J´ouvre un nouveau sujet sur le dernier roman de Khadra parceque l´autre sujet qui en parle est malheureusement fermé!
J´ai lu au moins 4 romans de Khadra, mais celui la je l´ai trouvé le meilleur parmi les quatres. Ce roman est si souple en lecture qu´on s´y fonde des la première page. Un roman d´amour de bout en bout, si attachant en lecture en passant d´un chapitre a l´autre, de Jnan Jato a Rio Salado, des histoires malheureuses de Jnan Jato aux contes de fées d´une jeunesse vivant paisiblement a Rio Salado, du déchirement d´un enfant adoptif (et par ses parents et par la communauté des colons) entre son passé dans le quartier insalubre d´Oran et son présent parmi les colons , aux humiliations de Jelloul par un colon type comme André et qui vit dans une autre société parallèle comme un rien. Et aussi de l´atrocité de la guerre, des humiliations continues des autochtones qui se transformera plus tard en une revanche agressive contre les colons, du départ brutal de ce qu´on appellera définitivement pied-noirs…et surtout de l´histoire d´un amour brisé avant qu´elle soit concrétisé entre Jonas (oups Younes) et Emilie…
Je relis parfois a travers khadra dans ce roman, un Tahar Benjelloun quand il évoquait le mauvais destin de son père, les histoires du mauvais œil, du talent de la voyante Batoul ou les frustrations des autochtones (comme évoqué par Bachi sur l´autre sujet). Il me semble relire également des pensée d´un Driss Chraïbi dans son "Passé simple" quand Khadra parle des repères et amours du jeune Jonas tiraillés entre le malheur des autochtones opprimés, et l´émancipation par les études comme son père adoptif sans qu´il renie ses origines qui remonte a lalla Fatna. Est-ce une coïncidence, du plagiat ou c´est l´aspect culturel commun des nord africains qui se ressemble ?
Mais ce qui m´a attiré plus l´attention à faire un parallèle avec un autre romancier, c´est cette histoire- inachevé et infinie- d´ amour entre Emilie et Jonas qui me semble inspiré du roman de Garica Marquez "l´amour au temps du choléra", surtout cette insistance de Jonas de retrouver Emelie et son amour a travers les âges et les espaces sans al moindre résignation. Est ce un hasard qu´il dédiasse son roman avec une citation de Marquez ?
Il me parait aussi qu´il est écrit surtout pour un lectorat occidental surtout en:
- Essayant d´"humaniser" les d´algériens vivant sous les temps du colonialisme(qui étaient tous aux yeux des occidentaux/colonialistes comme des paresseux qui ont libérés leur pays en usant du terrorisme) qui ont reussis a intégrer la communauté des colons, comme Mahi et Jonas, en montrant ainsi que l´Arabe peut aussi étudier, réussir et surtout avoir des sentiments nobles d´amour pour l´autre.
- Décrivant a travers le cercle d´amis de Jonas, la tolérance et la coexistence des gens de différente confessions dans l´Algérie colonisée.
- En évoquant le malheur des milliers des français d´Algérie obligés de quitter brusquement et brutalement une terre qu´ils considéraient comme les leurs, et a qui ils ont donné un cumul de travail considérables a travers des générations: en bâtissant des villes et village modernes, en transformant des terres arides en terres cultivés de vignes a l´étendue de vue du haut d´une colline, en construisant des routes et des rails…etc ( est ce qu´il ne reconnait pas ici et implicitement un certain rôle positif de la colonisation ?)
J´ai lu au moins 4 romans de Khadra, mais celui la je l´ai trouvé le meilleur parmi les quatres. Ce roman est si souple en lecture qu´on s´y fonde des la première page. Un roman d´amour de bout en bout, si attachant en lecture en passant d´un chapitre a l´autre, de Jnan Jato a Rio Salado, des histoires malheureuses de Jnan Jato aux contes de fées d´une jeunesse vivant paisiblement a Rio Salado, du déchirement d´un enfant adoptif (et par ses parents et par la communauté des colons) entre son passé dans le quartier insalubre d´Oran et son présent parmi les colons , aux humiliations de Jelloul par un colon type comme André et qui vit dans une autre société parallèle comme un rien. Et aussi de l´atrocité de la guerre, des humiliations continues des autochtones qui se transformera plus tard en une revanche agressive contre les colons, du départ brutal de ce qu´on appellera définitivement pied-noirs…et surtout de l´histoire d´un amour brisé avant qu´elle soit concrétisé entre Jonas (oups Younes) et Emilie…
Je relis parfois a travers khadra dans ce roman, un Tahar Benjelloun quand il évoquait le mauvais destin de son père, les histoires du mauvais œil, du talent de la voyante Batoul ou les frustrations des autochtones (comme évoqué par Bachi sur l´autre sujet). Il me semble relire également des pensée d´un Driss Chraïbi dans son "Passé simple" quand Khadra parle des repères et amours du jeune Jonas tiraillés entre le malheur des autochtones opprimés, et l´émancipation par les études comme son père adoptif sans qu´il renie ses origines qui remonte a lalla Fatna. Est-ce une coïncidence, du plagiat ou c´est l´aspect culturel commun des nord africains qui se ressemble ?
Mais ce qui m´a attiré plus l´attention à faire un parallèle avec un autre romancier, c´est cette histoire- inachevé et infinie- d´ amour entre Emilie et Jonas qui me semble inspiré du roman de Garica Marquez "l´amour au temps du choléra", surtout cette insistance de Jonas de retrouver Emelie et son amour a travers les âges et les espaces sans al moindre résignation. Est ce un hasard qu´il dédiasse son roman avec une citation de Marquez ?
Il me parait aussi qu´il est écrit surtout pour un lectorat occidental surtout en:
- Essayant d´"humaniser" les d´algériens vivant sous les temps du colonialisme(qui étaient tous aux yeux des occidentaux/colonialistes comme des paresseux qui ont libérés leur pays en usant du terrorisme) qui ont reussis a intégrer la communauté des colons, comme Mahi et Jonas, en montrant ainsi que l´Arabe peut aussi étudier, réussir et surtout avoir des sentiments nobles d´amour pour l´autre.
- Décrivant a travers le cercle d´amis de Jonas, la tolérance et la coexistence des gens de différente confessions dans l´Algérie colonisée.
- En évoquant le malheur des milliers des français d´Algérie obligés de quitter brusquement et brutalement une terre qu´ils considéraient comme les leurs, et a qui ils ont donné un cumul de travail considérables a travers des générations: en bâtissant des villes et village modernes, en transformant des terres arides en terres cultivés de vignes a l´étendue de vue du haut d´une colline, en construisant des routes et des rails…etc ( est ce qu´il ne reconnait pas ici et implicitement un certain rôle positif de la colonisation ?)