Journée sur l'Emir abdellkader sur l'Emir Abdelkader. 31/01/2009 Tours

[smairi]

Contraint de cesser sa résistance contre les puissantes troupes françaises, Abd El Kader déposa les armes en décembre 1847, après dix-sept années de lutte. L’Emir et quelques fidèles furent emprisonnés à Toulon, à Pau et à Amboise où ils séjournèrent plus longuement (du 8 novembre 1848 au 11 décembre 1852). Son passage à Amboise demeure comme si chacun percevait toujours la sagesse du grand homme.
L’association France Algérie Centre tient à rendre un légitime hommage à l’endroit où l’Emir séjourna par des chants soufis.
http://www.lanouvellerepublique.fr/d...37&num=1078906

http://www.lanouvellerepublique.fr/d...37&num=1078905

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Portraits de l'Emir Abdelkader. Le professeur Mostefa Lacheraf

"... dans son livre. Des noms et des lieux - Mémoires d'une Algérie oubliée, le professeur Mostefa Lacheraf nous révèle des choses tres graves. A savoir que certaines de nos institutions sont ornées - tenez vous bien - de faux portraits de l'Emir Abdelkader. Cela est très affligeant et porte une grave atteinte à la mémoire du fondateur de l'État national moderne.
Après lecture du très instructif ouvrage, nous avons pris le soin de contacter le professeur Mostefa Lacheraf pour d'avantage d'informations sur les lieux précis où ces (faux) portraits sont suspendus outre l'hopital Ain-Naadja cité par l'auteur de L'Algérie, nation et société.
Il était fort peiné de nous dire que ces "fameux" portraits ne sont pas le simple fruit de l'imagination. Mais ce qui est scandaleux, nous affirma-t-il, c'est que ces portraits représentent un renégat, adversaire acharné de l'Emir Abdelkader, un vil auxiliaire de l'armée coloniale : Ferhat Ben Ameur.
celui la même qui se dépensa avec zèle pour trouver les traces de l'insaisissable Smala de l'Emir Abdelkader et qu'il signala à ses maitres en mai 1843. c'est sur renseignement de ce renégat que la Smala fut surprise et detruite, le 19 mai 1843, en l'absence du prestigieux chef de la résistance, El Hadj Abdelkader Mohieddine. et en l'an 2000, c'est le portrait d'un traitre qui orne les édifices officiels de l'Algérie souveraine. Mauvais signe du temps..." Amar Belkhodja. L'Emir Abdelkader, ni sultan ni imam. 2007