Un inquiétant et dangereux sentiment d'injustice mine profondément la population algérienne depuis 2022 et de nombreuses familles des victimes d'incarcérations arbitraires dans des affaires judiciaires bâclées et politisées à l'image de l'affaire du meurtre horrible de Djamel Bensmail en Kabylie ou les commerçants emprisonnés dans le cadre de la loi criminalisant la spéculation illicite de décembre 2021.
Des individus ont été condamnés à de longues peines de prison ferme, voire des peines de mort, sans bénéficier de procès équitables et d'un traitement judiciaire transparent ou rigoureux.
Cette hogra généralisée par le pouvoir algérien dans le cadre d'un arsenal répressif contre toutes les libertés publiques et individuelles depuis la fin du Hirak en 2021 est en train de générer des formes de protestations pour le moment pacifiques, mais qui peuvent aboutir à des explosions de colère populaire avec le risque de compromettre la stabilité du pays.
Preuve en est, le Collectif des familles des détenus de Larbaa Nath Irathen a sonné la mobilisation pour la 5e fois consécutive sans que personne ne puisse parler de ces actions.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, il a appelé à une grève générale le 11 janvier dernier en signe de solidarité avec les « concitoyens incarcérés » dans la dite affaire horrible de Djamel Bensmail.
Grève des commerçants, rassemblements, les actions de ce collectif sont réprimées et particulièrement surveillées par les services de sécurité. Mais le sentiment d'injustice que ressentent ces familles est en train de s'accroître de jour en jour et pourrait dans un futur proche embraser toute la Kabylie.
Ailleurs, dans plusieurs autres wilayas, des familles de commerçants incarcérés ou condamnés à de longues peines de prison ferme pour avoir stocké soi-disant illégalement de l'huile alimentaire, des fruits ou légumes s'organisent pour faire de la pression sur les autorités algériennes et revendiquer la libération de leurs proches.
Là encore, un profond sentiment d'injustice alimente une vive colère qui pourrait exploser à la figure du pouvoir algérien en devenant le carburant d'une nouvelle crise d'instabilité.
Des individus ont été condamnés à de longues peines de prison ferme, voire des peines de mort, sans bénéficier de procès équitables et d'un traitement judiciaire transparent ou rigoureux.
Cette hogra généralisée par le pouvoir algérien dans le cadre d'un arsenal répressif contre toutes les libertés publiques et individuelles depuis la fin du Hirak en 2021 est en train de générer des formes de protestations pour le moment pacifiques, mais qui peuvent aboutir à des explosions de colère populaire avec le risque de compromettre la stabilité du pays.
Preuve en est, le Collectif des familles des détenus de Larbaa Nath Irathen a sonné la mobilisation pour la 5e fois consécutive sans que personne ne puisse parler de ces actions.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, il a appelé à une grève générale le 11 janvier dernier en signe de solidarité avec les « concitoyens incarcérés » dans la dite affaire horrible de Djamel Bensmail.
Grève des commerçants, rassemblements, les actions de ce collectif sont réprimées et particulièrement surveillées par les services de sécurité. Mais le sentiment d'injustice que ressentent ces familles est en train de s'accroître de jour en jour et pourrait dans un futur proche embraser toute la Kabylie.
Ailleurs, dans plusieurs autres wilayas, des familles de commerçants incarcérés ou condamnés à de longues peines de prison ferme pour avoir stocké soi-disant illégalement de l'huile alimentaire, des fruits ou légumes s'organisent pour faire de la pression sur les autorités algériennes et revendiquer la libération de leurs proches.
Là encore, un profond sentiment d'injustice alimente une vive colère qui pourrait exploser à la figure du pouvoir algérien en devenant le carburant d'une nouvelle crise d'instabilité.
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