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Le Caftan constantinois : Un des habits féminins prestigieux incarnant l’authenticité algérienne

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  • Le Caftan constantinois : Un des habits féminins prestigieux incarnant l’authenticité algérienne





    Le Caftan constantinois, avec sa beauté, son charme et son histoire millénaire, continue de diffuser les délicieux effluves de l’histoire de l’Algérie en matière d’habits féminins de fête. Cet habit lumineux, considéré comme l’une des tenues féminines festives les plus emblématiques dans l’est algérien, est un symbole de l’authenticité algérienne, couronné par une reconnaissance mondiale de l’UNESCO en tant que patrimoine purement algérien.


    Le Caftan de Constantine, brodé au medjboud (fil d’or) et connu chez les Constantinois comme « Caftan el Kadi », est, en effet, officiellement inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, après que le comité international de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO a approuvé le dossier algérien, lors de sa 19ème session en décembre dernier, confirmant l’authenticité et l’identité purement algérienne de ce patrimoine. Une reconnaissance qui met un terme aux tentatives désespérées d’un pays voisin de l’Algérie de s’en approprier la paternité.

    Le Caftan constantinois : un label mondial déposé au nom de l’Algérie

    Le dossier soumis comprend une collection d’éléments représentant les costumes féminins cérémoniels de l’est algérien, tels que « la Gandoura », « El Melhfa », « Le Caftan », « El Qat », « El Gouit », « El Lhafa », « El Chachia », « El Seroual », « El Dakhila », « El Logaa », « El Mendil » et « El Hizam », selon les déclarations de Mme Meryem Kebaïli, directrice du musée national public des arts et expressions traditionnels au Palais Ahmed Bey, membre du comité ministériel ayant supervisé l’élaboration et la présentation du dossier à l’UNESCO. Mme Kebaïli a souligné que Le Caftan constantinois figure parmi les habits de fête les plus remarquables de cette collection en raison de son caractère patrimonial profondément enraciné dans la majorité des familles de l’est algérien.

    Il est porté avec des bijoux traditionnels lors des fêtes et des célébrations sociales organisées dans une atmosphère de joie et d’allégresse. Elle a également révélé que Le Caftan constantinois, apparu avant l’an 1500, a ensuite évolué vers plus de modernité et de raffinement durant l’ère ottomane (1518-1830), avec des tissus luxueux et des broderies en fils d’or et d’argent, localement connus sous le nom de « Khayt Errouh », à l’origine réservés aux femmes de l’élite avant de devenir, au fil du temps, une tenue traditionnelle portée par les mariées et leurs familles lors des grandes occasions festives à Constantine et dans les villes environnantes.


    Pour M. Fouad Azzi, spécialiste dans la conception et la couture de vêtements féminins de fête, figurant dans le dossier présenté à l’UNESCO, la beauté du Caftan constantinois est rehaussée par ses bijoux distinctifs, tels que « El Djbin », « Khayt Errouh », « Mnaqech », « El Meshraf », « El Mukhbel », « Sekhab », « El Messayess », « El Chachia Bessoltani » et « El Khalkhal ».
    Ces ornements confèrent au Caftan une allure unique, faisant de cet habit féminin un symbole de l’authenticité du patrimoine culturel féminin de la région. M. Azzi décrit Le Caftan comme étant bien plus qu’un simple habit : « C’est un message culturel qui porte en lui l’âme des générations ». Il insiste sur le fait que préserver Le Caftan revient à sauvegarder la mémoire des ancêtres, s’agissant d’un patrimoine incarnant l’essence même de l’Algérie ancienne.

    Les ateliers des maîtres couturiers : des trésors de savoir-faire entre tradition et modernité


    Les ateliers organisés au musée national des arts et expressions traditionnels, des maîtres couturiers ont partagé leurs récits sur le Caftan, héritage transmis de génération en génération. Selon M. Kais Hamidi, les artisans ont introduit des touches innovantes au Caftan constantinois, l’agrémentant de broderies et d’ornements tridimensionnels en fils d’or et d’argent. Ces motifs, tels que des formes géométriques entrelacées et des fleurs dessinées avec précision, ajoutent une touche de luxe et de fraîcheur au Caftan.


    La couturière Baya Hamlaoui, célèbre pour son émission télévisée « L’Atelier de Couture avec Madame Baya », souligne, quant à elle, que chaque détail du Caftan porte une signification culturelle profonde, comme les motifs d’aiguières symbolisant la générosité ou le paon représentant la grâce et l’élégance. Enfin, Mme Souad Berdjem, formatrice en design et couture de Caftan, a affirmé que le défi actuel consiste à former de nouvelles générations passionnées pour préserver cet héritage. Elle insiste sur le fait que l’inscription du Caftan constantinois au patrimoine culturel immatériel de l’humanité « n’est pas seulement une victoire diplomatique, mais également un message universel soulignant l’attachement de l’Algérie à ses racines et son ambition de transmettre cet héritage avec fierté ».

