shadok
Qu’il soit retourné en Algérie en 1964 après avoir séjourné on ne sait pas où (en France certainement), cela n’a pas empêché Lakhdar Ibrahim de faire une très longue carrière dans la diplomatie. Il a fait ses études en Algérie et en France (droit et science politique) et parle couramment l'arabe, l'anglais, le français principalement ainsi que plusieurs autres langues. Il a été membre fondateur de l'UGEMA (Union générale des étudiants musulmans algériens) et a activement participé à la grève générale des étudiants algériens décrétée par le Front de libération nationale (FLN) le 19 mai 1956. Il a été ministre des Affaires étrangères et plus tard représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Haïti et en Afrique du Sud, Lakhdar Brahimi a été désigné représentant spécial pour l'Afghanistan et l'Irak en 2001.
En avril 1955, il participe à la conférence de Bandung à Bali (Indonésie) dans la délégation du Gouvernement provisoire de la République algérienne dirigée par Hocine Aït Ahmed et M'hamed Yazid. Il devient, par la suite, le représentant du Gouvernement provisoire de la République algérienne dans plusieurs capitales du monde, dont Jakarta de 1956 à 1961. Revois ta vision a l egard de ce grand commis de l Etat Algerien que tu caricatures et que tu nous le presentes comme un suppletif de la France coloniale
Lakhdar Brahimi, fils de Caïd, a bénéficié d’études financées par la France. En 1964, il est retourné en Algérie, suivant les recommandations des autorités françaises.
En avril 1955, il participe à la conférence de Bandung à Bali (Indonésie) dans la délégation du Gouvernement provisoire de la République algérienne dirigée par Hocine Aït Ahmed et M'hamed Yazid. Il devient, par la suite, le représentant du Gouvernement provisoire de la République algérienne dans plusieurs capitales du monde, dont Jakarta de 1956 à 1961. Revois ta vision a l egard de ce grand commis de l Etat Algerien que tu caricatures et que tu nous le presentes comme un suppletif de la France coloniale
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