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Brigade bleue: Une série pour réconcilier les Algériens et la police
Brigade bleue, c’est le titre de la première série policière algérienne dont vous avez entamé le tournage il y a quelques semaine à Boumerdès. Quels seront les thèmes de cette future série ?
Omar Chouchène. Réalisateur de Brigade bleue: Il s’agit de dix épisodes indépendants de quarante-cinq minutes chacun, dans lesquels il est question d’intrigues policières et d’enquêtes relatives à des sujets de société. Par exemple, un vol de bijouterie. On a fait le choix de tourner à Boumerdès pour la facilité d’accès de la ville, et parce qu’il y a moins de monde, ce qui facilite le tournage.
-Quels sont les comédiens de cette série destinée à une diffusion pendant le Ramadhan 2011 ?
Mustapha Laribi et Hakim Zelloum dans les rôles d’inspecteurs de police, Hamid Mesbah joue le rôle du commissaire, Mustapha Azzezni celui d’un indicateur et enfin Asma Ben Tahar celui d’une policière scientifique.
-Faire une série policière dans le contexte social actuel n’est-il pas un moyen de réconcilier les Algériens avec la police ?
Je ne vais pas vous mentir, c’est tout à fait ça. Je pense qu’en tant qu’artistes, il est de notre rôle de contribuer à apporter une certaine sérénité dans la société.
Par Nesrine Sellal, El Watan
Brigade bleue, c’est le titre de la première série policière algérienne dont vous avez entamé le tournage il y a quelques semaine à Boumerdès. Quels seront les thèmes de cette future série ?
Omar Chouchène. Réalisateur de Brigade bleue: Il s’agit de dix épisodes indépendants de quarante-cinq minutes chacun, dans lesquels il est question d’intrigues policières et d’enquêtes relatives à des sujets de société. Par exemple, un vol de bijouterie. On a fait le choix de tourner à Boumerdès pour la facilité d’accès de la ville, et parce qu’il y a moins de monde, ce qui facilite le tournage.
-Quels sont les comédiens de cette série destinée à une diffusion pendant le Ramadhan 2011 ?
Mustapha Laribi et Hakim Zelloum dans les rôles d’inspecteurs de police, Hamid Mesbah joue le rôle du commissaire, Mustapha Azzezni celui d’un indicateur et enfin Asma Ben Tahar celui d’une policière scientifique.
-Faire une série policière dans le contexte social actuel n’est-il pas un moyen de réconcilier les Algériens avec la police ?
Je ne vais pas vous mentir, c’est tout à fait ça. Je pense qu’en tant qu’artistes, il est de notre rôle de contribuer à apporter une certaine sérénité dans la société.
Par Nesrine Sellal, El Watan