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Présidentielle 2009 en Algérie : L'option Zéroual

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  • Pourquoi stigmatiser les jeunes

    Envoyé par Djamaloup
    apparement on a la memoire courte ds ce pays , ou alors c'est l'age, vous devez mentionner votre age pour que chacun puisse faire la part des choses ..
    il ne faut pas faire l'hypocrite , boudhiaf personne ne le connaissait qd il est descendu de l'avion a la surprise generale , tt le monde a crié a l'opportuniste , faut pas se mentir , qd on a commencé sous ses ordres a ramasser les jeunes suspects islamistes et les envoyer a raggane par milliers le peuple algerien, majoritairement proFIS ,n'a pas tari d'insultes sur sa personne , ce n'est qu'apres sa port qu'il s'est mué en hero, aucune personne ne pouvait faire le consensus en 92 tellement les idées du FIS primaient au sein de la societé , le debut du terrorisme et l'assassinat de boudiaf ne laissait aucun choix au responsables algeriens qui etaient tj en poste , qui n'etait pas partis ou sur le point de le faire .. il falait que l'armée s'implique .. d'où l'option zeroual qui aurait put etre un autre nn zeroual est un homme pieux et integre faut pas insulter les gens sans les connaitre , il n'a rien a voir avec la politique ,il n'est pas fait pour , on lui a expliqué que de part de son grade , de sa neutralité il devait remplir cette mission et il a executé son role comme un militaire qui execute un ordre .. la lutte antiterroriste des années d'enfer c'etait en partie lui , il jouissait d'un grand respect parmis les militaires, mais aussi parmis ce qu'on apelle la famille revolutionaire , les anciens moujahidines ,bcp des enfants de chouhadas , bref tt ceux qui ne sont pas des anges pour la majorité des algerien , maios qd il s'agit de prendre les armes pour defendre le pays ils etaient sur la premiere ligne , et ils ont epaulé l'ANP durant ces années terribles où zeroual imperturbable restait intransigeant ,la mort jusqu'au dernier terroriste , l'extermination avait carte blanche , ni ki tuki ,ni reconsiliation ni sidi zekri .. pour rappel a ceux qui ne le savent pas .. zeroual avant d'etre a la tete de l'etat on avait proposé le poste a bouteflika ?? said mekbel allah yarahmou qques jours avant d'etre abattut a ecrit un billetr sur l'information et qui est restée prophetique .. said mekbel a commenté le faite que bouteflika refusa le poste , et qu'il tefusait de donner ses justifications en disant qu'il a gardé le silence pendant 20 ans et ce n'etait pas le moment de commencer a parler nc'etait en 94, mekbel faisait la remarque que bouteflika nun homme de sa trempe ne pouvait tirer orgueil et fierté du faite d'avoir garder le silence pend 20 ans alors que le pays coulait , ensuite ,le faite que bouteflika ait refusé le poste etait une bonne nouvelle , car gardant le silence pendant 20 ans, si par malheur il se mettait a parler , il oublierait qu'on lui demande de venir pour laisser parler le peuple .
    Pourquoi stigmatiser les plus jeunes d’entre nous ? La mémoire n’est pas l’apanage de ceux qui ont vécu un événement ; elle peut s’acquérir par l’étude, et l’échange multiforme. Alors que le vécu, sans un minimum de recul joue comme un mémoire déformant qui ne restitue que des aspects partiels.

    La majorité parlementaire que le fis dissous allait avoir à l’issue des législatives de 1991, était plus due à la loi électorale du couple Chadli-Hamrouche, qu’à une hégémonie islamiste sur la société. Avec un tiers des voix, le fis se voyait attribuer les deux tiers des sièges de l’assemblée.

    Qu’un peuple vienne à jeter son poids dans une bataille et l’issue en est définitivement scellé. Ni, Juin 91 ; ni décembre de la même année, n’auraient été possible face à un pouvoir national sincèrement engagé dans le processus de démocratisation de l’état. La grève insurrectionnelle de Juin a tiré sa force de la concession des places publiques ; et la pseudo-victoire électorale a été préfabriquée par les grâces de la loi électorale. Si l’hégémonie de l’islamisme était à ce point établie sur le peuple algérien, c’en était certainement fait de l’état; et son entreprise de terrorisation de la société n'aurait pas été nécessaire puisque le peuple lui étant acquis il se seraitlancé à la quette du pouvoir en symbiose avec le peuple et non à son encontre.

    Boudiaf, en six mois de temps, a su gagner une crédibilité et une popularité inégalée. Pourquoi ? Parce qu’au diapason avec le peuple algérien il a su fixer les véritables priorités : Lutte ferme et sans concession contre la subversion islamiste ; lutte énergique contre la corruption et la bureaucratie ; effort de mobilisation et d’organisation des énergies populaires (projet du RPN). Il s’adressait au peuple dans un langage limpide où transparaissaient à la fois sa détermination et sa sincérité. Cette politique porteuse de réelles perspectives de démocratisation lui coutera la vie.

