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Satisfaction. L’ouverture s’est très bien passée, nous-a-t-on appris, depuis Genève. Le cinéma algérien a été pour la première fois l’hôte de Genève, du 16 au 20 octobre derniers.
Organisée par l’Entv, sous la tutelle de Hamraoui Habib Chawki et l’association Suisse Algérie harmonie, cette semaine culturelle a comporté 15 longs métrages algériens réalisés entre 1962 et 2007 et plusieurs courts métrages.
Figurent au programme entre autres, Chronique des années de braises de Lakhdar Hamina, l’Opium et Le bâton de Ahmed Rachedi, 10 millions de centimes de Bachir Derraïs qui nous confirmera le bon déroulement de cette «caravane cinématographique algérienne» et Morituri d’Okacha Touita pour ne citer que ceux-là. Notons que cette manifestation s’est déroulée en présence des réalisateurs, ce qui enrichit cet événement avec des débats sans doute des plus constructifs.
Dans la catégorie court métrage, on retiendra les noms de Yasmine Chouikh et Hacen Touati, respectivement auteurs des films El Beb et Harraga. Plusieurs figures du cinéma algérien ont également été invitées à l’instar de Sid-Ahmed Agoumi, Farida Saboundji, etc.
Interrogé par téléphone depuis Genève, le président de l’association, M.Benaouda Belghoul, nous fait part de son enthousiasme: «La communauté algérienne vient avec force car elle ne connaît pas très bien son histoire. Cela lui permet de renouer avec ses racines. Ces journées du cinéma algérien sont, en quelque sorte, des cours accélérés sur la guerre d’Algérie notamment. Pour résumer ces journées, je dirais: émotion, rencontre et partage!»
Par L'Expression
Organisée par l’Entv, sous la tutelle de Hamraoui Habib Chawki et l’association Suisse Algérie harmonie, cette semaine culturelle a comporté 15 longs métrages algériens réalisés entre 1962 et 2007 et plusieurs courts métrages.
Figurent au programme entre autres, Chronique des années de braises de Lakhdar Hamina, l’Opium et Le bâton de Ahmed Rachedi, 10 millions de centimes de Bachir Derraïs qui nous confirmera le bon déroulement de cette «caravane cinématographique algérienne» et Morituri d’Okacha Touita pour ne citer que ceux-là. Notons que cette manifestation s’est déroulée en présence des réalisateurs, ce qui enrichit cet événement avec des débats sans doute des plus constructifs.
Dans la catégorie court métrage, on retiendra les noms de Yasmine Chouikh et Hacen Touati, respectivement auteurs des films El Beb et Harraga. Plusieurs figures du cinéma algérien ont également été invitées à l’instar de Sid-Ahmed Agoumi, Farida Saboundji, etc.
Interrogé par téléphone depuis Genève, le président de l’association, M.Benaouda Belghoul, nous fait part de son enthousiasme: «La communauté algérienne vient avec force car elle ne connaît pas très bien son histoire. Cela lui permet de renouer avec ses racines. Ces journées du cinéma algérien sont, en quelque sorte, des cours accélérés sur la guerre d’Algérie notamment. Pour résumer ces journées, je dirais: émotion, rencontre et partage!»
Par L'Expression