Les Arpenteurs du monde, (Measuring The World) ou Die Vermessung der Welt , est une adaptation allemande du roman de Daniel Kehlmann paru en 2005 en allemand et traduit en français en 2007.
Il raconte, mêlés à des éléments de fiction, les biographies du mathématicien Carl Friedrich Gauss (1777–1855) et du géographe naturaliste Alexander von Humboldt (1769–1859).
Le roman devint rapidement un succès de librairie en Allemagne, puis dans le monde entier, atteignant la seconde place du classement du New York Times publié le 15 avril 2007 sur les meilleures ventes internationales de livres de l'année 2006.

Résumé
Le film commence en 1828 avec le voyage de Gauss, le « prince des mathématiques » qui se rend, accompagné de son fils Eugen, à un congrès de naturalistes à Berlin où Humboldt l'a invité.
Après ce voyage, les deux chercheurs ont entretenu une correspondance pour échanger des idées sur leurs projets. Les deux protagonistes ont travaillé au cours de leur vie comme arpenteurs, ce qui a donné son titre au roman.
Au milieu de cette trame sont racontés les moments clés des vies de Gauss et de Humboldt, commençant par décrire leur enfance, puis leurs nombreuses découvertes et enfin le déclin de leurs capacités mentales dû à la vieillesse. Humboldt a été élevé avec son frère Wilhelm dans un château avec des professeurs particuliers et s'intéressait déjà aux insectes.
L'influence de Goethe amena son frère Wilhelm à faire de la politique et de la linguistique alors que Alexander poursuivra de son côté une carrière scientifique. Après ses études, Alexander devint inspecteur des mines puis se décida, après le décès de sa mère, à faire une expédition en Amérique du Sud avec Aimé Bonpland.
Gauss est issu d'une famille pauvre dont les parents sont peu instruits.
Très jeune, il lui semblait que tout le monde parlait et réfléchissait trop lentement.
Un de ses professeurs de mathématiques découvrit son don pour cette science et le poussa à continuer dans cette voie.
Le comte Carl Wilhelm Ferdinand von Braunschweig paya pour ses études ce qui lui permit d'entrer au lycée puis à l'université.
Il écrivit ensuite son œuvre principale Disquisitiones arithmeticae.
Il travailla à l'observatoire de Göttingen.
Il raconte, mêlés à des éléments de fiction, les biographies du mathématicien Carl Friedrich Gauss (1777–1855) et du géographe naturaliste Alexander von Humboldt (1769–1859).
Le roman devint rapidement un succès de librairie en Allemagne, puis dans le monde entier, atteignant la seconde place du classement du New York Times publié le 15 avril 2007 sur les meilleures ventes internationales de livres de l'année 2006.

Résumé
Le film commence en 1828 avec le voyage de Gauss, le « prince des mathématiques » qui se rend, accompagné de son fils Eugen, à un congrès de naturalistes à Berlin où Humboldt l'a invité.
Après ce voyage, les deux chercheurs ont entretenu une correspondance pour échanger des idées sur leurs projets. Les deux protagonistes ont travaillé au cours de leur vie comme arpenteurs, ce qui a donné son titre au roman.
Au milieu de cette trame sont racontés les moments clés des vies de Gauss et de Humboldt, commençant par décrire leur enfance, puis leurs nombreuses découvertes et enfin le déclin de leurs capacités mentales dû à la vieillesse. Humboldt a été élevé avec son frère Wilhelm dans un château avec des professeurs particuliers et s'intéressait déjà aux insectes.
L'influence de Goethe amena son frère Wilhelm à faire de la politique et de la linguistique alors que Alexander poursuivra de son côté une carrière scientifique. Après ses études, Alexander devint inspecteur des mines puis se décida, après le décès de sa mère, à faire une expédition en Amérique du Sud avec Aimé Bonpland.
Gauss est issu d'une famille pauvre dont les parents sont peu instruits.
Très jeune, il lui semblait que tout le monde parlait et réfléchissait trop lentement.
Un de ses professeurs de mathématiques découvrit son don pour cette science et le poussa à continuer dans cette voie.
Le comte Carl Wilhelm Ferdinand von Braunschweig paya pour ses études ce qui lui permit d'entrer au lycée puis à l'université.
Il écrivit ensuite son œuvre principale Disquisitiones arithmeticae.
Il travailla à l'observatoire de Göttingen.
