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  • #16
    tout le monde ne peut pas être propriétaire. Ça n’existe nulle part dans le monde, il faut trouver d'autres solutions et favoriser la location..
    80% de ces logements sont des logements sociaux destinés aux classes sociales défavorisées, d'autres formules sont proposées, comme le logement rural.

    Le seul problème qui peut se poser à long terme, c'est la gestion difficile de ces grands ensembles, qui peuvent vite devenir des lieux de délinquance comme c'est le cas dans les banlieues Françaises.

    Autre chose, l'Etat doit faire un peu plus d'effort au niveau de l’esthétique...car ces barres d'immeubles , franchement , c'est moche !
    Dernière modification par sako, 05 juillet 2024, 10h31.

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    • #17
      c'est la gestion difficile de ces grands ensembles, qui peuvent vite devenir des lieux de délinquance
      C'est déjà fait , et pas que pour ces nouvelles cités mais aussi pour les villes comme Oran par exemple devenues des ramassis de délinquants et autres vautours et profiteurs, des rapaces .

      Voilà ce qu'est devenue Oran déjà en 2012 , la belle Oran el Bahia de jadis :

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      Des bandes sèment la terreur dans les quartiers populeux d’Oran

      Par nawel.d 6 novembre 2012

      A360

      Bombe à lacrymogène, armes blanches font des ravages. Peur sur la ville !!!

      Des bandes de voyous font régner la loi dans certains quartiers oranais.

      Oran est devenue ces derniers temps la ville des truands. Les bilans rapportés par les différents services de sécurité de la wilaya d’Oran, à longueur d’année, témoignent de la gravité de la situation, devenue plus inquiétante que jamais. A la moindre bagarre, un climat de terreur s’installe parmi les habitants. On n’est pas concerné, mais on a peur. Les armes blanches sont partout. Sur les individus, dans les voitures, les domiciles, les commerces et autres. Même la gente féminine figure parmi les porteurs d’armes blanches.

      Les services de sécurité mènent de vastes opérations contre les possesseurs d’objets tranchants. Mais ces opérations demeurent insuffisantes. Le phénomène s’est ancré au milieu des jeunes et la solution mérite mille réflexions. Un phénomène qui fait peur. La lutte contre la délinquance est certes plus intense que par le passé. Mais cela n’empêche pas que les victimes des coups et blessures volontaires, sont enregistrées quotidiennement au niveau des différents services des urgences. Leur nombre a dépassé parfois la dizaine de victimes en une seule soirée au CHU d’Oran seulement. Les arrestations sont plus nombreuses que l’on ne pense. A prendre comme exemple ce mois d’octobre.

      Pas moins de 77 individus se sont retrouvés derrière les barreaux pour port d’armes prohibées, dont un grand nombre de repris de justice. Un chiffre qui ne concerne que la wilaya Oran. Plus grave encore, le citoyen n’est pas la seule victime des armes blanches. Les hommes de loi sont eux aussi confrontés quotidiennement au risque de se retrouver face à un malfaiteur qui ne recule devant rien. Les exemples ne manquent pas.

      On cite l’affaire des trois policiers blessés par un voyou à l’aide d’une épée, à Saint Charles, Miramar et à la cité dite « Sardina » durant le mois de ramadhan dernier. Ce voyou a été par la suite arrêté, jugé et condamné à un an de prison ferme. Un jugement qui a été considéré très clément par une des victimes qui a fait appel. Il y a bien eu des cas où les arrestations ont été interrompues, lorsque les malfaiteurs en possession de lourdes armes blanches, deviennent une menace. La préservation des vies humaines oblige. Les policiers craignent les bavures et les malfaiteurs sont bien conscients de cette crainte, alors ils se lancent dans la provocation.

      Contrairement à ce que l’on croit, l’arme à feu n’est plus une protection pour les hommes de loi. Son utilisation dans les affaires de lutte contre la délinquance risque de mettre le policier dans une situation embarrassante, condamnable par le code pénal. Une situation qui transforme d’une minute à l’autre un dangereux malfaiteur en une victime. Les armes blanches ont aussi été utilisées dans les établissements scolaires et les institutions publiques officielles.

      On cite entre autres les hôpitaux, les services de l’état civil. A titre d’exemple, pas moins de 1000 affaires liées à des agressions sur des fonctionnaires ont été enregistrées à l’échelle nationale, durant les six premiers mois de l’année 2010. Depuis, le phénomène est toujours en pleine croissance.

      Dans toute cette histoire, on parle toujours de porteurs d’armes blanches, mais jamais de fabriquants. Ces derniers sont généralement des tôliers, des ferronniers, des tourneurs et autres. Sinon, d’où proviennent ces épées et coutelas «Bouchias» fabriqués artisanalement. Alors, où est la faille ? La législation, la stratégie de lutte contre la délinquance, l’école, la famille… Les spécialistes en la matière, auront certainement beaucoup à faire, pour que le citoyen puisse vivre dans un climat de tranquillité. Un climat lui permettant de se débarrasser des fenêtres barreaudées à longueur d’année et d’économiser les dinars dont il est contraint de remettre aux gardiens illégaux de voitures quotidiennement.

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      Oran est devenue ces derniers temps la ville des truands
      Exact et je confirme !

      Dernière modification par aristochat, 05 juillet 2024, 10h42.

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      • #18
        C'est déjà fait , et pas que pour ces nouvelles cités mais aussi pour les villes comme Oran par exemple devenues des ramassis de délinquants et autres vautours et profiteurs, des rapaces .

        Voilà ce qu'est devenue Oran déjà en 2012 , la belle Oran el Bahia de jadis :
        Oui , la gestion de ces grands ensembles est très compliquée...c'est une bombe à retardement, l’exemple des banlieues françaises est frappant.

        Les grands immeubles, inspirés du "modèle Le Corbusier" des années 60 sont souvent associé aux cités HLM où se concentrent aujourd’hui les problèmes sociaux.

        En France , ils sont en train de tout démanteler pour reconstruire des petit emmeubles ... ( pas plus de 4 étages..)


        -----------
        C'est bien de garantir un logement décent ..mais il faut penser aussi aux conséquences,

        Voila un exemple de ce qu'il ne faut pas faire, une cité isolée, en haut d'une colline, sans écoles , ni transports, ni commerces..



        Dernière modification par sako, 05 juillet 2024, 11h11.

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        • #19
          Le ministre de l’habitat doit revoir sa copie...Il est toujours possible d’améliorer les choses.0


          Oued-Ghir (Bejaia) , une vraie catastrophe urbanistique

          Dernière modification par sako, 05 juillet 2024, 11h52.

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          • #20
            Ce n'est pas des logements mais des cités dortoires ! toujours le même problème: la quantité prime sur la qualité.... ya khi hala !

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            • #21
              Une performance dans la destruction du pays.Toutes les bonnes terres agricoles du Nord sont transformées en béton et en bitume.

              Le désert avance, la faim est déjà là ...Demain avec les prémices de la fin de la rente pétrolière l'Algérie (ses gouvernants) va léguer aux générations montantes des cités dortoirs où elles auront toujours la pratique de se réchauffer la carcasse sous la canicule d'un soleil brulant, dans l'attente immuable du Dieu Allah qui leur viendrait en aide...
              Dernière modification par Junon_Julius_74, 05 juillet 2024, 22h12.

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              • #22
                il est clair que dans l'urgence , l'Algérie n'avait pas d'autre choix que d'opter pour la quantité.
                N'oublions pas les milliers de bidonvilles qui essaimaient partout en Algérie.
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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