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La Russie considère-t-elle encore et toujours le régime algérien comme un "ami" fidèle et un partenaire historique ? Pas si sûr car depuis 2022, les dirigeants du nouveau régime algérien adoptent une attitude "boiteuse" et empreinte d'humeurs instables ou d'un manque flagrant de volontarisme pour approfondir leur coopération avec Moscou.
Preuve en est, la visite d'Etat de Tebboune à Moscou a été reportée à maintes reprises depuis mai 2022 et la signature d'un document de nouveau partenariat stratégique entre les deux pays a été gelée à la demande du pouvoir algérien qui temporise beaucoup avant de conclure la moindre nouvelle alliance avec la Russie de Vladimir Poutine par crainte de subir les sanctions et la colère des Etats-Unis ainsi que des autres puissances occidentales.
Cette indécision d'Alger est interprétée par Moscou comme une fuite en avant qui porte préjudice à la profondeur des relations amicales historiques entre les deux pays. L'establishment russe commence ainsi à reconsidérer ses relations avec le pouvoir algérien qui n'est plus, visiblement, classé parmi les "amis" fiables et sûrs de la Russie. Preuve en est, l'Algérie vient d'être exclue de la liste des 19 pays amis dont les ressortissants vont bénéficier, désormais, du régime de visa simplifié pour séjourner en Russie.
Les citoyens de ces 19 pays spécifiés peuvent obtenir un visa touristique d'une durée maximale de six mois s'ils ont une réservation d'hôtel, lit-on dans le décret publié sur le portail gouvernemental russe. Les pays facilités sont Bahreïn, Brunei, Cambodge, Chine, Inde, Indonésie, Iran, République populaire démocratique de Corée, Koweït, Laos, Malaisie, Mexique, Myanmar, Oman, Arabie saoudite, Serbie, Thaïlande, Turquie et Philippines. L'absence de l'Algérie, naguère l'un des pays les plus proches de Moscou, sur cette liste témoigne d'une nouvelle révision des relations de la Russie avec le régime algérien.
Preuve en est, la visite d'Etat de Tebboune à Moscou a été reportée à maintes reprises depuis mai 2022 et la signature d'un document de nouveau partenariat stratégique entre les deux pays a été gelée à la demande du pouvoir algérien qui temporise beaucoup avant de conclure la moindre nouvelle alliance avec la Russie de Vladimir Poutine par crainte de subir les sanctions et la colère des Etats-Unis ainsi que des autres puissances occidentales.
Cette indécision d'Alger est interprétée par Moscou comme une fuite en avant qui porte préjudice à la profondeur des relations amicales historiques entre les deux pays. L'establishment russe commence ainsi à reconsidérer ses relations avec le pouvoir algérien qui n'est plus, visiblement, classé parmi les "amis" fiables et sûrs de la Russie. Preuve en est, l'Algérie vient d'être exclue de la liste des 19 pays amis dont les ressortissants vont bénéficier, désormais, du régime de visa simplifié pour séjourner en Russie.
Les citoyens de ces 19 pays spécifiés peuvent obtenir un visa touristique d'une durée maximale de six mois s'ils ont une réservation d'hôtel, lit-on dans le décret publié sur le portail gouvernemental russe. Les pays facilités sont Bahreïn, Brunei, Cambodge, Chine, Inde, Indonésie, Iran, République populaire démocratique de Corée, Koweït, Laos, Malaisie, Mexique, Myanmar, Oman, Arabie saoudite, Serbie, Thaïlande, Turquie et Philippines. L'absence de l'Algérie, naguère l'un des pays les plus proches de Moscou, sur cette liste témoigne d'une nouvelle révision des relations de la Russie avec le régime algérien.