    Bien sure qu’il était honni, vilipendé dans les milieux islamistes ; seulement son crédit et sa popularité dans de larges secteurs de la société sont incontestables. Les démocrates et patriotes cultivent et nourrissent sa mémoire, et continueront de le faire.
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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    • mob_dz,

      ...
      La majorité parlementaire que le fis dissous allait avoir à l’issue des législatives de 1991, était plus due à la loi électorale du couple Chadli-Hamrouche, qu’à une hégémonie islamiste sur la société. Avec un tiers des voix, le fis se voyait attribuer les deux tiers des sièges de l’assemblée.

      Qu’un peuple vienne à jeter son poids dans une bataille et l’issue en est définitivement scellé. Ni, Juin 91 ; ni décembre de la même année, n’auraient été possible face à un pouvoir national sincèrement engagé dans le processus de démocratisation de l’état. La grève insurrectionnelle de Juin a tiré sa force de la concession des places publiques ; et la pseudo-victoire électorale a été préfabriquée par les grâces de la loi électorale. Si l’hégémonie de l’islamisme était à ce point établie sur le peuple algérien, c’en était certainement fait de l’état; et son entreprise de terrorisation de la société n'aurait pas été nécessaire puisque le peuple lui étant acquis il se seraitlancé à la quette du pouvoir en symbiose avec le peuple et non à son encontre.

      ...
      La loi électorale est un instrument de pouvoir. Elle a été conçue dans le but de donner la victoire au FIS que le pouvoir a agrée. L'arrêt du processus électoral a été aussi prémidité. Tout ça pour nous amener dans une situation de crise qui permettrait au pouvoir de durer encore.

      C'est plus simple pour le pouvoir de gérer du terrorisme que de faire face au mécontentement de la population que devait engendrer la situation économique catastrophique de l'époque.

      En agissant ainsi, nos despotes avaient réussi à passer le cap de la faillite qui les aurait balayés.

      Maintenant qu'il a passé le cap difficile, ce pouvoir n'est pas prêt de céder la place d'autant que les caisses sont pleines. Il nous faut un miracle pour voir la réelle démocratie s'instaurer dans notre pays.

      Ce miracle ne peut venir que d'une prise de conscience poupulaire.

      .
      Dernière modification par Pangeen, 14 septembre 2008, 12h01.

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      • ". La mémoire n’est pas l’apanage de ceux qui ont vécu un événement ; elle peut s’acquérir par l’étude, et l’échange multiforme. ................
        La majorité parlementaire que le fis dissous allait avoir à l’issue des législatives de 1991, était plus due à
        la loi électorale du couple Chadli-Hamrouche, qu’à une hégémonie islamiste sur la société. Avec un tiers des voix, le fis se voyait attribuer les deux tiers des sièges de l’assemblée......"
        et bien si ,le vecu d'un evenement est primordial ; surtout dans un pays ou la memoire du passée est detourné pour des buts machiaviliques par exemple sur tes etude de la periode 1991 .
        le fln parti au pouvoir n' as pris que la troisieme place en nombre de siege , aprés le ffs ce qui voulait dire la fin du parti fln et son enterrement par le peuple d'ou la creation du rnd comme roue de secours du pouvoir.
        aprés 10ans de manoeuvres , le fln ressurgit en leader aux legislatives, communales , presidentielles.
        le couple chadli-hamrouche il faut lui ajouter larbi belkheir-tewfik premier ministre et chef des services securites pour etre un peu objectif dans tes analyses.
        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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        • @pangeen

          Je ne crois pas avoir disculpé quiconque, ni pour ce qui est de la loi électorale; ni pour ce qui est de la bipolarisation artificielle et forcée de la vie politique de l'époque. Par contre je ne crois pas que la grille de lecture que tu proposes soit opérante. La situation insurrectionnelle que vit notre pays est loin d'être banale, ni pour lui même; ni pour les pays du bassin méditerranéen; et affirmer que sa gestion est plus simple que la gestion de mouvements sociaux moins radicaux me semble participer d'une légèreté qui contraste avec tes postes sur FA.

          @zemfir

          Désolé si je ne te semble pas objectif. Seulement vois-tu parfois la mémoire joue des tours, comme celui de d'attribue à L Belkhir une fonction qu'il n'a jamais occupé, celle de premier ministre. Mais passons.

          @pangeen & zemfir

          vous vous rejoignez sur un point celui de considérer le pouvoir algérien comme une entité homogène -question importante qui mérite de sérieux échanges-, dont les contradictions et antagonismes apparents ne sont que les éléments de stratégies de maintiens en place. Cette affirmation me semble simpliste et rapportée au fil des événements des deux dernières décennie se révèle inopérante.
          Dernière modification par mob_dz, 16 septembre 2008, 22h59.
          Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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          • "Désolé si je ne te semble pas objectif. Seulement vois-tu parfois la mémoire joue des tours, comme celui de d'attribue à L Belkhir une fonction qu'il n'a jamais occupé, celle de premier ministre. Mais passons."
            ne soit pas desolé; tu as raison il etait ministr de l'interieur, zerhouni de l'epoque .

            @pangeen & zemfir

            "vous vous rejoignez sur un point celui de considérer le pouvoir algérien comme une entité homogène ............. semble simpliste et rapportée au fil des événements des deux dernières décennie se révèle inopérante"
            pour simplifiez les choses c'est une maffia , qui coopte a chaque fois un parrain .le parrain met en place ses lieutenants aux postes clé de l'etat et en avant la pompe a petrole.
            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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