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La seconde édition de la Fête nationale du couscous en Algérie qui s’est déroulée du 12 au 16 juillet a été clôturée officiellement, dans la matinée du jeudi par la remise des diplômes à tous les participantes et participants où l’ambiance était emprunte de beaucoup d’émotion à Frikat
“Ce n’est qu’un au revoir !” lance M. Amar, le président de l’APC de Frikat et organisateur de cette manifestation qui a tenu toutes ses promesses.
Au demeurant, bien qu’il n’ait pas eu trop affaire, avec la parfaite organisation et surtout la présence des dizaines de jeunes volontaires de tous les villages venus prêter main forte au comité d’organisation, néanmoins, le premier magistrat de la localité de Frit, en véritable “El vav n’Atmaghra”, a veillé, personnellement, du matin jusque tard dans la nuit, sur le bon déroulement de cette seconde édition de la Fête nationale du couscous traditionnel tant au niveau du collège “Base 4” où sont installés les stands ou qu’au niveau de l’école primaire “Titouche Saïd”, un lieu d’hébergement et de logistique.
Ainsi, rencontré devant l’entrée du collège, à la fin de l’émouvante cérémonie, devant la scène dressée ayant accueilli plusieurs galas, le premier responsable de la localité de Frikat, entouré de ses proches collaborateurs était visiblement, l’homme le plus comblé alors que tout autour certains exposants commençaient à emballer leurs bagages alors que d’autres continuaient à recevoir les nombreux visiteurs venus s’approvisionner et profiter des offres promotionnelles qui étaient de 50 dinars le kilogramme de couscous alors qu’il est vendu entre 70 et 90 dinars dans les épiceries. “Comme La Dépêche de Kabylie est le premier journal à avoir annoncé le tenue de la seconde édition de la Fête nationale du couscous traditionnel je tiens à ce qu’il soit également le premier à annoncer que la prochaine édition, incha Allah, qui se tiendra à la fin du mois de juin prochain devienne Fête internationale du couscous traditionnel avec en premier lieu l’invitation qui sera faite à nos frères des pays maghrébins et à nos compatriotes installés dans les différents pays étrangers”.
Par ailleurs, M. Amar Arib, P/APC de Frikat est très satisfait non seulement de la qualité des participants venus des autres wilayas et délégués par leurs Chambres des métiers et de l’artisanat mais également par la présence de nombreuses institutions.
“Si est vrai que cette fête est destinée en premier lieu aux fabricants du couscous traditionnel, il reste que notre premier objectif est le grand public qui doit repartir après sa visite avec des informations, des idées novatrices et créatrices”. Aussi, comme vous l’aviez sûrement remarqué, la salle qui ne désemplit pas du matin au soir est la grande salle réservée à la Casnos, l’Ansej l’Angem, l’Anem, la Cnac, la Direction de la PME et l’artisanat. Donc, il n’y a pas seulement de place que pour le ventre ; au contraire, nous voulons que cette fête soit celle du travail.
Interrogé également sur d’autres portées ou objectifs assignés à cette manifestation, M. Amar Arib n’a pas caché que tout projet doit avoir des buts et qu’avant tout il faut prévoir le positif et le négatif. “On ne doit pas se lancer dans une entreprise si on sait d’avance qu’elle est vouée à l’échec. Au demeurant, si nous, nombreux partenaires et sponsors n’avons pas confiance en nos objectifs, croyez-vous qu’ils nous auraient cautionnés. Sûrement pas ? Donc, notre objectif est de sortir notre localité de l’isolement, ce qui est fait, et de montrer qu’elle possède de nombreux atouts pour son développement, à commencer par le tourisme, l’agriculture”.
Pour cela, l’Etat et les pouvoirs publics doivent nous aider à la désenclaver surtout du côté sud vers la wilaya de Bouira et la RN 5”, nous a confié notre interlocuteur qui nous lancera tout de même alors que nous nous éloignons qu’on peut festoyer malgré tous les problèmes. Rencontre également, alors qu’elle s’apprêtait à quitter les lieux, Mme Khenchoul, la représentante de la wilaya de Skikda se dit vraiment très heureuse de se retrouver en Kabylie.
