligné M. Rebiga. Et d'ajouter: "A travers la commémoration du 63ème anniversaire de la mort en chahid au champ de bataille du colonel Lotfi et de ses compagnons martyrs, nous nous remémorons tant les valeurs de ces chouhada que ceux de la Révolution du 1er novembre 1954".
                          Le ministre des Moudjahidine et Ayants droit qui s'est rendu par la suite au musée du Moudjahid de Béchar en compagnie des autorités de la wilaya, du général major Fodil Nasr Eddine, adjoint du commandant de la 3ème région militaire (3-RM), du secrétaire général de l'Organisation nationale des enfants de Chouhada (ONEC), Khelifa Smati, et des moudjahidine de la Wilaya V historique, ainsi que des membres des familles des chouhada de la bataille de Djebel Béchar, a visité les différents halls et stands d'expositions de cette institution dédiée à l'histoire de la guerre de libération nationale dans la zone 8 de la Wilaya V historique.


                          Wallah c'est trop trop
                          Gone with the Wind.........

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                          • #14
                            Nous ignorons beaucoup de choses sur notre histoire, notre culture et notre patrimoine qui ont été effacés par le colonisateur français, déformés et délaissés par le clan de Oujda qui a usurpé notre indépendance.

                            L'effacement de notre culture et patrimoine a continuer bien après 62, par ailleurs il est encore d'actualité

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