L' Aurès .
L'Aurès , c'est un monde à part . Un lourd massif, compact, hostile en apparence ,qui sépare le Constantinois du désert . Que l'on vienne du Nord , des chotts qui s'étendent au pied des monts de Constantine, que l'on vienne du Sud , des palmeraies de Biskra , du pays du miel et des dattes , on a envie de contourner ce massif du << mauvais oeil >>, refuge traditionnel des bandits d'honneur qui trouvent auprès de la population berbère , individualiste et attachée à ses coutumes , une aide vitale .
L'Aurès pour qui prend la peine d'y pénétrer , offre pourtant l'un des plus beaux paysage du monde . Des plus variés aussi . Des désert de pierres ou de sables on passe , grâce à des canons sauvages , à des régions riantes , vallonnées, ou les vergers succèdent aux palmiers , ou les cèdres précèdent les pics enneigés après que l'on a franchi l'étendue monotone des hauts plateaux .
Dès que l'on à passé la zone fertile des vergers , on sent la violence à fleurs de terre . La nature d'une beauté sauvage semble avoir déteint sur le caractère des habitants . Dans cette nature étrange et hostile , les villages ressemble à des fortins , ramassés , massifs, sur le qui-vive , perchés en nids d'aigle à l'extremité d'un piton rocheux ou accrochés à une falaise verticale .
Les Chaouias , les habitants de l'Aurès , vivent coupés du monde , à l'abri sur les flancs de la montagne , de cette mère abusive qui les protège des influences extérieures et veut leur garder une pureté de sang que l'on ne retrouve nulle part ailleurs en Algérie . Les Chaouïas on résister au brassage de races . Ils ont conservé leur language, leur coutumes , leur croyances . Ils ont résisté aux Romains , aux Arabes , à la pacification française . Leurs usages ont à peine été modifié par le catholicisme, puis l'Islam . Les Chaouias depuis deux milles cinq cents ans , sont hostiles à tout ce qui n'est pas auréssien et devant l'envahisseur, ils deviennent de redoutables guérillos . Ils ont la guérilla dans le sang .
<< L'Aurès constitue une région traditionnellement contaminable par les idées de révolution , d'indépendance ....>>
La femme Chaouïa , dont les fichus colorés et les ample jupe sombres étaient égayés de frange jaunes , rouges , ocre, jouait un rôle important dans la société . Contrairement aux reste de l'Algérie , l'Aurès << considérait >> la femme, dont la liberté de vie et le rôle familial et social occupaient une place essentielle dans la vie quotidienne . L'Aurès était d'ailleurs encore dominé par le personnage de la kahena , héroïne légendaire qui s'était opposée au VII e siècles à la première invasion Arabe . Chef de la tribus des Djeroua , on en avait fait la << Reine de l'Aurès >> et son souvenir était encore présent dans les montagnes ou l'on raconter aux enfants ses exploits de << guerrière >>. La kahena , c'était le symbole du caractère indépendant et farouche des Berbères de l'Aurès .
Imperméable aux influences extérieures , ayant résisté aux Romains , aux Vendales , aux Turcs, aux Arabes , cette population retranchée dans ses montagnes avaient mené une vie dure aux troupes françaises de colonisation.
Trois grand mouvements insurrectionnels antifrançais avaient ensanglanté l'Aurès en 1859 , 1879 , 1916 . Tous avaient échoué . Mais la pénétration française n'avait pu se faire dans cette région montagneuse repliée sur elle -même . Batna et Arris étaient les seuls centres importants de colonisation qui avaient réussi à s'implanter au centre du massif .
Le reste , les pics rocheux , les villages fortifiés , les forêts des hauts plateaux , c'était le domaine des bandits de l'Aurès , des bandits d'honneur qui s'opposaient parfois à la population lorsque leurs exigences étaient exagérées mais que les Chaouïas protégaient contre les timides incursions des gendarmes , représentant d'une autorité que l'on haïssait par tradition .
500 à 600 << irréguliers >> , bien armés , tenaient l'Aurès et s'y déplaçaient en toute quiétude . Les Bandits d'honneur se réfugiaient dans ces montagnes impénétrables . Ils n'avaient pas attendu la révolution pour attaquer les représentants de la France , mais ils se joindrons plus tard à l'appel d'un certains BenBoulaïd .
C'est un concentré d'information dédié à des attardés tel que bouteuf qui pense pouvoir mettre dans l'ombre de sa petite personne la véritable forteresse de l'Algérie . ( la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf ) ici ca se résumerait plutôt à ( un petit bout de m.erde qui voulait briller aussi fort que le soleil )
Je me réserve le droit de citer plus tard .
