C'est une grave affaire que nous allons révéler aujourd'hui car elle en dit long sur la profondeur du clanisme au sein du pouvoir algérien et les dérives de l'instrumentalisation politique des institutions sécuritaires ou militaires pour des agendas purement politiciens et liés à des intérêts personnels des dirigeants du régime algérien.
En 2021, un ancien consul d'Algérie en Espagne, celui d'Alicante plus exactement, qui était également un colonel des services secrets algériens, a été mis à l'écart, malmené, sanctionné et muté vers Béchar à la frontière marocaine parce qu'il avait refusé de participer à un complot visant à manipuler des journalistes, influenceurs ou des activistes de l'opposition algérienne établis à l'étranger dans le but d'affaiblir le conseiller le plus influent d'Abdelmadjid Tebboune et le général-major Abdelghani Rachedi, l'ex-patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), le renseignement intérieur algérien.
Il s'agissait de l'opération dite du "colonel Hamza", du nom de code de ce haut gradé des services secrets algériens, qui devait permettre la mobilisation des "éléments subversifs" de l'opposition algérienne les plus influents à l'étranger pour faire tomber des acteurs importants du clan présidentiel d'Abdelmadjid Tebboune.
Une grave conspiration qui révèle le véritable côté obscur du fonctionnement clanique de l'actuel pouvoir algérien.
En 2021, un ancien consul d'Algérie en Espagne, celui d'Alicante plus exactement, qui était également un colonel des services secrets algériens, a été mis à l'écart, malmené, sanctionné et muté vers Béchar à la frontière marocaine parce qu'il avait refusé de participer à un complot visant à manipuler des journalistes, influenceurs ou des activistes de l'opposition algérienne établis à l'étranger dans le but d'affaiblir le conseiller le plus influent d'Abdelmadjid Tebboune et le général-major Abdelghani Rachedi, l'ex-patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), le renseignement intérieur algérien.
Il s'agissait de l'opération dite du "colonel Hamza", du nom de code de ce haut gradé des services secrets algériens, qui devait permettre la mobilisation des "éléments subversifs" de l'opposition algérienne les plus influents à l'étranger pour faire tomber des acteurs importants du clan présidentiel d'Abdelmadjid Tebboune.
Une grave conspiration qui révèle le véritable côté obscur du fonctionnement clanique de l'actuel pouvoir algérien.