    Le Caftan constantinois est aujourd’hui bien plus qu’un habit de fête porté par les femmes : il est une histoire vivante, une identité nationale et un symbole intemporel de l’Algérie dans le registre de l’humanité.





    http: // lecourrier - dalgerie . com
    Dernière modification par sako, 21 janvier 2025, 17h17.

  • #2
    Je préfère le Karakou de Tanger

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    • #3
      c'est comme les dattes

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      • #4
        Le mots Caftan ne peut être que marocain

        Vous n'avez aucune archive de ce que vous raconter même les archives de vos tv et vos styliste sont claire
        Droite des Valeurs
        Gauche du Travail
        Centre "Intérêt de Mon Pays"

        Commentaire


        • #5
          Hand

          Le mot Caftan est d'origine Persane. Galek il est d'origine Maroki.

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          • #6
            Rions ensemble: nos amis ne disent pas que Caftan est algerien, mais qu'il est persan...

            Ce qui pose la question : Mais que fait ton âne dans la Semaine du Cheval dans une histoire inexistante et imaginaire entre l'Empire Chérifien et l'Empire Perse?
            Dernière modification par ayoub7, 21 janvier 2025, 18h09.

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            • #7
              Je pense qu'il n'est pas marocain, mais Belge à mon Avis.

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              • #8
                Un coup c'est persan un coup turc dans tous les cas il n'est pas algérien et ni les perses ni les turc n'en réclame la maternités...

                Vous ridiculiser votre propre pays en agissant ainsi

                Je ne vous en veux pas tout ça est instigué par le crasseux toufik depuis son retour il a juré de vous humilier une dernière fois avant de rejoindre en enfer le guezzar de son ami
                Droite des Valeurs
                Gauche du Travail
                Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                • #9
                  " Vous ridiculiser votre propre pays en agissant ainsi"

                  Décidément, toujours en proie avec la grammaire de Molière? En toute bonne foi, faites-vous exprès?

                  Commentaire


                  • #10
                    Le mots Caftan ne peut être que marocain
                    Vous n'avez aucune archive de ce que vous raconter même les archives de vos tv et vos styliste sont claire
                    quand est ce que tu vas cesser de raconter des conneries .
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                    • #11
                      on a aucune archives lol

                      aller les mokokos jetez un coup d'oeil sur les dossiers algeriens a l'Unesco : le caftan est inscrit deux fois dans deux dossiers au nom de l'Algerie.

                      https://ich.unesco.org/en/RL/the-wom...identification

                      https://ich.unesco.org/en/RL/rites-a...-tlemcen-00668

                      et svp lisez bien le dossier, pas le temps de faire des screenshots sur les parties qui parlent du caftan alKadi a l'est et le Araftan de tlemcen.
                      Dernière modification par kmou21, 22 janvier 2025, 10h51.

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                      • #12
                        Caftan elqadi est l'un des modèles de nos caftans , ya d'autres, le mot comme l'origine sont perses, beaucoup de pays l'ont adopté depuis des siècles, dont l'Algérie.
                        Les marocains ont leur caftan, anormale cette folie de vouloir lié le terme caftan juste a leur pays au point de s'approprier les modèles d'autres pays surtout l'Algérie.

                        Ils falcifie tout , la page de wikipedia , de 10 ans et plus, qui parlait de l'histoire du caftan a été complètement falcifiee par des marocains
                        Ils falsifient même les photos les toiles, les caftans des musées pour dire que c'est seulement marocain , de la folie

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                        • #13
                          Le mots Caftan ne peut être que marocain
                          L'ignorance marocaine dans toute sa splendeur !

                          Je rage quand je lis les ayachas ici se proclamer d'un certain raffinement, d'un savoir vivre et d'être connaissant leur archaisme et austérité extrême. Comment en effet un tel peuple peut-il contester à la grande Algérie de telles pièces artistique fabriquées avec une extrême finesse ?



                          Ecoutez une marocaine reconnaître modestement l'origne de belles pièces présentées chez elle ;

                          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                          • #14
                            Un coup c'est persan un coup turc dans tous les cas il n'est pas algérien et ni les perses ni les turc n'en réclame la maternités...
                            car ils ne sont pas débile comme les algériens et les marocains qui ce battent pour des broutilles comme de petits écoliers, ils on une vrai histoire contrairement au deux pingouins du Maghreb
                            tu tombe je tombe car mane e mane
                            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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