“C’est vraiment fantastique ! J’ai participé à plusieurs manifestations mais, celle-là est vraiment formidable. C’est pour cela que je me dis que j’ai vraiment de la chance d’avoir été appelée à participer à cette seconde édition de la Fête nationale du couscous. Pour la première édition, tous les gens gardent encore le souvenir de “Khalti Aïcha”, de Mostaganem. J’espère, pour ma part que j’ai bien représenté la wilaya de Skikda mais je tiens à revenir pour les autres éditions tant que je serai en vie”, nous déclara notre interlocutrice qui n’a pas cessé de remercier non seulement les organisateurs, mais également les citoyens de la localité et les nombreuses familles qui l’ont invitée à se rendre chez eux. Pour sa part, M. Sid Ali Lahlou, l’initiateur de la première édition, fabricant de la localité, son grand stand a été assailli par des enfants qui voulaient récupérer de grands panneaux en cartons de personnages des B. D. alors que des familles attendaient patiemment la fin de la bousculade pour faire leurs achats. “J’ai des propositions, j’ai de nouvelles idées pour que les prochaines éditions aient un autre cachet beaucoup plus particulier”, nous déclara notre interlocuteur sans nous donner plus de détails.
De son côté, Mme Megari que nous avions rencontrés lors de l’ouverture de la fête n’a pas hésité à nous confier que les problèmes qui existaient auparavant entre les fabricants de couscous traditionnel ont été réglés grâce aux nombreuses rencontres organisées lors de cette manifestation. Par ailleurs, le grand plat de couscous qui avait servi le premier jour a été transféré du collège “Sellam Arezki” vers le collège “Base 4” où il est exposé encore à la grande joie des visiteurs qui n’arrêtent pas de prendre des photos-souvenirs, et devient ainsi un véritable monument pour encore quelques jours.
Par La Dépêche de Kabylie
“Ce n’est qu’un au revoir !” lance M. Amar, le président de l’APC de Frikat et organisateur de cette manifestation qui a tenu toutes ses promesses.
Au demeurant, bien qu’il n’ait pas eu trop affaire, avec la parfaite organisation et surtout la présence des dizaines de jeunes volontaires de tous les villages venus prêter main forte au comité d’organisation, néanmoins, le premier magistrat de la localité de Frit, en véritable “El vav n’Atmaghra”, a veillé, personnellement, du matin jusque tard dans la nuit, sur le bon déroulement de cette seconde édition de la Fête nationale du couscous traditionnel tant au niveau du collège “Base 4” où sont installés les stands ou qu’au niveau de l’école primaire “Titouche Saïd”, un lieu d’hébergement et de logistique.
Ainsi, rencontré devant l’entrée du collège, à la fin de l’émouvante cérémonie, devant la scène dressée ayant accueilli plusieurs galas, le premier responsable de la localité de Frikat, entouré de ses proches collaborateurs était visiblement, l’homme le plus comblé alors que tout autour certains exposants commençaient à emballer leurs bagages alors que d’autres continuaient à recevoir les nombreux visiteurs venus s’approvisionner et profiter des offres promotionnelles qui étaient de 50 dinars le kilogramme de couscous alors qu’il est vendu entre 70 et 90 dinars dans les épiceries. “Comme La Dépêche de Kabylie est le premier journal à avoir annoncé le tenue de la seconde édition de la Fête nationale du couscous traditionnel je tiens à ce qu’il soit également le premier à annoncer que la prochaine édition, incha Allah, qui se tiendra à la fin du mois de juin prochain devienne Fête internationale du couscous traditionnel avec en premier lieu l’invitation qui sera faite à nos frères des pays maghrébins et à nos compatriotes installés dans les différents pays étrangers”.
