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Mohamed Laagab se réunit avec les responsables de la presse écrite nationale

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  • Mohamed Laagab se réunit avec les responsables de la presse écrite nationale


    ALGER- Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab s'est réuni, dimanche au siège de son département ministériel, avec les responsables et les directeurs des journaux nationaux, qu'il a appelés à "la nécessité de s'orienter vers la transition numérique", indique le ministère dans un communiqué.


    Selon la même source, le ministre de la Communication et "après avoir dressé un diagnostic minutieux de la situation de la presse écrite en Algérie, a appelé les responsables de ces établissements d'information à la nécessité de s'orienter vers la transition numérique, mettant en avant la forte concurrence que connait actuellement la presse électronique".

    Evoquant les difficultés et les obstacles auxquels est confrontée aujourd'hui la presse écrite, M. Laagab a réaffirmé que "l'Etat algérien est mû par une intention sincère et sérieuse de mettre le secteur sur les rails, à travers le parachèvement des lois régissant le secteur et l'installation des institutions à même de l'encadrer, à l'instar de l'Autorité de régulation de la presse écrite, ainsi que le Conseil de déontologie de la profession qui auront un rôle important dans l'organisation et le développement du secteur", ajoute le communiqué.
    Cette rencontre a également constitué, poursuit la même source, "une opportunité d'évoquer les aspects effectifs qui devront apporter des solutions efficientes et pratiques aux problèmes des journaux et relancer le secteur".

    De leur côté, "les responsables et les directeurs des journaux nationaux se sont félicités de cette rencontre, saluant l'initiative du ministre à écouter leurs préoccupations", tout en présentant les "solutions proposées qui devront apporter une plus-value qualitative pour le secteur, notamment en ce qui a trait à l'activation d'un fonds de soutien à la presse et aux journalistes et la recherche de nouvelles ressources de financement, à travers l'organisation du marché de la publicité".

    Au terme de la réunion, le ministre de la Communication a réitéré son invitation à l'ensemble des responsables des journaux nationaux et aux acteurs du secteur à l'effet de "conjuguer les efforts de tous, en vue d'asseoir les fondements d'une presse nationale équilibrée, aux mieux des intérêts suprêmes du pays".
    Le ministre a également exhorté les directeurs des journaux nationaux à "une large participation des journalistes à la 7e édition du Prix du Président de la République pour le journaliste professionnel et qui a abordé cette année, trois thèmes, dans l'objectif de permettre à un plus grand nombre de journalistes d'y prendre part, dans le contexte de la diversité des thèmes proposés pour cette édition", conclut le communiqué.

    APS

  • #2
    Selon la même source, le ministre de la Communication et "après avoir dressé un diagnostic minutieux de la situation de la presse écrite en Algérie, a appelé les responsables de ces établissements d'information à la nécessité de s'orienter vers la transition numérique, mettant en avant la forte concurrence que connait actuellement la presse électronique".
    ha ha , quelle trouvaille! !!

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    • #3
      A t-il inviter les responsables de la presse écrite a user de manchettes à la une encore plus racoleuses que ne le sont celles actuelles? ...

      Du genre:

      NOUS SOMMES PRÊT : L'ALGERIE DETAIL SON AIDE ! ...(au Maroc évidemment chacun l’aurait comprit)
      Dernière modification par infinite1, 18 septembre 2023, 21h26.

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      • #4
        Laagab parle de la presse numérique associée au régime, qui la considère comme un instrument de propagande destiné à contrer les attaques extérieures . Tebboune va jusqu'à exiger la construction d'un édifice entier pour cette presse numérique au sein du projet de la nouvelle cité des médias. Il ne s'agit pas de la presse numérique indépendante tels que Radio M, Twala, et d'autres, qui se heurtent continuellement à des obstacles du régime.
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #5
          Laagab parle de la presse numérique associée au régime, qui la considère comme un instrument de propagande destiné à contrer les attaques extérieures .
          Evidement qu’il s’agit de la presse publique financée par l’Etat, comme (El Moudjahid , L’expression.., ech-chaab, An-nassr..) , leur seule mission est de relayer la propagande du régime.

          Là, Laagab semble découvrir tardivement les bienfaits de la presse numérique et incite les journaux à explorer ce créneau pour diversifier leurs recettes publicitaires. Les journaux papiers ne se vendent plus et dont la plupart sont déficitaires, c’est un vrai gouffre financier pour l’Etat.

          Pour contrer les attaques extérieures, ils ont lancé Ze3ma la chaine AL24 news, un vrai flop, même les Algériens ne savent pas comment là capter.

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          • #6
            Pour contrer les attaques extérieures, ils ont lancé Ze3ma la chaine AL24 news, un vrai flop
            L'idée sous-jacente à la création d'AL24 NEWS est louable : établir une chaîne d'information internationale en continu, dans le but de se forger un outil de Soft Power. Le problème réside dans le choix de Salim Aggar pour diriger cette chaine, un individu dont l'incompétence notoire ne peut être ignorée.

            En 2018, lorsqu'il a été nommé à la tête de la cinémathèque algérienne, ses collègues de l'industrie cinématographique ont lancé une pétition ayant recueilli 1600 signatures de réalisateurs, acteurs et écrivains, où on pouvait lire : « un ultime abattement devant cette obscure coutume de désignation des hauts responsables de l’état, une tendance lourde à chercher le mieux dans ce qu’il y a de pire ».

            Les critiques à l'encontre de Salim Aggar ne se sont pas arrêtées là, on pouvait lire aussi dans la pétition : « Il a fait de la diffamation et de la calomnie son sacerdoce. Il a piétiné l’éthique et la déontologie pour faire de la délation infamante son seul savoir-faire ».

            Ce constat se retrouve aussi dans la nomination de Samir Gaid à la tête de l'APS (Algérie Presse Service). Ce dernier a choisi d'écarter tous les journalistes crédibles pour transformer cette agence de presse publique algérienne en un outil de propagande de bas étage. Cela est manifeste dans les articles récemment publiés, notamment ceux portant atteinte à la réputation de Meriem Amellal, la journaliste de France 24, ainsi que dans le cas récent de Saïda Neghza.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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