L'Aurès , c'est un monde à part . Un lourd massif, compact, hostile en apparence ,qui sépare le Constantinois du désert . Que l'on vienne du Nord , des chotts qui s'étendent au pied des monts de Constantine, que l'on vienne du Sud , des palmeraies de Biskra , du pays du miel et des dattes , on a envie de contourner ce massif du << mauvais oeil >>, refuge traditionnel des bandits d'honneur qui trouvent auprès de la population berbère , individualiste et attachée à ses coutumes , une aide vitale .
L'Aurès pour qui prend la peine d'y pénétrer , offre pourtant l'un des plus beaux paysage du monde . Des plus variés aussi . Des désert de pierres ou de sables on passe , grâce à des canons sauvages , à des régions riantes , vallonnées, ou les vergers succèdent aux palmiers , ou les cèdres précèdent les pics enneigés après que l'on a franchi l'étendue monotone des hauts plateaux .
Dès que l'on à passé la zone fertile des vergers , on sent la violence à fleurs de terre . La nature d'une beauté sauvage semble avoir déteint sur le caractère des habitants . Dans cette nature étrange et hostile , les villages ressemble à des fortins , ramassés , massifs, sur le qui-vive , perchés en nids d'aigle à l'extremité d'un piton rocheux ou accrochés à une falaise verticale .
Les Chaouias , les habitants de l'Aurès , vivent coupés du monde , à l'abri sur les flancs de la montagne , de cette mère abusive qui les protège des influences extérieures et veut leur garder une pureté de sang que l'on ne retrouve nulle part ailleurs en Algérie . Les Chaouïas on résister au brassage de races . Ils ont conservé leur language, leur coutumes , leur croyances . Ils ont résisté aux Romains , aux Arabes , à la pacification française . Leurs usages ont à peine été modifié par le catholicisme, puis l'Islam . Les Chaouias depuis deux milles cinq cents ans , sont hostiles à tout ce qui n'est pas auréssien et devant l'envahisseur, ils deviennent de redoutables guérillos . Ils ont la guérilla dans le sang .
<< L'Aurès constitue une région traditionnellement contaminable par les idées de révolution , d'indépendance ....>>
La femme Chaouïa , dont les fichus colorés et les ample jupe sombres étaient égayés de frange jaunes , rouges , ocre, jouait un rôle important dans la société . Contrairement aux reste de l'Algérie , l'Aurès << considérait >> la femme, dont la liberté de vie et le rôle familial et social occupaient une place essentielle dans la vie quotidienne . L'Aurès était d'ailleurs encore dominé par le personnage de la kahena , héroïne légendaire qui s'était opposée au VII e siècles à la première invasion Arabe . Chef de la tribus des Djeroua , on en avait fait la << Reine de l'Aurès >> et son souvenir était encore présent dans les montagnes ou l'on raconter aux enfants ses exploits de << guerrière >>. La kahena , c'était le symbole du caractère indépendant et farouche des Berbères de l'Aurès .
Imperméable aux influences extérieures , ayant résisté aux Romains , aux Vendales , aux Turcs, aux Arabes , cette population retranchée dans ses montagnes avaient mené une vie dure aux troupes françaises de colonisation.
Trois grand mouvements insurrectionnels antifrançais avaient ensanglanté l'Aurès en 1859 , 1879 , 1916 . Tous avaient échoué . Mais la pénétration française n'avait pu se faire dans cette région montagneuse repliée sur elle -même . Batna et Arris étaient les seuls centres importants de colonisation qui avaient réussi à s'implanter au centre du massif .
Le reste , les pics rocheux , les villages fortifiés , les forêts des hauts plateaux , c'était le domaine des bandits de l'Aurès , des bandits d'honneur qui s'opposaient parfois à la population lorsque leurs exigences étaient exagérées mais que les Chaouïas protégaient contre les timides incursions des gendarmes , représentant d'une autorité que l'on haïssait par tradition .
500 à 600 << irréguliers >> , bien armés , tenaient l'Aurès et s'y déplaçaient en toute quiétude . Les Bandits d'honneur se réfugiaient dans ces montagnes impénétrables . Ils n'avaient pas attendu la révolution pour attaquer les représentants de la France , mais ils se joindrons plus tard à l'appel d'un certains BenBoulaïd .
C'est un concentré d'information dédié à des attardés tel que bouteuf qui pense pouvoir mettre dans l'ombre de sa petite personne la véritable forteresse de l'Algérie . ( la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf ) ici ca se résumerait plutôt à ( un petit bout de m.erde qui voulait briller aussi fort que le soleil )
Je me réserve le droit de citer plus tard .
