L'équipe de tournage du film sur l’héroïne de la résistance populaire, Lalla Fadhma N’Soumer, a posé ses bagages, lundi et mardi derniers, au village de Béni Mansour pour les besoins de séquences cinématographiques supplémentaires.

En effet, ce long métrage qui s’intitule « Le burnous embrasé » ou Avernus yerghan, lequel est en cours de réalisation par le célèbre réalisateur, Belkacem Hadjadj, est en phase de finalisation, selon des informations que nous avons recueillies sur place.
Ce dernier, où ont eu lieu des séquences, a été choisit selon sa géographie et son décor « vierge », constitué de collines et de pins d’Alep, histoire de mettre le futur téléspectateur dans un décor, qui remonte dans le temps jusqu’au 19e siècle. Des dizaines de jeunes recrutés dans la région (Ighil Ali, Béni Mansour, Bordj Bou Arréridj,…) ont servi de figurants, représentant des soldats français et des zouaves, entrain de conduire des canons, en route pour la guerre ou en marche tout simplement, cela se faisait selon les directives du réalisateur. Le décor mis en place, a fait remonter dans le temps, les habitants du village de Béni Mansour, venus en masse suivre le tour de manivelle du réalisateur du fameux film « Machahu ». Auparavant, plusieurs sites dans la région d’Ighil Ali et de Bordj Bou Arréridj, avaient abrité des séquences de ce film, qui en est à ses dernières « actions
Syphax. Y.- la depeche de kabylie

En effet, ce long métrage qui s’intitule « Le burnous embrasé » ou Avernus yerghan, lequel est en cours de réalisation par le célèbre réalisateur, Belkacem Hadjadj, est en phase de finalisation, selon des informations que nous avons recueillies sur place.
Ce dernier, où ont eu lieu des séquences, a été choisit selon sa géographie et son décor « vierge », constitué de collines et de pins d’Alep, histoire de mettre le futur téléspectateur dans un décor, qui remonte dans le temps jusqu’au 19e siècle. Des dizaines de jeunes recrutés dans la région (Ighil Ali, Béni Mansour, Bordj Bou Arréridj,…) ont servi de figurants, représentant des soldats français et des zouaves, entrain de conduire des canons, en route pour la guerre ou en marche tout simplement, cela se faisait selon les directives du réalisateur. Le décor mis en place, a fait remonter dans le temps, les habitants du village de Béni Mansour, venus en masse suivre le tour de manivelle du réalisateur du fameux film « Machahu ». Auparavant, plusieurs sites dans la région d’Ighil Ali et de Bordj Bou Arréridj, avaient abrité des séquences de ce film, qui en est à ses dernières « actions
Syphax. Y.- la depeche de kabylie