Après Rachad et le MAK, le régime algérien invente un nouvel ennemi en 2023
le régime algérien s'apprête à lancer une nouvelle opération politique et médiatique pour faire croire à sa population qu'un nouvel ennemi guette le pays. Après avoir utilisé les figures du MAK et Rachad en 2021 et 2022, le régime algérien change de disque et "s'offre" un nouvel ennemi en 2023 qu'il va utiliser pour terrifier la population et justifier son emprise sur le pays au détriment des libertés fondamentales. Et tout ce processus va se dérouler comme par hasard à une année des élections présidentielles 2024.
La «Badissia-novembria», le nouvel ennemi sorti tout droit de l'imaginaire des dirigeants algériens
Après RACHAD et le MAK en 2021 et 2022, c'est la badissia-novembria, ce concept inventé en toutes pièces en 2019 pour allier l'islamo-conservatisme au nationalisme frénétique, qui sera érigé en un "ennemi national" menaçant la sécurité du pays et sa stabilité. La presse algérienne a d'ores et déjà commencé sa nouvelle mission de propagande pour faire croire à la population que les partisans de la "badissia-novembria" veulent instaurer l'intégrisme dans le pays et renverser la République pour imposer un nouveau pouvoir religieux fanatique. Des arguments délirants lorsqu'on sait que la "badissia-novembria" a été inventée par le pouvoir algérien lui-même en 2019 pour diaboliser et stopper le Hirak, le mouvement de contestation populaire de février 2019, avec pour but d'imposer la feuille de route de la transition politique dictée uniquement par l'Institution Militaire. Et aujourd'hui, après avoir divisé et affaibli le Hirak, la "badissia-novembria" est devenue une source d'inquiétudes et d'angoisses pour le régime algérien au point où il veut la qualifier d'ennemi dangereux pour l'avenir du pays. Qui peut croire à un tel scénario fantaisiste ? Réponses et explications.
le régime algérien s'apprête à lancer une nouvelle opération politique et médiatique pour faire croire à sa population qu'un nouvel ennemi guette le pays. Après avoir utilisé les figures du MAK et Rachad en 2021 et 2022, le régime algérien change de disque et "s'offre" un nouvel ennemi en 2023 qu'il va utiliser pour terrifier la population et justifier son emprise sur le pays au détriment des libertés fondamentales. Et tout ce processus va se dérouler comme par hasard à une année des élections présidentielles 2024.
La «Badissia-novembria», le nouvel ennemi sorti tout droit de l'imaginaire des dirigeants algériens
Après RACHAD et le MAK en 2021 et 2022, c'est la badissia-novembria, ce concept inventé en toutes pièces en 2019 pour allier l'islamo-conservatisme au nationalisme frénétique, qui sera érigé en un "ennemi national" menaçant la sécurité du pays et sa stabilité. La presse algérienne a d'ores et déjà commencé sa nouvelle mission de propagande pour faire croire à la population que les partisans de la "badissia-novembria" veulent instaurer l'intégrisme dans le pays et renverser la République pour imposer un nouveau pouvoir religieux fanatique. Des arguments délirants lorsqu'on sait que la "badissia-novembria" a été inventée par le pouvoir algérien lui-même en 2019 pour diaboliser et stopper le Hirak, le mouvement de contestation populaire de février 2019, avec pour but d'imposer la feuille de route de la transition politique dictée uniquement par l'Institution Militaire. Et aujourd'hui, après avoir divisé et affaibli le Hirak, la "badissia-novembria" est devenue une source d'inquiétudes et d'angoisses pour le régime algérien au point où il veut la qualifier d'ennemi dangereux pour l'avenir du pays. Qui peut croire à un tel scénario fantaisiste ? Réponses et explications.