Au moment où l'Armée algérienne s'apprête à affronter une inédite tourmente géopolitique internationale avec la programmation prochaine en Suisse du procès du général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense Nationale et ex-Chef d'Etat-Major de l'Armée Nationale et Populaire (ANP), pour de graves accusations de crimes contre l'humanité, le manque de cohésion et d'unité en interne continue de la menacer et de la déstabiliser.
Preuve en est, Algérie Part a pu confirmer au cours de ses investigations qu'un énième général risque bientôt d'aller en prison dans le cadre de poursuites judiciaires pour des faits de corruption qui demeurent opaques et soulèvent de véritables interrogations sur les intentions réelles de la machine judiciaire militaire.
Il s'agit, selon nos investigations, du général Brahim Gouasmia, ex-premier responsable de la célèbre ECOLE SUPERIEURE DES TROUPES SPECIALES (ESTS) « Chahid Mustapha Khoja appelé Si Ali » / basée à Biskra dans la 4° Région Militaire, qui est soumis à une enquête sur des pratiques de corruption concernant des passations douteuses de marchés de boissons gazeurs et acquisition de viandes rouges pour les besoins des repas des soldats en formation au sein de cette école d'élite de l'armée algérienne.
Cependant, plusieurs de nos sources pointent du doigt une instrumentalisation de la Justice militaire pour un énième règlement de comptes orchestré dans le cadre d'une intense de luttes internes d'influence autour du leadership au sein de l'Armée. Le général Brahim Gouasmia est un proche de l'actuel commandant des Forces terrestres est le général major Amar Athamnia.
Ce dernier entretient de très mauvaises relations avec Said Chengriha, patron de l'Etat-Major de l'ANP, et ce dernier veut le remplacer pour nommer un autre général à sa place, mais peine à imposer sa volonté faute d'un consensus au plus haut sommet du régime algérien. Cette situation de confusiona engendré une guerre intestine qui affaiblit malheureusement l'Armée algérienne dans un contexte de troubles internationaux et de menaces multiples contre la sécurité de notre pays avec tous les foyers tensions entourant nos frontières.
Comment une Armée peut-elle défendre son intégrité et sa crédibilité si elle continue d'emprisonner elle-même ses propres généraux et chefs dans des circonstances scandaleuses, voire sur fond de luttes claniques permanentes ? Réponses et analyse dans ce podcast.
Preuve en est, Algérie Part a pu confirmer au cours de ses investigations qu'un énième général risque bientôt d'aller en prison dans le cadre de poursuites judiciaires pour des faits de corruption qui demeurent opaques et soulèvent de véritables interrogations sur les intentions réelles de la machine judiciaire militaire.
Il s'agit, selon nos investigations, du général Brahim Gouasmia, ex-premier responsable de la célèbre ECOLE SUPERIEURE DES TROUPES SPECIALES (ESTS) « Chahid Mustapha Khoja appelé Si Ali » / basée à Biskra dans la 4° Région Militaire, qui est soumis à une enquête sur des pratiques de corruption concernant des passations douteuses de marchés de boissons gazeurs et acquisition de viandes rouges pour les besoins des repas des soldats en formation au sein de cette école d'élite de l'armée algérienne.
Cependant, plusieurs de nos sources pointent du doigt une instrumentalisation de la Justice militaire pour un énième règlement de comptes orchestré dans le cadre d'une intense de luttes internes d'influence autour du leadership au sein de l'Armée. Le général Brahim Gouasmia est un proche de l'actuel commandant des Forces terrestres est le général major Amar Athamnia.
Ce dernier entretient de très mauvaises relations avec Said Chengriha, patron de l'Etat-Major de l'ANP, et ce dernier veut le remplacer pour nommer un autre général à sa place, mais peine à imposer sa volonté faute d'un consensus au plus haut sommet du régime algérien. Cette situation de confusiona engendré une guerre intestine qui affaiblit malheureusement l'Armée algérienne dans un contexte de troubles internationaux et de menaces multiples contre la sécurité de notre pays avec tous les foyers tensions entourant nos frontières.
Comment une Armée peut-elle défendre son intégrité et sa crédibilité si elle continue d'emprisonner elle-même ses propres généraux et chefs dans des circonstances scandaleuses, voire sur fond de luttes claniques permanentes ? Réponses et analyse dans ce podcast.
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