Par ailleurs, M. Amar Arib, P/APC de Frikat est très satisfait non seulement de la qualité des participants venus des autres wilayas et délégués par leurs Chambres des métiers et de l’artisanat mais également par la présence de nombreuses institutions.
“Si est vrai que cette fête est destinée en premier lieu aux fabricants du couscous traditionnel, il reste que notre premier objectif est le grand public qui doit repartir après sa visite avec des informations, des idées novatrices et créatrices”. Aussi, comme vous l’aviez sûrement remarqué, la salle qui ne désemplit pas du matin au soir est la grande salle réservée à la Casnos, l’Ansej l’Angem, l’Anem, la Cnac, la Direction de la PME et l’artisanat. Donc, il n’y a pas seulement de place que pour le ventre ; au contraire, nous voulons que cette fête soit celle du travail.
Interrogé également sur d’autres portées ou objectifs assignés à cette manifestation, M. Amar Arib n’a pas caché que tout projet doit avoir des buts et qu’avant tout il faut prévoir le positif et le négatif. “On ne doit pas se lancer dans une entreprise si on sait d’avance qu’elle est vouée à l’échec. Au demeurant, si nous, nombreux partenaires et sponsors n’avons pas confiance en nos objectifs, croyez-vous qu’ils nous auraient cautionnés. Sûrement pas ? Donc, notre objectif est de sortir notre localité de l’isolement, ce qui est fait, et de montrer qu’elle possède de nombreux atouts pour son développement, à commencer par le tourisme, l’agriculture”.
Pour cela, l’Etat et les pouvoirs publics doivent nous aider à la désenclaver surtout du côté sud vers la wilaya de Bouira et la RN 5”, nous a confié notre interlocuteur qui nous lancera tout de même alors que nous nous éloignons qu’on peut festoyer malgré tous les problèmes. Rencontre également, alors qu’elle s’apprêtait à quitter les lieux, Mme Khenchoul, la représentante de la wilaya de Skikda se dit vraiment très heureuse de se retrouver en Kabylie.
“C’est vraiment fantastique ! J’ai participé à plusieurs manifestations mais, celle-là est vraiment formidable. C’est pour cela que je me dis que j’ai vraiment de la chance d’avoir été appelée à participer à cette seconde édition de la Fête nationale du couscous. Pour la première édition, tous les gens gardent encore le souvenir de “Khalti Aïcha”, de Mostaganem. J’espère, pour ma part que j’ai bien représenté la wilaya de Skikda mais je tiens à revenir pour les autres éditions tant que je serai en vie”, nous déclara notre interlocutrice qui n’a pas cessé de remercier non seulement les organisateurs, mais également les citoyens de la localité et les nombreuses familles qui l’ont invitée à se rendre chez eux. Pour sa part, M. Sid Ali Lahlou, l’initiateur de la première édition, fabricant de la localité, son grand stand a été assailli par des enfants qui voulaient récupérer de grands panneaux en cartons de personnages des B. D. alors que des familles attendaient patiemment la fin de la bousculade pour faire leurs achats. “J’ai des propositions, j’ai de nouvelles idées pour que les prochaines éditions aient un autre cachet beaucoup plus particulier”, nous déclara notre interlocuteur sans nous donner plus de détails.
De son côté, Mme Megari que nous avions rencontrés lors de l’ouverture de la fête n’a pas hésité à nous confier que les problèmes qui existaient auparavant entre les fabricants de couscous traditionnel ont été réglés grâce aux nombreuses rencontres organisées lors de cette manifestation. Par ailleurs, le grand plat de couscous qui avait servi le premier jour a été transféré du collège “Sellam Arezki” vers le collège “Base 4” où il est exposé encore à la grande joie des visiteurs qui n’arrêtent pas de prendre des photos-souvenirs, et devient ainsi un véritable monument pour encore quelques jours.
Par La Dépêche de Kabylie