Ils sont originaires de Mila d’El Milia, de Taher, d’El Aouana, de Jijel, de Ziama Mansouriah et les descendants de tribus des Ouled-Ali, les Mechati, les Beni Hbibi, les Beni Sbih, les Beni Meslem, les Beni Belaïd, les Beni Ferguene, les Ouled Aouat, les Ouled Aïdoun, les Beni Aïcha.
Le personnage central du roman explique à leur propos qu’«on les appelait Kebaïl El Hadra, les gens du Piémont, ils étaient connus pour leur esprit de corps, leur bravoure et leur sens moral très élevé». Ainsi, ce quartier hors du commun était le réceptacle de tous les survivants des tribus éclatées de l’Est
algérien, le terreau de la révolution et de l’éveil des consciences politiques et sociales.
Le personnage central du roman explique à leur propos qu’«on les appelait Kebaïl El Hadra, les gens du Piémont, ils étaient connus pour leur esprit de corps, leur bravoure et leur sens moral très élevé». Ainsi, ce quartier hors du commun était le réceptacle de tous les survivants des tribus éclatées de l’Est
algérien, le terreau de la révolution et de l’éveil des consciences politiques et sociales.
Aouinet el foul est située en contrebas du Rocher. à qlq centaines de metes de dénivelle de la brèche. C'était une sorte de favela ou effectivement bcp de maquisard se réfugiaient. la vielle ville, souika qu'on oppose à aouinet el foul était aussi un terreau de la révolution, on combattait la nouvelle ville coudiat(centre administratif colonial), st jean belle vue etc...
Ce roman a l'air passionnant je l'achèterai.
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