Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’interview controversée de Boualem Sansal à l’origine de son incarcération

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Quand la France a colonisé l’Algérie, toute la partie ouest faisait partie du Maroc
    Boualem Sansal et Kamel Daoud se sont transformés en porte-voix de l’extrême droite, qui ne manque jamais une occasion pour attaquer l’Algérie !

    Il est légitime de critiquer le régime algérien, mais il existe des limites à ne pas franchir, notamment lorsqu’il s’agit de l’histoire de l’Algérie.

    En ce qui concerne cette contre-vérité selon laquelle l’Ouest algérien aurait fait partie du Maroc, l’historien Benjamin Stora a bien répondu à Boualem Sansal dans l’émission "C Ce Soir" (à partir de la min 15:00) :

    « Dans l’Ouest algérien, c’est l’Émir Abdelkader, originaire de Mascara, qui a levé l’étendard contre la France. Celui qui a initié le mouvement national algérien, Messali El Hadj, est également né à Tlemcen. »



    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

    Commentaire


    • #17
      voldemor

      Oui, un journaliste article de Marianne n'a pas digéré cette émission.

      C à partir de 5 mn 25 et 10 minutes par exemple et 1mm45 .,

      Dernière modification par panshir, 25 novembre 2024, 18h35.

      Commentaire


      • #18
        " Il est légitime de critiquer le régime algérien, mais il existe des limites à ne pas franchir, notamment lorsqu’il s’agit de l’histoire de l’Algérie." shadok

        A titre personnel, j'ai toujours répliqué aux journalistes qu'en vivant à l'étranger à titre d'opposant, que je n'étais pas fondé à m'exprimer sur la situation interne algérienne.

        J'ai entière confiance au peuple algérien qui- comme en 1954- optera au meilleur choix qui lui soit.

        Commentaire


        • #19
          " Il est légitime de critiquer le régime algérien, mais il existe des limites à ne pas franchir,
          Et qui décidera des limites de ce qu'on peut penser ou dire ?

          Dans le cas de l'Algére, c'est une gang de maffieux.
          y a aucune limite à la liberté d'expression autre que l'appel a la violence.


          Si on se mettait à soupeser ce qu'a dit chaque con et mesurer si les limites sont franchies ou pas, on ne ferait que ca.
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

          Commentaire


          • #20
            "En octobre 1975, la Cour internationale de Justice, saisie par le Maroc avait, rendu un avis consultatif favorable à la souveraineté historique du Maroc sur le Sahara, ce qui avait permis l’organisation de la Marche verte et les négociations avec l'Espagne, débouchant sur l'accord de Madrid." Quid.ma

            Indéniablement, il se pourrait fort que la forfaiture de l'inénarrable Sansal soit été monnayée par la dictature marocaine.

            En effet, contrairement aux hérésies marocaines, la Cour internationale de justice (CIJ)- en 1975- avait désavoué les arguments stupides marocaines.

            Commentaire


            • #21
              "La meilleure façon de confirmer ce qu’il dit, c’est de le maintenir en prison. Donc, si l’Algérie n’est pas une dictature, libérez-le", a lancé Me Zimeray
              Pas mal du tout ce que dit son avocat.
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

              Commentaire


              • #22
                " Ce qu’ont fait les militaires, c’est inventer le Polisario pour déstabiliser le Maroc parce qu’ils voulaient un système communiste. "

                Quiconque connaît l'histoire véritablement de l'Algérie indépendante sait que les communistes furent écartés par le FLN qui les considérait des athées.

                Ces propos par Sansal sont indignes par mensonges et découlés directement de la dictature marocaine contre -certainement- deniers.

                Seule la vérité est révolutionnaire!

                Commentaire


                • #23
                  Bachi

                  Et qui décidera des limites de ce qu'on peut penser ou dire ?
                  Il y a des évidences. Porter atteinte à l'intégrité territoriale ou à la mémoire des chouhadas, comme l'a fait Kamel Daoud dans son article "Chahid ou le mort VIP", constitue une ligne rouge à ne pas franchir.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                  Commentaire


                  • #24
                    B. Sansal a toujours pu s'exprimer sur l'Algérie et ses livres n'ont pas été censurés. Le gros problème ligne rouge pour lui c'est qu'il ne s'exprime plus librement mais porte la parole de l'extrême droite zemmouriste sous le chantage.

                    Son avocat en France François Zimeray vient de dire sur Bfhaine: " Un jour en Algérie des rues et places porteront le nom de B Sansal et K Daoud". Il a oublié de rajouter "Eric Zemmour".


                    Le pouvoir algérien doit savoir comment répondre sans emprisonnement, mais évoquer des circonstances atténuantes fragilité vu le chantage qu'il a subit en France de la part du zemmourisme politico médiatique.
                    Dernière modification par panshir, 25 novembre 2024, 20h32.

                    Commentaire


                    • #25
                      Shadok

                      c'est toi qui le dis...
                      il doit y avoir plus de 40 millions de limites. Chaque Algérien pense que la sienne est la bonne.
                      Pour moi, y a aucune évidence. La seule chose évidente, c'est que faire la chasse aux cons est toujours pure perte de temps.

                      Les limites, les constantes et les lignes rouges ont fait de l'Algérie ce qu'elle est: une dictature oû personne n'ose dire un mot, de peur de dépasser les limites du pouvoir.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                      Commentaire


                      • #26
                        " Un jour en Algérie des rues et places porteront le nom de B Sansal et K Daoud".
                        ce serait bien le comble !
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                        Commentaire


                        • #27
                          " Pas mal du tout ce que dit son avocat." Bachi

                          Mais alors comment garantir que M. Sansal soit présent au cas où la justice algérienne lui intenterait un procès? M. Sansal possède le passeport français et en cas de fuite en France, il pourrait être extradé.

                          C'est pour cause qu'en conservant ma seule nationalité algérienne, j'avais mis à défi la junte algérienne à me traduire devant un Tribunal mais ceci ne sait jamais fait.

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X