Le premier tour de manivelle d’un documentaire-fiction sur l’histoire de la zone huit de la wilaya V historique, sera donné le 1er novembre prochain à Béchar.
Le film d’une durée de plus 120 minutes, qui a été retenu dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’Indépendance, va mettre en exergue les différentes étapes politiques et faits d’armes de l’Armée de libération nationale (ALN), à travers cette zone, qui regroupe actuellement les wilayas de Béchar, Naâma, Adrar et Tindouf, a indiqué le cinéaste Larbi Lakehal.
La zone 8 de la wilaya V historique, créée à l’issue du Congrès de la Soummam, le 20 août 1956, a joué un rôle prépondérant dans l’organisation de la lutte politique et armée des populations dans le sud-ouest du pays, ainsi que dans le renforcement des unités de l’ALN au niveau des frontières sud pour la libération du pays.
Cette zone a été aussi le théâtre de plusieurs batailles des djebels Mzi, Grouz, Chebkat Manounet, Béchar et de l’erg Occidental, dans la région de Timimoun. Ces batailles seront pour la plupart reconstituées à l’occasion du tournage de cette œuvre cinématographique, qui a reçu le soutien du ministère des Moudjahidine, de la wilaya et de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) de Béchar. Plusieurs wilayas sont concernées par le tournage de ce documentaire-fiction, à savoir Béchar, Naâma et Adrar, ainsi que les différents sites historiques de la région ayant un lien avec la révolution du 1er novembre 1954, à l’instar de la ligne Morice qui, sur plus de 700 km de lignes électrifiées, visait à empêcher l’ALN d’acheminer des armes à partir des frontières ouest vers les autres zones du pays.
Pour une reconstitution fidèle de ces batailles, le réalisateur fera appel à plusieurs officiers et djounoud de l’ALN de la région qui y ont pris part.
Larbi Lakehal a déjà réalisé et produit plusieurs œuvres sur la lutte politique et armée des populations dans le sud-ouest du pays, à savoir L’Epopée du Sud-ouest et L’histoire des mines algériennes qui retrace une grande partie des luttes des mineurs de Kenadsa, à 18 km au sud de Béchar, durant la période coloniale.
Par La Tribune
Le film d’une durée de plus 120 minutes, qui a été retenu dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’Indépendance, va mettre en exergue les différentes étapes politiques et faits d’armes de l’Armée de libération nationale (ALN), à travers cette zone, qui regroupe actuellement les wilayas de Béchar, Naâma, Adrar et Tindouf, a indiqué le cinéaste Larbi Lakehal.
La zone 8 de la wilaya V historique, créée à l’issue du Congrès de la Soummam, le 20 août 1956, a joué un rôle prépondérant dans l’organisation de la lutte politique et armée des populations dans le sud-ouest du pays, ainsi que dans le renforcement des unités de l’ALN au niveau des frontières sud pour la libération du pays.
Cette zone a été aussi le théâtre de plusieurs batailles des djebels Mzi, Grouz, Chebkat Manounet, Béchar et de l’erg Occidental, dans la région de Timimoun. Ces batailles seront pour la plupart reconstituées à l’occasion du tournage de cette œuvre cinématographique, qui a reçu le soutien du ministère des Moudjahidine, de la wilaya et de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) de Béchar. Plusieurs wilayas sont concernées par le tournage de ce documentaire-fiction, à savoir Béchar, Naâma et Adrar, ainsi que les différents sites historiques de la région ayant un lien avec la révolution du 1er novembre 1954, à l’instar de la ligne Morice qui, sur plus de 700 km de lignes électrifiées, visait à empêcher l’ALN d’acheminer des armes à partir des frontières ouest vers les autres zones du pays.
Pour une reconstitution fidèle de ces batailles, le réalisateur fera appel à plusieurs officiers et djounoud de l’ALN de la région qui y ont pris part.
Larbi Lakehal a déjà réalisé et produit plusieurs œuvres sur la lutte politique et armée des populations dans le sud-ouest du pays, à savoir L’Epopée du Sud-ouest et L’histoire des mines algériennes qui retrace une grande partie des luttes des mineurs de Kenadsa, à 18 km au sud de Béchar, durant la période coloniale.
Par La Tribune